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Des terroristes affluent du monde entier en renfort
Syrie, après la mise en déroute par l'armée desgroupes djihadjistes
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 10 - 2013

les combattants terroristes en Syrie proviennent d'une soixantaine de pays, mais surtout d'Arabie saoudite, de Libye et de Tunisie. On compterait dans leurs rangs des ressortissants de Grande-Bretagne, de Belgique, de France, des Pays-Bas et des Etats-Unis...
les combattants terroristes en Syrie proviennent d'une soixantaine de pays, mais surtout d'Arabie saoudite, de Libye et de Tunisie. On compterait dans leurs rangs des ressortissants de Grande-Bretagne, de Belgique, de France, des Pays-Bas et des Etats-Unis...
Les intégristes islamistes du monde entier affluent en Syrie pour pour venir au secours de leurs pairs acculés par l'armée dans leurs derniers retranchements. Selon le Washington Times, qui cite des spécialistes du renseignement, il y aurait entre 5.000 et 10.000 étrangers dans les rangs des rebelles syriens.
Beaucoup d'entre eux sont affiliés à des formations proches d'Al-Qaïda comme l'Etat islamique d'Irak et du Levant de même que Jabhat al- Nusra qui sont parmi les mieux financés par l'Arabie saoudite et d'autres financvierqs occultes. Ces groupes sont constitués majoritairement de fanatiques prêts à sacrifier leur vie pour imposer un Etat islamique sunnite en Syrie. Et au sein de l'opposition, la faction extrémiste djihadiste progresse au détriment de la Coalition nationale syrienne modérée.
Le mois dernier, une douzaine de factions rebelles syriennes, en majorité des islamistes appuyés par l'Arabie saoudite, ont rompu avec la coalition. L'Arabie saoudite est maintenant le principal soutien financier des rebelles intégristes religieux alors que les Etats-Unis font tout pour diminuer leur importance au sein de la rébellion.
Pour manifester sa déception après "l'annulation" de l'option armée l'Arabie saoudite a renoncé à siéger au Conseil de sécurité des Nations unies, dénonçant l'incapacité de l'Onu à l'aider à instaurer un régime islamiste en Syrie.
La situation actuelle en Syrie rappelle celle de l'Afghanistan dans les années 80 alors que les intégristes islamistes financés, armés et conseillés par les Etats-Unis, le Pakistan et l'Arabie saoudite, menaient une guérilla contre le régime de Kaboul soutenu par l'Union soviétique. Les djihadistes finiront par chasser les Russes et par prendre le pouvoir pour y établir un Etat gouverné selon les principes de la Charia. La guérilla se poursuit à ce jour.
Le Washington Times rapporte que les combattants étrangers en Syrie proviennent d'une soixantaine de pays, mais surtout d'Arabie saoudite, de Libye et de Tunisie. On compterait dans leurs rangs des ressortissants de Grande-Bretagne, de Belgique, de France, des Pays-Bas et des Etats-Unis. Dans un témoignage devant une commission parlementaire au Capitole la semaine dernière, un ancien analyste de la CIA,
Michael Scheuer, a fait un parallèle inquiétant entre l'Afghanistan et la Syrie notant qu'Oussama Ben Laden s'était initié à la guerre de l'ombre en combattants les Soviétiques en Afghanistan avant d'appliquer les techniques apprises contre les Etats-Unis. Scheuer craint que l'on assiste au même phénomène avec les anciens combattants islamistes de Syrie lorsqu'ils reviendront dans leur pays.
Les intégristes islamistes du monde entier affluent en Syrie pour pour venir au secours de leurs pairs acculés par l'armée dans leurs derniers retranchements. Selon le Washington Times, qui cite des spécialistes du renseignement, il y aurait entre 5.000 et 10.000 étrangers dans les rangs des rebelles syriens.
Beaucoup d'entre eux sont affiliés à des formations proches d'Al-Qaïda comme l'Etat islamique d'Irak et du Levant de même que Jabhat al- Nusra qui sont parmi les mieux financés par l'Arabie saoudite et d'autres financvierqs occultes. Ces groupes sont constitués majoritairement de fanatiques prêts à sacrifier leur vie pour imposer un Etat islamique sunnite en Syrie. Et au sein de l'opposition, la faction extrémiste djihadiste progresse au détriment de la Coalition nationale syrienne modérée.
Le mois dernier, une douzaine de factions rebelles syriennes, en majorité des islamistes appuyés par l'Arabie saoudite, ont rompu avec la coalition. L'Arabie saoudite est maintenant le principal soutien financier des rebelles intégristes religieux alors que les Etats-Unis font tout pour diminuer leur importance au sein de la rébellion.
Pour manifester sa déception après "l'annulation" de l'option armée l'Arabie saoudite a renoncé à siéger au Conseil de sécurité des Nations unies, dénonçant l'incapacité de l'Onu à l'aider à instaurer un régime islamiste en Syrie.
La situation actuelle en Syrie rappelle celle de l'Afghanistan dans les années 80 alors que les intégristes islamistes financés, armés et conseillés par les Etats-Unis, le Pakistan et l'Arabie saoudite, menaient une guérilla contre le régime de Kaboul soutenu par l'Union soviétique. Les djihadistes finiront par chasser les Russes et par prendre le pouvoir pour y établir un Etat gouverné selon les principes de la Charia. La guérilla se poursuit à ce jour.
Le Washington Times rapporte que les combattants étrangers en Syrie proviennent d'une soixantaine de pays, mais surtout d'Arabie saoudite, de Libye et de Tunisie. On compterait dans leurs rangs des ressortissants de Grande-Bretagne, de Belgique, de France, des Pays-Bas et des Etats-Unis. Dans un témoignage devant une commission parlementaire au Capitole la semaine dernière, un ancien analyste de la CIA,
Michael Scheuer, a fait un parallèle inquiétant entre l'Afghanistan et la Syrie notant qu'Oussama Ben Laden s'était initié à la guerre de l'ombre en combattants les Soviétiques en Afghanistan avant d'appliquer les techniques apprises contre les Etats-Unis. Scheuer craint que l'on assiste au même phénomène avec les anciens combattants islamistes de Syrie lorsqu'ils reviendront dans leur pays.


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