La réforme du service public commence à donner ses premiers résultats. Les documents administratifs ont été pour la plupart allégés. Le passeport, la carte d'identité et le permis de conduire sont les premiers concernés par ce lifting qui soulage les citoyens du fardeau bureaucratique. La réforme du service public commence à donner ses premiers résultats. Les documents administratifs ont été pour la plupart allégés. Le passeport, la carte d'identité et le permis de conduire sont les premiers concernés par ce lifting qui soulage les citoyens du fardeau bureaucratique. Le ministère de l'Intérieur annonce officiellement que les documents portant constitution de passeport, carte d'identité et permis de conduire connaîtront dès ce mois un important allègement. Pour le passeport, l'acte de naissance du père et l'enquête de police ont été tout bonnement supprimés. L'intéressé ne devra fournir que les documents qui le concernent à titre personnel. Idem pour le renouvellement du document de voyage qui devra suffire au minimum avec une durée de validité qui sera portée à 10 ans. La même chose concerne la carte d'identité nationale et le permis de conduire avec «la mise au point de procédures de célérité pour la délivrance de ces documents». L'acte de naissance 12 S sera délivré uniquement dans les communes de résidence. La carte grise qui, pour son obtention, pouvait durer des mois sera portée entre 2 à 3 jours. Ces démarches, rappelle le directeur général des libertés publiques au ministère de l'Intérieur, Mohamed Talbi, dans une déclaration à la chaîne III ont été réalisées «grâce au système informatique, certains documents peuvent être délivrés directement au niveau de la commune de résidence», précisant que l'extrait de naissance devrait, connaître un changement en comportant dans la marge «un code barre». Ce qui permettra à l'avenir d'éviter toute forme de trafic ou de subtilisation frauduleuse de documents de l'état-civil. Le DG de la réglementation et des libertés publiques indique que "deux textes réglementaires relatifs au passeport biométrique et à l'état-civil seront soumis au Conseil de gouvernement en application des instructions du Premier ministre sur l'amélioration du service public au niveau de l'administration". Réunis avant-hier, les directeurs de la réglementation et de l'administration générale ont reçu des instructions fermes des hautes autorités pour appliquer ces décisions. Le suivi de ces opérations sera assuré régulièrement en coordination avec d'autres secteurs. A titre d'illustration, les documents de recrutement pour les concours de la Fonction publique ont été réduits au maximum pour les postulants. Le ministère de l'Intérieur s'apprête à signer une convention avec le ministère de l'Education pour adopter cette mesure qui concerne également d'autres secteurs en liaison avec la Fonction publique. Concernant l'accueil dans les administrations publiques, le SG du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales Ahmed Adli a souligné dans son allocution «le très mauvais accueil que réservent certains préposés aux guichets et autres services au niveau de l'administration et notamment les services de l'état-civil. Pour lui, "la problématique réside dans les critères de recrutement". C'est dans ce cadre que ce haut responsable reconnaît "l'importance de la formation de cadres et fonctionnaires des collectivités locales" insistant sur le fait que «le sérieux et la bonne conduite» devraient pouvoir trouver leur place dans les critères de sélection pour prétendre à ce type de postes. Le ministère de l'Intérieur annonce officiellement que les documents portant constitution de passeport, carte d'identité et permis de conduire connaîtront dès ce mois un important allègement. Pour le passeport, l'acte de naissance du père et l'enquête de police ont été tout bonnement supprimés. L'intéressé ne devra fournir que les documents qui le concernent à titre personnel. Idem pour le renouvellement du document de voyage qui devra suffire au minimum avec une durée de validité qui sera portée à 10 ans. La même chose concerne la carte d'identité nationale et le permis de conduire avec «la mise au point de procédures de célérité pour la délivrance de ces documents». L'acte de naissance 12 S sera délivré uniquement dans les communes de résidence. La carte grise qui, pour son obtention, pouvait durer des mois sera portée entre 2 à 3 jours. Ces démarches, rappelle le directeur général des libertés publiques au ministère de l'Intérieur, Mohamed Talbi, dans une déclaration à la chaîne III ont été réalisées «grâce au système informatique, certains documents peuvent être délivrés directement au niveau de la commune de résidence», précisant que l'extrait de naissance devrait, connaître un changement en comportant dans la marge «un code barre». Ce qui permettra à l'avenir d'éviter toute forme de trafic ou de subtilisation frauduleuse de documents de l'état-civil. Le DG de la réglementation et des libertés publiques indique que "deux textes réglementaires relatifs au passeport biométrique et à l'état-civil seront soumis au Conseil de gouvernement en application des instructions du Premier ministre sur l'amélioration du service public au niveau de l'administration". Réunis avant-hier, les directeurs de la réglementation et de l'administration générale ont reçu des instructions fermes des hautes autorités pour appliquer ces décisions. Le suivi de ces opérations sera assuré régulièrement en coordination avec d'autres secteurs. A titre d'illustration, les documents de recrutement pour les concours de la Fonction publique ont été réduits au maximum pour les postulants. Le ministère de l'Intérieur s'apprête à signer une convention avec le ministère de l'Education pour adopter cette mesure qui concerne également d'autres secteurs en liaison avec la Fonction publique. Concernant l'accueil dans les administrations publiques, le SG du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales Ahmed Adli a souligné dans son allocution «le très mauvais accueil que réservent certains préposés aux guichets et autres services au niveau de l'administration et notamment les services de l'état-civil. Pour lui, "la problématique réside dans les critères de recrutement". C'est dans ce cadre que ce haut responsable reconnaît "l'importance de la formation de cadres et fonctionnaires des collectivités locales" insistant sur le fait que «le sérieux et la bonne conduite» devraient pouvoir trouver leur place dans les critères de sélection pour prétendre à ce type de postes.