Plusieurs commerçants et entrepreneurs algériens travaillent en Côte-d'Ivoire depuis de longues années, notamment dans le secteur de la restauration où ils ont trouvé une réussite dans leurs affaires. Plusieurs commerçants et entrepreneurs algériens travaillent en Côte-d'Ivoire depuis de longues années, notamment dans le secteur de la restauration où ils ont trouvé une réussite dans leurs affaires. L'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) annonce que le Centre de promotion des investissements en Côte d'Ivoire (CEPICI) invite les opérateurs économiques algériens pour participer au Forum Investir en 2014 en Côte d'Ivoire (ICI 2014), prévu du 29 janvier au 1er février 2014 dans la capitale ivoirienne Abidjan. L'évènement ICI 2014 est considéré par les organisateurs de cette rencontre comme "le rendez-vous incontournable pour promouvoir les opportunités considérables d'investissements du pays auprès de partenaires financiers et industriels venus du monde entier mais aussi, et avant tout, auprès d'investisseurs ivoiriens, C'est un évènement qui constitue une occasion pour les entreprises algériennes afin de découvrir ces opportunités mises à leurs dispositions". Les promoteurs de cet évènement affirment "qu'en 2012, ces progrès ont permis d'enregistrer un taux de croissance du PIB de 9,8 %". Aussi, les autorités ivoiriennes veulent faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent. Elles veulent qu'il soit "le hub de la sous-région, la porte d'entrée vers l'Afrique de l'Ouest, un marché de plus de 300 millions d'habitants. La réalisation de cette ambition passe par des partenariats forts et durables avec des opérateurs économiques capables de saisir les opportunités créées par la croissance". Plusieurs commerçants et entrepreneurs algériens travaillent en Côte-d'Ivoire depuis de longues années, notamment dans le secteur de la restauration où ils ont trouvé une réussite dans leurs affaires, sachant que les patrons algériens jouissent d'une grande estime de la part des autorités, mais également de la population ivoirienne. Cependant, les exportateurs nationaux, notamment ceux du secteur privé, ont réellement l'intention d'investir les marchés des pays subsahariens, surtout les opérateurs spécialisés dans l'agroalimentaire qui ont trouvé un créneau important en Afrique pour la commercialisation de leurs produits agricoles bio (dattes, agrumes, primeurs...). L'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) annonce que le Centre de promotion des investissements en Côte d'Ivoire (CEPICI) invite les opérateurs économiques algériens pour participer au Forum Investir en 2014 en Côte d'Ivoire (ICI 2014), prévu du 29 janvier au 1er février 2014 dans la capitale ivoirienne Abidjan. L'évènement ICI 2014 est considéré par les organisateurs de cette rencontre comme "le rendez-vous incontournable pour promouvoir les opportunités considérables d'investissements du pays auprès de partenaires financiers et industriels venus du monde entier mais aussi, et avant tout, auprès d'investisseurs ivoiriens, C'est un évènement qui constitue une occasion pour les entreprises algériennes afin de découvrir ces opportunités mises à leurs dispositions". Les promoteurs de cet évènement affirment "qu'en 2012, ces progrès ont permis d'enregistrer un taux de croissance du PIB de 9,8 %". Aussi, les autorités ivoiriennes veulent faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent. Elles veulent qu'il soit "le hub de la sous-région, la porte d'entrée vers l'Afrique de l'Ouest, un marché de plus de 300 millions d'habitants. La réalisation de cette ambition passe par des partenariats forts et durables avec des opérateurs économiques capables de saisir les opportunités créées par la croissance". Plusieurs commerçants et entrepreneurs algériens travaillent en Côte-d'Ivoire depuis de longues années, notamment dans le secteur de la restauration où ils ont trouvé une réussite dans leurs affaires, sachant que les patrons algériens jouissent d'une grande estime de la part des autorités, mais également de la population ivoirienne. Cependant, les exportateurs nationaux, notamment ceux du secteur privé, ont réellement l'intention d'investir les marchés des pays subsahariens, surtout les opérateurs spécialisés dans l'agroalimentaire qui ont trouvé un créneau important en Afrique pour la commercialisation de leurs produits agricoles bio (dattes, agrumes, primeurs...).