C'est une grande opération que les gendarmes de Ghardaïa viennent d'exécuter contre les cartels de drogues dures (cocaïne et héroine). Dans un communiqué de la Gendarmerie nationale, cette dernière annonce l'arrestation de sept Subsahariens et d'un Franco-Algérien figurant dans un réseau transnational en possession de quatre kilos de cocaïne et d'héroine. C'est une grande opération que les gendarmes de Ghardaïa viennent d'exécuter contre les cartels de drogues dures (cocaïne et héroine). Dans un communiqué de la Gendarmerie nationale, cette dernière annonce l'arrestation de sept Subsahariens et d'un Franco-Algérien figurant dans un réseau transnational en possession de quatre kilos de cocaïne et d'héroine. Quatre Africains parmi les sept ont été interpellés à Ghardaïa tandis que les trois autres ont été interpellés à Oran en compagnie d'un Franco-Algérien suite à l'extension d'expertise des gendarmes. En effet, l'arrestation des huit dangereux trafiquants a commencé suite à un accident de la circulation d'un bus de voyageurs sur la RN01 reliant El Menea à Ghardaïa. Ici, quatre Maliens dont une femme étaient à bord du bus qui s'est renversé lors de cet accident de la circulation. Evacués vers l'hôpital de Ghardaïa, les quatre Maliens ont reçu les premiers soins, cela avant l'arrivée des gendarmes de Ghardaïa sur place pour comptabiliser le nombre des blessés de cet accident. En voyant les gendarmes, les Africains blessés ont paniqué et c'est-ce qui a attiré l'attention des gendarmes. Interrogés par les gendarmes, les Subsahariens n'étaient pas à l'aise, tandis que leurs visages étaient bouleversés et c'est ce qui a poussé davantage les gendarmes à interroger encore les intéressés. Au cours de leurs interrogatoires, un ressortissant nigérian était le plus paniqué parmi les Africains blessés dans l'accident routier. Ce Nigérian a été soumis, par les gendarmes, à des analyses physiques approfondies, notamment des analyses par scanner. Ces radios aux infrarouges faites au Nigérian a permis aux gendarmes la découverte de plusieurs corps mystérieux dans l'estomac de l'intéressé. Avec l'aide du médecin de garde, les gendarmes ont pu découvrir quil s'agissait, finalement, de capsules en plastique contenant de la cocaïne, au nombre de quatre, qui étaient dissimulées dans son estomac. Ce dernier a pu, toutefois, s'échapper de l'hôpital avant même que les gendarmes ne procèdent à son arrestation. Face à cette situation, les gendarmes ont très vite déployé leurs éléments afin de localiser le fuyard et procéder à son arrestation ainsi que les autres ressortissants africains qui l'accompagnaient. Une course-poursuite s'en est alors déclenchée dans le but d'interpeller les trafiquants de cocaïne qui voulaient faire passer la drogue dure en Algérie. Après une heure de traque, durant laquelle les gendarmes ont intensifié les recherches, après l'alerte donnée par leurs collègues de Ghardaïa, les points de contrôles, les patrouilles mobiles et les inspections ont été été intensifiés couvrant les entrées et les sorties de la ville et même les lieux les plus isolés. Quatre Africains dont une femme âgée de 22 ans, d'origine malienne sont arrêtés. Emmenés vers l'hôpital, les quatre Maliens ont été soumis à un scanner afin de déterminer s'ils cachent des capsules de cocaïne dans leurs estomacs. Effectivement, les images diffusées par le scanner ont bel et bien montré que des capsules étaient cachées dans l'estomac des quatre suspects. Aussi, le rapport infrarouge pratiqué sur les quatre Maliens a démontré, aussi, que ces derniers transportaient, en tout, 150 capsules contenant de la cocaïne et de l'héroïne. Pour confirmer qu'il s'agissait vraiment de la cocaïne et de l'héroïne, les gendarmes de Ghardaïa ont transféré les dizaines de capsules vers les laboratoires de l'Institut national de criminalistique et de criminologie (INCC) sis à Bouchaoui, à Alger. Ici, les résultats des gendarmes experts ont confirmé que les capsules contenant de la poudre blanche est de la cocaïne et de l'héroïne, dont 143 capsules d'un poids total de 2800 grammes seraient de la cocaïne et 6 autres capsules d'un poids de 1116 grammes s'agissaient de l'héroïne et enfin une capsule contenant de l'argent estimé par les gendarmes à 300 euros qui représentait les revenus de la vente des drogues dures du réseau. Aussi, les gendarmes ont découvert en possession des trafiquants africains une bouteille de jus de tomate utilisée par les trafiquants pour faire sortir des capsules. Deux passeports, des cartes d'asile délivrées par l'ONU, un PC mobile, des cartes d'identité