C'est demain ou au plus tard le lendemain que le président de la République devrait procéder à la convocation de corps électoral pour l'élection présidentielle d'avril 2014. Et cela conformément aux délais impartis par le code électoral. C'est demain ou au plus tard le lendemain que le président de la République devrait procéder à la convocation de corps électoral pour l'élection présidentielle d'avril 2014. Et cela conformément aux délais impartis par le code électoral. Ce sera donc inévitablement les 16 ou le 17 janvier courant que le chef de l'Etat convoquera le corps électoral comme le stipule la loi organique du 12 janvier 2012 relative au régime électoral, qui énonce dans son article 133 que « sans préjudice des dispositions de l'article 88 de la Constitution, le corps électoral est convoqué par décret présidentiel, quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin ». Le mandat présidentiel actuel prend fin le 16 avril 2014. Dans son article 132 du Code électoral, il est décrété que « les élections présidentielles ont lieu dans les trente (30) jours qui précédent l'expiration du mandat du président de la République ». Le scrutin devrait avoir lieu inévitablement entre le 16 et le 17 avril prochain, et ce toujours suivant les dispositions du Code électoral, étant donné que le mandat présidentiel actuel prend fin le 16 avril 2014. Sauf cas de force majeure, les Algériens seront invités à élire un nouveau président de la République pour cinq ans, à moins que le projet de révision de la Constitution, promis par le chef de l'Etat dans le cadre des réformes annoncées dans son discours d'avril 2010, n'aboutisse avant le scrutin présidentiel. Le projet de révision de la Constitution, d'ailleurs, est le seul projet de réforme du chantier de Bouteflika qui n'a pas encore abouti et qui divise la classe politique et personnalités sur l'opportunité d'engager le projet avant ou après l'échéance présidentielle. L'enjeu est de taille ! Il se susurre qu'il sera créé un poste de vice- président de la République dans la nouvelle Constitution. De nombreux hommes politiques se verraient bien installés à ce poste. Cette perspective est, bien sûr, tributaire de la décision que prendra le chef de l'Etat sortant quant à sa volonté de briguer ou non un quatrième mandat. En tout état de cause, le temps lui est compté pour rendre publique sa décision. Plus que quelques jours et l'on saura ce qu'il en est de la volonté du chef de l'Etat de rempiler pour un nouveau mandat, le quatrième du genre. Une décision très attendue tant il est vrai que les Algériens, et notamment les politiques, vivent les moments présents sur des chardons ardents. Abdelaziz Bouteflika briguera-t-il un quatrième mandat ? Le chef de l'Etat sortant entretient le suspense. Nulle voix ne s'autoriserait à parler à sa place. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a récemment indiqué que le président de la République le ferait savoir (pour un 4e mandat) « le moment opportun en son âme et conscience ». Le Premier ministre avait précisé également que « le gouvernement et le président de la République sont sereins dans la mesure où le peule algérien sera à la hauteur de l'évènement », ajoutant que « grâce à sa stabilité et à ses potentialités humaines et matérielles, l'Algérie est sur la bonne voie », évacuant par-là l'idée d'un éventuel ajournement, tenue par les plus sceptiques de la scène politique nationale. Sur le plan technique, la convocation du corps électoral donnera lieu systématiquement à l'installation d'une commission nationale de préparation de l'élection présidentielle, une instance technique présidée par le Premier ministre. Sa mission : préparer le déroulement du scrutin dans des conditions de transparence et de régularité. Cette commission est composée généralement des représentants de tous les secteurs concernés par les élections, à l'instar du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, du ministère de la Justice, du ministère des Finances et celui de la Communication. Ce sera donc inévitablement les 16 ou le 17 janvier courant que le chef de l'Etat convoquera le corps électoral comme le stipule la loi organique du 12 janvier 2012 relative au régime électoral, qui énonce dans son article 133 que « sans préjudice des dispositions de l'article 88 de la Constitution, le corps électoral est convoqué par décret présidentiel, quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin ». Le mandat présidentiel actuel prend fin le 16 avril 2014. Dans son article 132 du Code électoral, il est décrété que « les élections présidentielles ont lieu dans les trente (30) jours qui précédent l'expiration du mandat du président de la République ». Le scrutin devrait avoir lieu inévitablement entre le 16 et le 17 avril prochain, et ce toujours suivant les dispositions du Code électoral, étant donné que le mandat présidentiel actuel prend fin le 16 avril 2014. Sauf cas de force majeure, les Algériens seront invités à élire un nouveau président de la République pour cinq ans, à moins que le projet de révision de la Constitution, promis par le chef de l'Etat dans le cadre des réformes annoncées dans son discours d'avril 2010, n'aboutisse avant le scrutin présidentiel. Le projet de révision de la Constitution, d'ailleurs, est le seul projet de réforme du chantier de Bouteflika qui n'a pas encore abouti et qui divise la classe politique et personnalités sur l'opportunité d'engager le projet avant ou après l'échéance présidentielle. L'enjeu est de taille ! Il se susurre qu'il sera créé un poste de vice- président de la République dans la nouvelle Constitution. De nombreux hommes politiques se verraient bien installés à ce poste. Cette perspective est, bien sûr, tributaire de la décision que prendra le chef de l'Etat sortant quant à sa volonté de briguer ou non un quatrième mandat. En tout état de cause, le temps lui est compté pour rendre publique sa décision. Plus que quelques jours et l'on saura ce qu'il en est de la volonté du chef de l'Etat de rempiler pour un nouveau mandat, le quatrième du genre. Une décision très attendue tant il est vrai que les Algériens, et notamment les politiques, vivent les moments présents sur des chardons ardents. Abdelaziz Bouteflika briguera-t-il un quatrième mandat ? Le chef de l'Etat sortant entretient le suspense. Nulle voix ne s'autoriserait à parler à sa place. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a récemment indiqué que le président de la République le ferait savoir (pour un 4e mandat) « le moment opportun en son âme et conscience ». Le Premier ministre avait précisé également que « le gouvernement et le président de la République sont sereins dans la mesure où le peule algérien sera à la hauteur de l'évènement », ajoutant que « grâce à sa stabilité et à ses potentialités humaines et matérielles, l'Algérie est sur la bonne voie », évacuant par-là l'idée d'un éventuel ajournement, tenue par les plus sceptiques de la scène politique nationale. Sur le plan technique, la convocation du corps électoral donnera lieu systématiquement à l'installation d'une commission nationale de préparation de l'élection présidentielle, une instance technique présidée par le Premier ministre. Sa mission : préparer le déroulement du scrutin dans des conditions de transparence et de régularité. Cette commission est composée généralement des représentants de tous les secteurs concernés par les élections, à l'instar du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, du ministère de la Justice, du ministère des Finances et celui de la Communication.