Tayeb Belaïz a affirmé que l'Etat va mener une lutte contre la bureaucratie. Il a promis d'alléger les documents administratifs pour les citoyens dont les passeport, permis de conduire, carte d'identité et carte grise. Une commission spéciale est actuellement à pied d'œuvre pour étudier les nouvelles formes de ces documents. Tayeb Belaïz a affirmé que l'Etat va mener une lutte contre la bureaucratie. Il a promis d'alléger les documents administratifs pour les citoyens dont les passeport, permis de conduire, carte d'identité et carte grise. Une commission spéciale est actuellement à pied d'œuvre pour étudier les nouvelles formes de ces documents. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz, est sorti de ses gonds avant-hier à Ghardaïa pour déplorer les formes de la bureaucratie de l'administration en indiquant la nécessité «de mener une lutte contre toute forme de bureaucratie, d'améliorer les conditions d'accueil des citoyens et d'être à l'écoute de leurs doléances». Comme première mesure, le ministre a évoqué qu'un travail est en train de se faire pour alléger les documents administratifs tels le passeport, permis de conduire, carte de grise et la carte d'identité. Il a signifié qu'une commission ministérielle de son département a été désignée spécialement pour étudier les possibilités d'allègement de ces documents dans le strict respect des lois de la République. «Nous devons alléger au maximum la constitution des dossiers pour l'acquisition de documents personnels (carte d'identité, passeport, permis de conduire, carte grise) en luttant, dans le respect des lois de la République, contre les contraintes, les obstacles et la bureaucratie», a-t-il déclaré lors d'un point de presse. Il a en outre évoqué que «des missions d'inspection seront menées inopinément à travers les différentes wilayas, daïras et communes, par des émissaires pour contrôler et évaluer le travail de l'administration et des élus locaux et s'enquérir du bon fonctionnement des services administratifs». Il emboîte le pas au ministre chargé de la Réforme du service public qui, dans ses déclarations, a promis d'assainir les administrations publiques et certaines institutions de la bureaucratie tentaculaire qui «ruine la confiance des citoyens envers leurs institutions». De même, il n'a pas été indifférent à certains problèmes qui affectent les communes où il a souligné l'importance de «la participation des comités de quartier et du citoyen en général dans la prise de décisions concernant leur commune, conformément aux lois de la République émises dans le code communal». Selon lui «personne ne peut connaître les problèmes de la commune ou de la cité mieux que ceux qui y résident». En effet, certaines communes du pays sont le théâtre, ces derniers temps, d'une fronde citoyenne dénonçant la «mauvaise gestion» de leurs cités et la négligence autour de projets de développement qui accusent un retard flagrant dans leur réalisation. C'est dans cette optique que le ministre de l'Intérieur a mis l'accent particulièrement sur la promotion de l'investissement local. Selon ce dernier, des instructions ont été données aux walis pour «libérer les initiatives des investisseurs et promoteurs et leur apporter aide dans le respect des lois de la République afin de créer des postes de travail pour les jeunes et assurer la richesse durable». Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz, est sorti de ses gonds avant-hier à Ghardaïa pour déplorer les formes de la bureaucratie de l'administration en indiquant la nécessité «de mener une lutte contre toute forme de bureaucratie, d'améliorer les conditions d'accueil des citoyens et d'être à l'écoute de leurs doléances». Comme première mesure, le ministre a évoqué qu'un travail est en train de se faire pour alléger les documents administratifs tels le passeport, permis de conduire, carte de grise et la carte d'identité. Il a signifié qu'une commission ministérielle de son département a été désignée spécialement pour étudier les possibilités d'allègement de ces documents dans le strict respect des lois de la République. «Nous devons alléger au maximum la constitution des dossiers pour l'acquisition de documents personnels (carte d'identité, passeport, permis de conduire, carte grise) en luttant, dans le respect des lois de la République, contre les contraintes, les obstacles et la bureaucratie», a-t-il déclaré lors d'un point de presse. Il a en outre évoqué que «des missions d'inspection seront menées inopinément à travers les différentes wilayas, daïras et communes, par des émissaires pour contrôler et évaluer le travail de l'administration et des élus locaux et s'enquérir du bon fonctionnement des services administratifs». Il emboîte le pas au ministre chargé de la Réforme du service public qui, dans ses déclarations, a promis d'assainir les administrations publiques et certaines institutions de la bureaucratie tentaculaire qui «ruine la confiance des citoyens envers leurs institutions». De même, il n'a pas été indifférent à certains problèmes qui affectent les communes où il a souligné l'importance de «la participation des comités de quartier et du citoyen en général dans la prise de décisions concernant leur commune, conformément aux lois de la République émises dans le code communal». Selon lui «personne ne peut connaître les problèmes de la commune ou de la cité mieux que ceux qui y résident». En effet, certaines communes du pays sont le théâtre, ces derniers temps, d'une fronde citoyenne dénonçant la «mauvaise gestion» de leurs cités et la négligence autour de projets de développement qui accusent un retard flagrant dans leur réalisation. C'est dans cette optique que le ministre de l'Intérieur a mis l'accent particulièrement sur la promotion de l'investissement local. Selon ce dernier, des instructions ont été données aux walis pour «libérer les initiatives des investisseurs et promoteurs et leur apporter aide dans le respect des lois de la République afin de créer des postes de travail pour les jeunes et assurer la richesse durable».