Le chef de l'Etat tunisien, Moncef Marzouki, le Premier ministre sortant, Ali Larayedh, et le président de la Constituante, Mustapha Ben Jaafar, ont signé, lundi, la nouvelle Constitution du pays, a rapporté l'agence de presse TAP. Le chef de l'Etat tunisien, Moncef Marzouki, le Premier ministre sortant, Ali Larayedh, et le président de la Constituante, Mustapha Ben Jaafar, ont signé, lundi, la nouvelle Constitution du pays, a rapporté l'agence de presse TAP. M. Marzouki a été le premier à parapher le texte, adopté la veille, plus de trois ans après la chute du président Zine El-Abidine Ben Ali. Dans un discours quelques minutes plus tôt, le président Marzouki a salué une "victoire contre la dictature", après l'adoption de la nouvelle Constitution. "Le chemin est encore long. Il reste un grand travail à faire pour que les valeurs de notre Constitution fassent partie de notre culture", a-t-il ajouté Bensalah et Ould Khelifa présents à la cérémonie Les présidents du Conseil de la nation et de l'Assemblée populaire nationale (APN), respectivement Abdelkader Bensalah et Mohamed Larbi Ould Khelifa, ont entamé, lundi, une visite en Tunisie pour assister à la séance plénière, organisée par l'Assemblée constituante tunisienne (ANC), à l'occasion de l'adoption du projet final de la nouvelle Constitution tunisienne. La présence des présidents des deux chambres du Parlement à la séance plénière de l'Assemblée constituante intervient à l'invitation du président de l'ANC, Mustapha Ben Jaafar. Les députés tunisiens avaient adopté, dimanche, la deuxième Constitution de la Tunisie, au moment où le nouveau chef du gouvernement désigné, Mehdi Jomâa a annoncé la composition de son gouvernement technocrate, ce qui permet l'organisation d'élections générales et le parachèvement du processus de transition démocratique. Le projet de la nouvelle Constitution tunisienne a été adopté à la majorité de 200 voix, contre 12 objections et 4 abstentions. L'Assemblée a été élue en octobre 2011 et devait à l'origine achever la loi fondamentale en un an, mais ses travaux ont pris un retard considérable, en raison de crises à répétition opposant, notamment, les islamistes d'Ennahda majoritaires et leurs détracteurs. Il s'agit de la deuxième Constitution de la république tunisienne après celle promulguée en juin 1959. M. Marzouki a été le premier à parapher le texte, adopté la veille, plus de trois ans après la chute du président Zine El-Abidine Ben Ali. Dans un discours quelques minutes plus tôt, le président Marzouki a salué une "victoire contre la dictature", après l'adoption de la nouvelle Constitution. "Le chemin est encore long. Il reste un grand travail à faire pour que les valeurs de notre Constitution fassent partie de notre culture", a-t-il ajouté Bensalah et Ould Khelifa présents à la cérémonie Les présidents du Conseil de la nation et de l'Assemblée populaire nationale (APN), respectivement Abdelkader Bensalah et Mohamed Larbi Ould Khelifa, ont entamé, lundi, une visite en Tunisie pour assister à la séance plénière, organisée par l'Assemblée constituante tunisienne (ANC), à l'occasion de l'adoption du projet final de la nouvelle Constitution tunisienne. La présence des présidents des deux chambres du Parlement à la séance plénière de l'Assemblée constituante intervient à l'invitation du président de l'ANC, Mustapha Ben Jaafar. Les députés tunisiens avaient adopté, dimanche, la deuxième Constitution de la Tunisie, au moment où le nouveau chef du gouvernement désigné, Mehdi Jomâa a annoncé la composition de son gouvernement technocrate, ce qui permet l'organisation d'élections générales et le parachèvement du processus de transition démocratique. Le projet de la nouvelle Constitution tunisienne a été adopté à la majorité de 200 voix, contre 12 objections et 4 abstentions. L'Assemblée a été élue en octobre 2011 et devait à l'origine achever la loi fondamentale en un an, mais ses travaux ont pris un retard considérable, en raison de crises à répétition opposant, notamment, les islamistes d'Ennahda majoritaires et leurs détracteurs. Il s'agit de la deuxième Constitution de la république tunisienne après celle promulguée en juin 1959.