Une partie des plus de 1.000 tonnes d'armes chimiques de l'arsenal syrien sera détruite en mer sur un navire appartenant aux Etats-Unis, a annoncé l'OIAC samedi 30 novembre. "Le directeur général [de l'OIAC] a indiqué que les opérations de neutralisation [des armes chimiques] seront menées en mer sur un navire des Etats-Unis en utilisant la technique de l'hydrolyse", a indiqué l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), dont le siège est à La Haye, dans un communiqué. Une partie des plus de 1.000 tonnes d'armes chimiques de l'arsenal syrien sera détruite en mer sur un navire appartenant aux Etats-Unis, a annoncé l'OIAC samedi 30 novembre. "Le directeur général [de l'OIAC] a indiqué que les opérations de neutralisation [des armes chimiques] seront menées en mer sur un navire des Etats-Unis en utilisant la technique de l'hydrolyse", a indiqué l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), dont le siège est à La Haye, dans un communiqué. "Un navire est actuellement modifié pour pouvoir accueillir les opérations et supporter les opérations de vérification de l'OIAC", a ajouté l'organisation. Les armes syriennes les plus dangereuses doivent être transportées hors du pays avant le 31 décembre, aux termes d'un accord du conseil exécutif de l'OIAC à la mi-novembre, qui avait alors adopté une feuille de route sur la destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014, comprenant un plan détaillé des méthodes possibles de destruction de ces armes sur terre ou en mer. Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique hors de Syrie, aucun pays n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol. La majorité des autres armes chimiques et des précurseurs entrant dans la composition de produits toxiques, à l'exception de l'isopropanol, pouvant servir à la fabrication de sarin, doit être retirée du pays d'ici le 5 février 2014. Les installations de production déclarées par le régime seront détruites entre le 15 décembre et le 15 mars 2014, selon l'OIAC. L'OIAC, qui supervise l'opération, avait invité, il y a une semaine, les firmes du secteur à manifester leur intérêt en vue de la destruction de près de 800 tonnes d'agents chimiques et de 7,7 millions de litres de résidus. La date limite était fixée à vendredi. "Un navire est actuellement modifié pour pouvoir accueillir les opérations et supporter les opérations de vérification de l'OIAC", a ajouté l'organisation. Les armes syriennes les plus dangereuses doivent être transportées hors du pays avant le 31 décembre, aux termes d'un accord du conseil exécutif de l'OIAC à la mi-novembre, qui avait alors adopté une feuille de route sur la destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014, comprenant un plan détaillé des méthodes possibles de destruction de ces armes sur terre ou en mer. Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique hors de Syrie, aucun pays n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol. La majorité des autres armes chimiques et des précurseurs entrant dans la composition de produits toxiques, à l'exception de l'isopropanol, pouvant servir à la fabrication de sarin, doit être retirée du pays d'ici le 5 février 2014. Les installations de production déclarées par le régime seront détruites entre le 15 décembre et le 15 mars 2014, selon l'OIAC. L'OIAC, qui supervise l'opération, avait invité, il y a une semaine, les firmes du secteur à manifester leur intérêt en vue de la destruction de près de 800 tonnes d'agents chimiques et de 7,7 millions de litres de résidus. La date limite était fixée à vendredi.