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Des villageois ferment pour la deuxième fois le siège de l'APC de Chabet El-Ameur Boumerdès, ils réclament le bitumage des voies d'accès à leur village
Lhabitants du village Immakhoukhen dans la commune de Chabet El-Ameur au sud-est de Boumerdès ne décolèrent toujours pas. Ils sont revenus, hier, à la charge et fermé le siège de l'APC pour réclamer le bitumage de la route desservant leur village. Lhabitants du village Immakhoukhen dans la commune de Chabet El-Ameur au sud-est de Boumerdès ne décolèrent toujours pas. Ils sont revenus, hier, à la charge et fermé le siège de l'APC pour réclamer le bitumage de la route desservant leur village. Ils ont fermé ledit siège au mois de novembre dernier pour réclamer l'amélioration des conditions de vie dans leur localité mais en vain. «Nous avons donné un ultimatum pour les élus locaux mais ils n'ont rien fait pour apaiser nos souffrance en cette période de l'hiver», nous dira un manifestant tout en ajoutant que le jour de la première action, des camions de tuf y ont été dépêchés pour calmer les esprits mais qui ne sont pas revenus le lendemain. Notons que l'axe routier qui relie le village à la route principale du chef-lieu n'est qu'une piste impraticable ouverte dans les années 90. Les manifestants ont cadenassé le portail du siège de l'APC et interdit l'accès à toutes personnes. Ils ont, par la même occasion, dénoncé les promesses non tenues des élus locaux qui ne prennent plus en considération les doléances des citoyens. Les villageois ont menacé d'inscrire leur action dans la durée et donnent un deuxième ultimatum aux responsables locaux pour résoudre leurs problèmes notamment la pénurie d'eau potable, l'ouverture de la salle de soins fermée depuis 23 ans. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était encore fermé et cette action intervient moins de 48 heures après avoir être fermé par des collégiens qui menacent, de leur côté, de descendre dans la rue pour faire valoir leurs droits. Ces manifestations, faut-il le signaler, interviennent au moment où l'APC connaît des blocages multiples nés des différends qui minent les élus issus des élections locales de novembre 2012. Ils ont fermé ledit siège au mois de novembre dernier pour réclamer l'amélioration des conditions de vie dans leur localité mais en vain. «Nous avons donné un ultimatum pour les élus locaux mais ils n'ont rien fait pour apaiser nos souffrance en cette période de l'hiver», nous dira un manifestant tout en ajoutant que le jour de la première action, des camions de tuf y ont été dépêchés pour calmer les esprits mais qui ne sont pas revenus le lendemain. Notons que l'axe routier qui relie le village à la route principale du chef-lieu n'est qu'une piste impraticable ouverte dans les années 90. Les manifestants ont cadenassé le portail du siège de l'APC et interdit l'accès à toutes personnes. Ils ont, par la même occasion, dénoncé les promesses non tenues des élus locaux qui ne prennent plus en considération les doléances des citoyens. Les villageois ont menacé d'inscrire leur action dans la durée et donnent un deuxième ultimatum aux responsables locaux pour résoudre leurs problèmes notamment la pénurie d'eau potable, l'ouverture de la salle de soins fermée depuis 23 ans. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était encore fermé et cette action intervient moins de 48 heures après avoir être fermé par des collégiens qui menacent, de leur côté, de descendre dans la rue pour faire valoir leurs droits. Ces manifestations, faut-il le signaler, interviennent au moment où l'APC connaît des blocages multiples nés des différends qui minent les élus issus des élections locales de novembre 2012.