Une filière de trafic de monnaies anciennes a été démantelée par la Gendarmerie nationale. Les trafiquants écumaient les sites archéologiques de Souk Ahras et Tébessa. 86 pièces de monnaie originales de différentes époques et civilisations ont été récupérées. Une filière de trafic de monnaies anciennes a été démantelée par la Gendarmerie nationale. Les trafiquants écumaient les sites archéologiques de Souk Ahras et Tébessa. 86 pièces de monnaie originales de différentes époques et civilisations ont été récupérées. Le démantèlement de cette filière s'est effectué grâce aux renseignements parvenus aux gendarmes de la brigade de Hammamet, à Tébessa. Après plusieurs mois d'enquête, de surveillance et de filature dans les wilayas de Tébessa, Constantine et Souk Ahras, les gendarmes appuyés par la brigade de la lutte contre les biens culturels a mis la main sur les trois chefs de bande qui ont été présentés devant le procureur de la République près la Cour de Tébessa pour « association de malfaiteurs et vols commis en bande organisée». Statues, monnaies anciennes et pièces archéologiques très rares remontant à la civilisation romaine. Parmi ces pièces volées figurent des pièces de monnaies françaises et roumaines remontant à d'anciennes civilisations, notamment 70 pièces de monnaies originales en bronze remontant à l'époque romaine. Les trois individus ont avoué plusieurs pillages effectués durant la nuit. La valeur des pièces volées est estimé à plus de 50.000 euros, selon des experts du musée de Cirta à Constantine. Ces derniers, ont confirmé l'ancienneté des pièces archéologiques, lorsque les gendarmes se sont présentés devant eux pour expertiser les pièces saisies. Le réseau s'occcertains collectionneurs amateurs et des brocanteurs en France, en Tunisie et en Espagne. D'ailleurs, la Tunisie est une plaque tournante de ce trafic depuis plusieurs années. Là-bas, le trafic des objets d'antiquités est connu par les services de sécurité, la plupart des pièces archéologiques qui transitent par la Tunisie vers la France parviennent de l'Algérie. Le démantèlement de cette filière s'est effectué grâce aux renseignements parvenus aux gendarmes de la brigade de Hammamet, à Tébessa. Après plusieurs mois d'enquête, de surveillance et de filature dans les wilayas de Tébessa, Constantine et Souk Ahras, les gendarmes appuyés par la brigade de la lutte contre les biens culturels a mis la main sur les trois chefs de bande qui ont été présentés devant le procureur de la République près la Cour de Tébessa pour « association de malfaiteurs et vols commis en bande organisée». Statues, monnaies anciennes et pièces archéologiques très rares remontant à la civilisation romaine. Parmi ces pièces volées figurent des pièces de monnaies françaises et roumaines remontant à d'anciennes civilisations, notamment 70 pièces de monnaies originales en bronze remontant à l'époque romaine. Les trois individus ont avoué plusieurs pillages effectués durant la nuit. La valeur des pièces volées est estimé à plus de 50.000 euros, selon des experts du musée de Cirta à Constantine. Ces derniers, ont confirmé l'ancienneté des pièces archéologiques, lorsque les gendarmes se sont présentés devant eux pour expertiser les pièces saisies. Le réseau s'occcertains collectionneurs amateurs et des brocanteurs en France, en Tunisie et en Espagne. D'ailleurs, la Tunisie est une plaque tournante de ce trafic depuis plusieurs années. Là-bas, le trafic des objets d'antiquités est connu par les services de sécurité, la plupart des pièces archéologiques qui transitent par la Tunisie vers la France parviennent de l'Algérie.