Le président français François Hollande devait rencontre hier à Ramallah son homologue palestinien Mahmoud Abbas, dans le cadre de sa première visite entamée dimanche au Proche-Orient. M. Hollande, accompagné de plusieurs ministres, dont le chef de la diplomatie Laurent Fabius, est arrivé dans la journée à El- Qods occupée. Le président français François Hollande devait rencontre hier à Ramallah son homologue palestinien Mahmoud Abbas, dans le cadre de sa première visite entamée dimanche au Proche-Orient. M. Hollande, accompagné de plusieurs ministres, dont le chef de la diplomatie Laurent Fabius, est arrivé dans la journée à El- Qods occupée. Durant son séjour de trois jours, l'un des plus longs à l'étranger depuis le début de son quinquennat, le chef d'Etat français devait rencontrer le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le président Mahmoud Abbas pour, notamment, discuter du conflit israélo-palestinien dans l'impasse. M. Hollande plaidera pour "une solution à deux Etats" avec des garanties de sécurité pour l'Etat hébreu et de viabilité pour la Palestine, selon l'Elysée. Il devrait à nouveau dénoncer la colonisation juive. L'occupant israélien avait lancé mardi dernier des appels d'offres prévoyant la planification de 20.000 logements en Cisjordanie occupée, un chiffre record. La communauté internationale, a condamné ce projet, qui couperait en deux la Cisjordanie, compromettant la viabilité d'un Etat palestinien. Après cette annonce, le président Abbas avait menacé de mettre fin aux négociations qui ont repris il y a quelques mois après trois ans d'interruption, suite au refus du gouvernement israélien, en septembre 2010, de geler la colonisation du territoire palestinien occupé. La visite du président français dans la région intervient également dans le cadre de la reprise des négociations entre les grandes puissance mondiales et l'Iran à Genève sur le dossier nucléaire et qui pourraient aboutir, selon la diplomatie russe, à un accord la semaine prochaine. "Les négociations sur le nucléaire iranien ont permis d'éliminer les domaines fondamentaux de désaccord", a déclaré samedi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, estimant qu'un accordétait possible "la semaine prochaine" Durant son séjour de trois jours, l'un des plus longs à l'étranger depuis le début de son quinquennat, le chef d'Etat français devait rencontrer le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le président Mahmoud Abbas pour, notamment, discuter du conflit israélo-palestinien dans l'impasse. M. Hollande plaidera pour "une solution à deux Etats" avec des garanties de sécurité pour l'Etat hébreu et de viabilité pour la Palestine, selon l'Elysée. Il devrait à nouveau dénoncer la colonisation juive. L'occupant israélien avait lancé mardi dernier des appels d'offres prévoyant la planification de 20.000 logements en Cisjordanie occupée, un chiffre record. La communauté internationale, a condamné ce projet, qui couperait en deux la Cisjordanie, compromettant la viabilité d'un Etat palestinien. Après cette annonce, le président Abbas avait menacé de mettre fin aux négociations qui ont repris il y a quelques mois après trois ans d'interruption, suite au refus du gouvernement israélien, en septembre 2010, de geler la colonisation du territoire palestinien occupé. La visite du président français dans la région intervient également dans le cadre de la reprise des négociations entre les grandes puissance mondiales et l'Iran à Genève sur le dossier nucléaire et qui pourraient aboutir, selon la diplomatie russe, à un accord la semaine prochaine. "Les négociations sur le nucléaire iranien ont permis d'éliminer les domaines fondamentaux de désaccord", a déclaré samedi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, estimant qu'un accordétait possible "la semaine prochaine"