Le système LMD (licence-master-doctorat) une formule qui a fait grincer des dents nombre d'étudiants qui selon eux favorise la quantité au détriment de la qualité, est appelée à être améliorée. Cette formule, ne sera pas abandonnée, c'est ce qu' a affirmé mardi dernier le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki. Le système LMD (licence-master-doctorat) une formule qui a fait grincer des dents nombre d'étudiants qui selon eux favorise la quantité au détriment de la qualité, est appelée à être améliorée. Cette formule, ne sera pas abandonnée, c'est ce qu' a affirmé mardi dernier le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki. Reconnaissant l‘existence de "dysfonctionnements" dans l‘application du système LMD, le ministre a indiqué, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio algérienne, que l‘Algérie s‘attellera à améliorer ce système, mais "ne l‘abandonnera pas". "A chaque fois qu‘il y a un dysfonctionnement qui apparaît, il doit être corrigé dans la concertation. Il faut évaluer au fur et à mesure ce système pour le rendre plus dynamique, plus souple et l‘amener à répondre aux objectifs pour lesquels il a été adopté", a-t-il expliqué. Evoquant l‘adéquation des diplômés de l‘université algérienne avec l‘économie du pays, le ministre a assuré que ces diplômes "ne posent aucun problème de reconnaissance", soulignant, toutefois, la nécessité d‘améliorer la qualité de l‘enseignement pour réhabiliter l‘université algérienne. M. Mebarki a, en outre, insisté sur la nécessité de créer des filières d‘excellence devant permettre à l‘université algérienne de jouer "pleinement" son rôle dans la formation et l‘émergence d‘une élite d‘avenir. Le ministre a plaidé, à ce propos, pour une décentralisation dans la création de ces filières d‘excellence en faisant participer les enseignants, à travers leurs comités pédagogiques et conseils scientifiques, à toute décision concernant l‘avenir de l‘université algérienne. Interrogé sur la rentrée universitaire 2013/2014, M. Mebarki a estimé qu‘elle s‘est déroulée "globalement" dans de "bonnes conditions", grâce, a-t-il dit, aux efforts consentis par l‘Etat pour améliorer les conditions d‘accueil des étudiants. Reconnaissant l‘existence de "dysfonctionnements" dans l‘application du système LMD, le ministre a indiqué, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio algérienne, que l‘Algérie s‘attellera à améliorer ce système, mais "ne l‘abandonnera pas". "A chaque fois qu‘il y a un dysfonctionnement qui apparaît, il doit être corrigé dans la concertation. Il faut évaluer au fur et à mesure ce système pour le rendre plus dynamique, plus souple et l‘amener à répondre aux objectifs pour lesquels il a été adopté", a-t-il expliqué. Evoquant l‘adéquation des diplômés de l‘université algérienne avec l‘économie du pays, le ministre a assuré que ces diplômes "ne posent aucun problème de reconnaissance", soulignant, toutefois, la nécessité d‘améliorer la qualité de l‘enseignement pour réhabiliter l‘université algérienne. M. Mebarki a, en outre, insisté sur la nécessité de créer des filières d‘excellence devant permettre à l‘université algérienne de jouer "pleinement" son rôle dans la formation et l‘émergence d‘une élite d‘avenir. Le ministre a plaidé, à ce propos, pour une décentralisation dans la création de ces filières d‘excellence en faisant participer les enseignants, à travers leurs comités pédagogiques et conseils scientifiques, à toute décision concernant l‘avenir de l‘université algérienne. Interrogé sur la rentrée universitaire 2013/2014, M. Mebarki a estimé qu‘elle s‘est déroulée "globalement" dans de "bonnes conditions", grâce, a-t-il dit, aux efforts consentis par l‘Etat pour améliorer les conditions d‘accueil des étudiants.