Le secrétaire général-adjoint de l'Onu aux droits de l'Homme, Ivan Simonovic, a fait part vendredi de cas d'enfants-soldats prenant part aux combats au Soudan du Sud. Le secrétaire général-adjoint de l'Onu aux droits de l'Homme, Ivan Simonovic, a fait part vendredi de cas d'enfants-soldats prenant part aux combats au Soudan du Sud. "Les informations qui nous parviennent font état de tueries massives, d'exécutions extra-judiciaires, de destructions à grande échelle, de pillages et de recrutement d'enfants-soldats", a déclaré devant la presse l'envoyé de l'Onu au cours d'une visite au Soudan du Sud. L'Unicef, l'agence de l'Onu pour l'enfance, dit détenir des "informations crédibles sur la participation d'enfants au conflit", qui oppose depuis le 15 décembre les forces du président Salva Kiir à celle de son rival, l'ex-vice-président Riek Machar. L'Unicef qui a publié un communiqué n'a pas donné d'autres précisions, notamment sur le de nombre d'enfants. Les Nations unies ont accusé les deux camps de commettre des atrocités. "Nous avons entendu dire que de nombreux enfants-soldats étaient recrutés par ce qu'on appelle l'Armée blanche (une milice de l'ethnie Nuer, celle de M. Machar, qui sévit dans l'Etat du Jonglei, dans l'Est aux côtés des forces fidèles à l'ancien vice-président)", a signalé le responsable onusien. M. Simonovic a jugé crucial que les coupables de violations des droits de l'homme rendent des comptes. "Dans les prochaines semaines nous révèlerons les rapports préliminaires" d'enquête, a-t-il dit. Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon avait prévenu le mois dernier les factions armées que les accusations de crimes contre l'humanité feraient l'objet d'enquêtes "Les informations qui nous parviennent font état de tueries massives, d'exécutions extra-judiciaires, de destructions à grande échelle, de pillages et de recrutement d'enfants-soldats", a déclaré devant la presse l'envoyé de l'Onu au cours d'une visite au Soudan du Sud. L'Unicef, l'agence de l'Onu pour l'enfance, dit détenir des "informations crédibles sur la participation d'enfants au conflit", qui oppose depuis le 15 décembre les forces du président Salva Kiir à celle de son rival, l'ex-vice-président Riek Machar. L'Unicef qui a publié un communiqué n'a pas donné d'autres précisions, notamment sur le de nombre d'enfants. Les Nations unies ont accusé les deux camps de commettre des atrocités. "Nous avons entendu dire que de nombreux enfants-soldats étaient recrutés par ce qu'on appelle l'Armée blanche (une milice de l'ethnie Nuer, celle de M. Machar, qui sévit dans l'Etat du Jonglei, dans l'Est aux côtés des forces fidèles à l'ancien vice-président)", a signalé le responsable onusien. M. Simonovic a jugé crucial que les coupables de violations des droits de l'homme rendent des comptes. "Dans les prochaines semaines nous révèlerons les rapports préliminaires" d'enquête, a-t-il dit. Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon avait prévenu le mois dernier les factions armées que les accusations de crimes contre l'humanité feraient l'objet d'enquêtes