falsifiées, des puces de téléphonie mobile et 300 euros ont été aussi saisis par les gendarmes. Enfin, trois autres africains et un Franco-Algérien figurant au sein du même réseau ont été arrêtés, cette fois à Oran, suite à l'extension d'expertise menée par les gendarmes. Les huit mis en cause ont été présentés devant le tribunal de Ouargla, et ont été écroués. Quatre Africains parmi les sept ont été interpellés à Ghardaïa tandis que les trois autres ont été interpellés à Oran en compagnie d'un Franco-Algérien suite à l'extension d'expertise des gendarmes. En effet, l'arrestation des huit dangereux trafiquants a commencé suite à un accident de la circulation d'un bus de voyageurs sur la RN01 reliant El Menea à Ghardaïa. Ici, quatre Maliens dont une femme étaient à bord du bus qui s'est renversé lors de cet accident de la circulation. Evacués vers l'hôpital de Ghardaïa, les quatre Maliens ont reçu les premiers soins, cela avant l'arrivée des gendarmes de Ghardaïa sur place pour comptabiliser le nombre des blessés de cet accident. En voyant les gendarmes, les Africains blessés ont paniqué et c'est-ce qui a attiré l'attention des gendarmes. Interrogés par les gendarmes, les Subsahariens n'étaient pas à l'aise, tandis que leurs visages étaient bouleversés et c'est ce qui a poussé davantage les gendarmes à interroger encore les intéressés. Au cours de leurs interrogatoires, un ressortissant nigérian était le plus paniqué parmi les Africains blessés dans l'accident routier. Ce Nigérian a été soumis, par les gendarmes, à des analyses physiques approfondies, notamment des analyses par scanner. Ces radios aux infrarouges faites au Nigérian a permis aux gendarmes la découverte de plusieurs corps mystérieux dans l'estomac de l'intéressé. Avec l'aide du médecin de garde, les gendarmes ont pu découvrir quil s'agissait, finalement, de capsules en plastique contenant de la cocaïne, au nombre de quatre, qui étaient dissimulées dans son estomac. Ce dernier a pu, toutefois, s'échapper de l'hôpital avant même que les gendarmes ne procèdent à son arrestation. Face à cette situation, les gendarmes ont très vite déployé leurs éléments afin de localiser le fuyard et procéder à son arrestation ainsi que les autres ressortissants africains qui l'accompagnaient. Une course-poursuite s'en est alors déclenchée dans le but d'interpeller les trafiquants de cocaïne qui voulaient faire passer la drogue dure en Algérie. Après une heure de traque, durant laquelle les gendarmes ont intensifié les recherches, après l'alerte donnée par leurs collègues de Ghardaïa, les points de contrôles, les patrouilles mobiles et les inspections ont été été intensifiés couvrant les entrées et les sorties de la ville et même les lieux les plus isolés. Quatre Africains dont une femme âgée de 22 ans, d'origine malienne sont arrêtés. Emmenés vers l'hôpital, les quatre Maliens ont été soumis à un scanner afin de déterminer s'ils cachent des capsules de cocaïne dans leurs estomacs. Effectivement, les images diffusées par le scanner ont bel et bien montré que des capsules étaient cachées dans l'estomac des quatre suspects. Aussi, le rapport infrarouge pratiqué sur les quatre Maliens a démontré, aussi, que ces derniers transportaient, en tout, 150 capsules contenant de la cocaïne et de l'héroïne. Pour confirmer qu'il s'agissait vraiment de la cocaïne et de l'héroïne, les gendarmes de Ghardaïa ont transféré les dizaines de capsules vers les laboratoires de l'Institut national de criminalistique et de criminologie (INCC) sis à Bouchaoui, à Alger. Ici, les résultats des gendarmes experts ont confirmé que les capsules contenant de la poudre blanche est de la cocaïne et de l'héroïne, dont 143 capsules d'un poids total de 2800 grammes seraient de la cocaïne et 6 autres capsules d'un poids de 1116 grammes s'agissaient de l'héroïne et enfin une capsule contenant de l'argent estimé par les gendarmes à 300 euros qui représentait les revenus de la vente des drogues dures du réseau. Aussi, les gendarmes ont découvert en possession des trafiquants africains une bouteille de jus de tomate utilisée par les trafiquants pour faire sortir des capsules. Deux passeports, des cartes d'asile délivrées par l'ONU, un PC mobile, des cartes d'identité falsifiées, des puces de téléphonie mobile et 300 euros ont été aussi saisis par les gendarmes. Enfin, trois autres africains et un Franco-Algérien figurant au sein du même réseau ont été arrêtés, cette fois à Oran, suite à l'extension d'expertise menée par les gendarmes. Les huit mis en cause ont été présentés devant le tribunal de Ouargla, et ont été écroués.