La Direction de l'action sociale (DAS) de la wilaya de Jijel a organisé, la semaine dernière, des journées de prévention et de sensibilisation aux dangers encourus par les enfants et les adolescents. Cette campagne, organisée en partenariat avec les structures sanitaires, pédagogiques, sécuritaires et religieuses en contact avec ces tranches d'âge, particulièrement vulnérables devant les fléaux de la drogue, de l'alcool et autres maux sociaux, a ciblé essentiellement les élèves des écoles et des lycées, ainsi que les enfants en danger moral, selon le DAS, Mohamed-Salah Khentouche. La Direction de l'action sociale (DAS) de la wilaya de Jijel a organisé, la semaine dernière, des journées de prévention et de sensibilisation aux dangers encourus par les enfants et les adolescents. Cette campagne, organisée en partenariat avec les structures sanitaires, pédagogiques, sécuritaires et religieuses en contact avec ces tranches d'âge, particulièrement vulnérables devant les fléaux de la drogue, de l'alcool et autres maux sociaux, a ciblé essentiellement les élèves des écoles et des lycées, ainsi que les enfants en danger moral, selon le DAS, Mohamed-Salah Khentouche. Le fléau le plus inquiétant est celui de la drogue, a estimé le même responsable qui a également cité "les ravages causés par l'addiction aux psychotropes en milieu juvénile, encore plus que l'alcoolisme". Une caravane de sensibilisation composée de cadres de la Direction de la santé, d'éléments de la Gendarmerie nationale et de la sûreté de wilaya, ainsi que de psychologues et d'imams va sillonner les écoles, les collèges et les lycées ainsi que les quartiers populaires de la ville de Jijel. Des psychothérapeutes, des médecins, des cadres de l'Office des établissements de jeunesse (Odej), des représentants des corps de sécurité, des imams et des éducateurs se sont succédé à la tribune, lors de l'ouverture de cette journée, pour expliciter le phénomène de la toxicomanie et de ses impacts dévastateurs sur la personnalité, la santé et les relations sociales du consommateur. "Ce sont surtout les enfants exclus des écoles et ceux qui font très souvent l'école buissonnière qui encourent le plus de dangers moraux", a expliqué Merimèche Mériem, psychologue au sein de la DAS. "Dès que l'enfant commence à s'absenter de l'école, à veiller dehors ou à découcher, il devient la victime toute désignée de toutes sortes d'agressions et d'addictions", a-t-elle affirmé, soulignant que l'enfant est, dans ce cas, "poussé par un milieu marginal à voler, à s'adonner à la drogue et à commettre des attentats à la pudeur ou à en subir". Une journée d'études sur les maux sociaux sera également organisée, mercredi dernier, au centre spécialisé de rééducation de Taher. Le fléau le plus inquiétant est celui de la drogue, a estimé le même responsable qui a également cité "les ravages causés par l'addiction aux psychotropes en milieu juvénile, encore plus que l'alcoolisme". Une caravane de sensibilisation composée de cadres de la Direction de la santé, d'éléments de la Gendarmerie nationale et de la sûreté de wilaya, ainsi que de psychologues et d'imams va sillonner les écoles, les collèges et les lycées ainsi que les quartiers populaires de la ville de Jijel. Des psychothérapeutes, des médecins, des cadres de l'Office des établissements de jeunesse (Odej), des représentants des corps de sécurité, des imams et des éducateurs se sont succédé à la tribune, lors de l'ouverture de cette journée, pour expliciter le phénomène de la toxicomanie et de ses impacts dévastateurs sur la personnalité, la santé et les relations sociales du consommateur. "Ce sont surtout les enfants exclus des écoles et ceux qui font très souvent l'école buissonnière qui encourent le plus de dangers moraux", a expliqué Merimèche Mériem, psychologue au sein de la DAS. "Dès que l'enfant commence à s'absenter de l'école, à veiller dehors ou à découcher, il devient la victime toute désignée de toutes sortes d'agressions et d'addictions", a-t-elle affirmé, soulignant que l'enfant est, dans ce cas, "poussé par un milieu marginal à voler, à s'adonner à la drogue et à commettre des attentats à la pudeur ou à en subir". Une journée d'études sur les maux sociaux sera également organisée, mercredi dernier, au centre spécialisé de rééducation de Taher.