Un séminaire sur la modernisation du droit et des pratiques judiciaires et d'investigations en matière de lutte contre la corruption en Algérie et en France, organisé par l'Office central de répression de la corruption (OCRC) en partenariat avec l'ambassade de France en Algérie, a débuté lundi à Alger. Un séminaire sur la modernisation du droit et des pratiques judiciaires et d'investigations en matière de lutte contre la corruption en Algérie et en France, organisé par l'Office central de répression de la corruption (OCRC) en partenariat avec l'ambassade de France en Algérie, a débuté lundi à Alger. La séance d'ouverture de ce séminaire de trois jours s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère des Finances, Miloud Boutaba, représentant du ministre, du directeur général de l'OCRC, Abdelmalek Sayeh, et de l'ambassadeur de France en Algérie, André Parant. Les participants d'Algérie et de France débattront plusieurs thèmes autour des législations des deux pays en matière de lutte contre la corruption dont les techniques d'enquêtes et d'identification des comptes bancaires et la saisie et gel des avoirs ainsi que les voies et moyens de coopération possible. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a indiqué dans une allocution lue par le SG du ministère, que "la corruption constitue aujourd'hui plus que jamais un phénomène criminel grave qui gangrène les économies des Etats et freine leur développement". La séance d'ouverture de ce séminaire de trois jours s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère des Finances, Miloud Boutaba, représentant du ministre, du directeur général de l'OCRC, Abdelmalek Sayeh, et de l'ambassadeur de France en Algérie, André Parant. Les participants d'Algérie et de France débattront plusieurs thèmes autour des législations des deux pays en matière de lutte contre la corruption dont les techniques d'enquêtes et d'identification des comptes bancaires et la saisie et gel des avoirs ainsi que les voies et moyens de coopération possible. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a indiqué dans une allocution lue par le SG du ministère, que "la corruption constitue aujourd'hui plus que jamais un phénomène criminel grave qui gangrène les économies des Etats et freine leur développement".