Disons-le bien haut et bien fort, le ministre du Commerce devrait ruer un peu plus dans les brancards et mettre le holà chez les spéculateurs et les intermédiaires qui font la loi, dérèglent ainsi le marché et provoquent une hausse généralisée des prix sur un pouvoir d'achat nettement affaibli. Disons-le bien haut et bien fort, le ministre du Commerce devrait ruer un peu plus dans les brancards et mettre le holà chez les spéculateurs et les intermédiaires qui font la loi, dérèglent ainsi le marché et provoquent une hausse généralisée des prix sur un pouvoir d'achat nettement affaibli. La flambée des prix n'est plus l'apanage de certaines situations comme le ramadan ou encore les fêtes religieuses où l'on voit la mercuriale en folie. Maintenant, la hausse des prix se conjugue au quotidien. Les prix des viandes rouge et blanche se multiplient par deux et les légumes secs qui, dans un passé récent, trônaient dans les assiettes des petites bourses sont désormais hors de portée. Il n'est plus possible au jour d'aujourd'hui de manger à petits prix. Le lait n'a pas échappé à cette logique. Mais à qui la faute ? au ministère du Commerce ou à celui de l'Agriculture. Chacun se livre à une guerre de déclarations. Pour le secteur de l'Agriculture, son premier responsable, les services du département de Benbada ne font pas leur travail comme il se doit. Le ministre du Commerce, quant à lui, incrimine les intempéries, autrement dit l'hiver, une saison que nous connaissons depuis la nuit des temps et par conséquent ceci n'explique pas cela. Pas très convaincant le Monsieur. C'est la faute à pas de chance. Le mektoub a bon dos. Disons-le bien haut et bien fort, le ministre du Commerce devrait ruer un peu plus dans les brancards et mettre le holà chez les spéculateurs et les intermédiaires qui font la loi, dérèglent ainsi le marché et provoquent une hausse généralisée des prix sur un pouvoir d'achat nettement affaibli. Seul l'ONS sera là pour nous communiquer le taux d'inflation. Pour la fin de l'année le gouvernement avait pourtant promis que les hausses seraient conjoncturelles et que les légumes secs devaient amorcer une courbe descendante. Des propos qui ne sont pas pris au sérieux d'autant que les explications fournies sont bien loin de résoudre l'énigmatique augmentation des prix qui touche aussi bien les produits alimentaires que les fruits et légumes. A bien regarder, janvier 2014 ressemble étrangement à janvier 2011 avec ce qu'on avait appelé communément les "émeutes du sucre et de l'huile". Aujourd'hui c'est de lait dont il est question, Benbada impuissant se cache derrière le fait que les prix sont libres. Gare au revers de la médaille ! La flambée des prix n'est plus l'apanage de certaines situations comme le ramadan ou encore les fêtes religieuses où l'on voit la mercuriale en folie. Maintenant, la hausse des prix se conjugue au quotidien. Les prix des viandes rouge et blanche se multiplient par deux et les légumes secs qui, dans un passé récent, trônaient dans les assiettes des petites bourses sont désormais hors de portée. Il n'est plus possible au jour d'aujourd'hui de manger à petits prix. Le lait n'a pas échappé à cette logique. Mais à qui la faute ? au ministère du Commerce ou à celui de l'Agriculture. Chacun se livre à une guerre de déclarations. Pour le secteur de l'Agriculture, son premier responsable, les services du département de Benbada ne font pas leur travail comme il se doit. Le ministre du Commerce, quant à lui, incrimine les intempéries, autrement dit l'hiver, une saison que nous connaissons depuis la nuit des temps et par conséquent ceci n'explique pas cela. Pas très convaincant le Monsieur. C'est la faute à pas de chance. Le mektoub a bon dos. Disons-le bien haut et bien fort, le ministre du Commerce devrait ruer un peu plus dans les brancards et mettre le holà chez les spéculateurs et les intermédiaires qui font la loi, dérèglent ainsi le marché et provoquent une hausse généralisée des prix sur un pouvoir d'achat nettement affaibli. Seul l'ONS sera là pour nous communiquer le taux d'inflation. Pour la fin de l'année le gouvernement avait pourtant promis que les hausses seraient conjoncturelles et que les légumes secs devaient amorcer une courbe descendante. Des propos qui ne sont pas pris au sérieux d'autant que les explications fournies sont bien loin de résoudre l'énigmatique augmentation des prix qui touche aussi bien les produits alimentaires que les fruits et légumes. A bien regarder, janvier 2014 ressemble étrangement à janvier 2011 avec ce qu'on avait appelé communément les "émeutes du sucre et de l'huile". Aujourd'hui c'est de lait dont il est question, Benbada impuissant se cache derrière le fait que les prix sont libres. Gare au revers de la médaille !