Placée sous le thème : «L'optimisme, clé du progrès et de la réussite » la deuxième édition internationale de Fikra s'est tenue le samedi 8 et dimanche 9 février à Alger sous le haut patronage du Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Cette rencontre, de grande envergure, a été dédiée au partage d'idées, de connaissances ainsi qu'à la création d'opportunités d'affaires, d'emplois et donc de progrès. Placée sous le thème : «L'optimisme, clé du progrès et de la réussite » la deuxième édition internationale de Fikra s'est tenue le samedi 8 et dimanche 9 février à Alger sous le haut patronage du Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Cette rencontre, de grande envergure, a été dédiée au partage d'idées, de connaissances ainsi qu'à la création d'opportunités d'affaires, d'emplois et donc de progrès. A cet rencontre, près de 1.200 personnes étaient rassemblées sous ce thème novateur de « l'optimisme ». Décideurs politiques, artistes, chefs d'entreprise, cadres, étudiants, scientifiques, investisseurs et observateurs ont largement échangé leurs idées, débattu de sujets variés dans ce lieu d'inspiration et de créativité : Au menu, emploi, économie, société, sciences, recherche, santé, bien-être, sport, arts, culture, musique, philosophie, religion, technologies, tous les thèmes étaient brassées et décortiqués. Ce nouvel espace de partage et de networking, dont le partenaire officiel est Djezzy, a réuni pour cette 2e édition 40 intervenants inédits, parmi lesquels des politiciens, des chefs d'entreprise, des journalistes, des artistes et des chercheurs. Les participants à ces deux journées ont eu ainsi à découvrir l'impressionnant parcours de Mohamed Brahimi, foreur prodige, Belgacem Haba, l'homme aux 657 brevets en électronique, classé parmi les 100 inventeurs les plus productifs au monde (50e), Hassiba Boufedji, jeune artiste qui s'est attribué pour mission de faire renaître le patrimoine algérien. Xavier Van Stappen, ethnographe, explorateur de la diversité humaine, qui a rallié le Cap depuis Copenhague en véhicule électrique, Thierry Lachkar, P.-dg de Shine France, société productrice de « The Voice » , Issad Rebrab, P.-dg du groupe Cevital, Nouredinne Melikechi, chercheur participant à la prestigieuse mission de la Nasa sur la planète Mars « Rover Mission »... et bien d'autres sommités toutes aussi passionnées les unes que les autres. Toutes ces personnalités avaient un seul et unique but, partager leurs ambition et optimisme dans un espace convivial. La communication, présentée par le docteur Belkacem Haba, dont l'intitulé est « d'El-Oued à Silicon Valley sans jamais cesser d'y croire » est en soi tout un programme incitant au rêve. Le docteur Haba Belkacem a été classé, en 2012, comme rapportée plus haut, parmi les 100 meilleurs inventeurs du monde avec à son actif plus de 750 brevets et demandes de brevet. Il nous dira que pour « cultiver l'optimisme il faut l'avoir en soi et être motivé pour réaliser des choses. S'inspirer de bons exemples d'hommes et de femmes ayant eux-mêmes réussis ». Pour ce chercheur, « réunir toutes ces personnes pour parler de leurs parcours est le but de Fikra ». Le Dr Noureddine Melikechi, appelé également « Monsieur Nasa » en plus d'être ambassadeur de Marsa Delaware, est également professeur de physique, directeur fondateur du Centre des sciences optiques pour la recherche appliquée, et doyen de la faculté de mathématiques, sciences naturelles et de la technologie, à l'Université de l'Etat du Delaware. Il ne manquera pas de souligner que « l'optimisme est quelque chose de nécessaire pour avancer dans la vie ». « L'être humain est animé de rêves et pour que ces rêves se réalisent il faut être optimiste », explique-t-il. Mais « l'optimisme est quelque chose de fragile, ajoute Monsieur Nasa, ainsi cet optimisme, selon les paramètres, peut grandir ou diminuer. Pour le développer et maintenir la flamme il ne faut jamais baisser les bras malgré les contraintes et obstacles de la vie. » « L'optimisme est une culture qu'il faut développer dès le plus jeune âge » dira, à son tour, Slim Othmani, président du conseil d'administration du NCA Rouiba. Slim Othmani est en outre engagé dans l'amélioration de l'environnement entrepreneurial en Algérie et préside Care, un Cercle d'action et de réflexion autour de l'entreprise. Pour sa part Mustapha Cherif, philosophe, professeur des universités et conférencier international dira : « L'optimisme est quelque chose de naturel, il ne peut être artificiel, nouveau ou extérieur » et de continuer « c'est un instinct de survie qui nous donne la force de continuer à vivre ». Le philosophe conclut disant que « vivre sans optimisme c'est mourir un peu. Etre optimiste malgré les obstacles de la vie c'est garder l'espoir et l'espoir fait vivre. » Une philosophie de vie à appliquer et à cultiver jour après jour. La réussite reste étroitement liée à l'optimisme, Fikra ne fait que nous le rappeler. A cet rencontre, près de 1.200 personnes étaient rassemblées sous ce thème novateur de « l'optimisme ». Décideurs politiques, artistes, chefs d'entreprise, cadres, étudiants, scientifiques, investisseurs et observateurs ont largement échangé leurs idées, débattu de sujets variés dans ce lieu d'inspiration et de créativité : Au menu, emploi, économie, société, sciences, recherche, santé, bien-être, sport, arts, culture, musique, philosophie, religion, technologies, tous les thèmes étaient brassées et décortiqués. Ce nouvel espace de partage et de networking, dont le partenaire officiel est Djezzy, a réuni pour cette 2e édition 40 intervenants inédits, parmi lesquels des politiciens, des chefs d'entreprise, des journalistes, des artistes et des chercheurs. Les participants à ces deux journées ont eu ainsi à découvrir l'impressionnant parcours de Mohamed Brahimi, foreur prodige, Belgacem Haba, l'homme aux 657 brevets en électronique, classé parmi les 100 inventeurs les plus productifs au monde (50e), Hassiba Boufedji, jeune artiste qui s'est attribué pour mission de faire renaître le patrimoine algérien. Xavier Van Stappen, ethnographe, explorateur de la diversité humaine, qui a rallié le Cap depuis Copenhague en véhicule électrique, Thierry Lachkar, P.-dg de Shine France, société productrice de « The Voice » , Issad Rebrab, P.-dg du groupe Cevital, Nouredinne Melikechi, chercheur participant à la prestigieuse mission de la Nasa sur la planète Mars « Rover Mission »... et bien d'autres sommités toutes aussi passionnées les unes que les autres. Toutes ces personnalités avaient un seul et unique but, partager leurs ambition et optimisme dans un espace convivial. La communication, présentée par le docteur Belkacem Haba, dont l'intitulé est « d'El-Oued à Silicon Valley sans jamais cesser d'y croire » est en soi tout un programme incitant au rêve. Le docteur Haba Belkacem a été classé, en 2012, comme rapportée plus haut, parmi les 100 meilleurs inventeurs du monde avec à son actif plus de 750 brevets et demandes de brevet. Il nous dira que pour « cultiver l'optimisme il faut l'avoir en soi et être motivé pour réaliser des choses. S'inspirer de bons exemples d'hommes et de femmes ayant eux-mêmes réussis ». Pour ce chercheur, « réunir toutes ces personnes pour parler de leurs parcours est le but de Fikra ». Le Dr Noureddine Melikechi, appelé également « Monsieur Nasa » en plus d'être ambassadeur de Marsa Delaware, est également professeur de physique, directeur fondateur du Centre des sciences optiques pour la recherche appliquée, et doyen de la faculté de mathématiques, sciences naturelles et de la technologie, à l'Université de l'Etat du Delaware. Il ne manquera pas de souligner que « l'optimisme est quelque chose de nécessaire pour avancer dans la vie ». « L'être humain est animé de rêves et pour que ces rêves se réalisent il faut être optimiste », explique-t-il. Mais « l'optimisme est quelque chose de fragile, ajoute Monsieur Nasa, ainsi cet optimisme, selon les paramètres, peut grandir ou diminuer. Pour le développer et maintenir la flamme il ne faut jamais baisser les bras malgré les contraintes et obstacles de la vie. » « L'optimisme est une culture qu'il faut développer dès le plus jeune âge » dira, à son tour, Slim Othmani, président du conseil d'administration du NCA Rouiba. Slim Othmani est en outre engagé dans l'amélioration de l'environnement entrepreneurial en Algérie et préside Care, un Cercle d'action et de réflexion autour de l'entreprise. Pour sa part Mustapha Cherif, philosophe, professeur des universités et conférencier international dira : « L'optimisme est quelque chose de naturel, il ne peut être artificiel, nouveau ou extérieur » et de continuer « c'est un instinct de survie qui nous donne la force de continuer à vivre ». Le philosophe conclut disant que « vivre sans optimisme c'est mourir un peu. Etre optimiste malgré les obstacles de la vie c'est garder l'espoir et l'espoir fait vivre. » Une philosophie de vie à appliquer et à cultiver jour après jour. La réussite reste étroitement liée à l'optimisme, Fikra ne fait que nous le rappeler.