Des responsables iraniens on rejeté les déclarations du secrétaire d'Etat américain John Kerry sur le programme nucléaire de Téhéran, les qualifiant d'"illogiques et de violation du droit international". Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marzieh Afkham, a déclaré que "la déclaration de Kerry viole le droit international et la charte des Nations unies". Des responsables iraniens on rejeté les déclarations du secrétaire d'Etat américain John Kerry sur le programme nucléaire de Téhéran, les qualifiant d'"illogiques et de violation du droit international". Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marzieh Afkham, a déclaré que "la déclaration de Kerry viole le droit international et la charte des Nations unies". "Kerry a fait cette déclaration sous la pression de ceux qui sont opposés au dernier accord conclu par l'Iran avec les puissances internationales", a affirmé Afkham. M. Kerry avait indiqué vendredi que si l'Iran n'avait pas l'intention de développer l'arme nucléaire, il devait le prouver et démontrer que son programme nucléaire est pacifique. "L'Iran devrait accepter une vérification approfondie de ses installations nucléaires, abandonner son plan de construire un réacteur à eau lourde pouvant produire de plutonium et résoudre les préoccupations de longue date de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur son programme nucléaire", avait-il ajouté. Kerry avait dit par ailleurs que l'"option militaire était toujours sur la table, si l'Iran ne mettait pas en œuvre l'accord de Genève" qu'il avait conclu avec les six puissances mondiales fin novembre 2013. Réagissant pour sa part aux déclarations de M. Kerry, le commandant en chef des Gardiens de la révolution (armée iranienne), le général Mohammad Ali Jafafi a rejeté la menace d'une action militaire américaine contre Téhéran en raison de son programme nucléaire. Le général iranien a qualifié les propos de Kerry de "ridicules", affirmant que "les politiciens sages américains ne gardent pas l'option militaire sur la table". "Les intérêts américains dans la région seraient complètement détruits en cas d'une attaque militaire contre l'Iran", a mis en garde le commandant des Gardiens de la révolution. "Kerry a fait cette déclaration sous la pression de ceux qui sont opposés au dernier accord conclu par l'Iran avec les puissances internationales", a affirmé Afkham. M. Kerry avait indiqué vendredi que si l'Iran n'avait pas l'intention de développer l'arme nucléaire, il devait le prouver et démontrer que son programme nucléaire est pacifique. "L'Iran devrait accepter une vérification approfondie de ses installations nucléaires, abandonner son plan de construire un réacteur à eau lourde pouvant produire de plutonium et résoudre les préoccupations de longue date de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur son programme nucléaire", avait-il ajouté. Kerry avait dit par ailleurs que l'"option militaire était toujours sur la table, si l'Iran ne mettait pas en œuvre l'accord de Genève" qu'il avait conclu avec les six puissances mondiales fin novembre 2013. Réagissant pour sa part aux déclarations de M. Kerry, le commandant en chef des Gardiens de la révolution (armée iranienne), le général Mohammad Ali Jafafi a rejeté la menace d'une action militaire américaine contre Téhéran en raison de son programme nucléaire. Le général iranien a qualifié les propos de Kerry de "ridicules", affirmant que "les politiciens sages américains ne gardent pas l'option militaire sur la table". "Les intérêts américains dans la région seraient complètement détruits en cas d'une attaque militaire contre l'Iran", a mis en garde le commandant des Gardiens de la révolution.