Le paysage politique s'envenime après les déclarations tonitruantes du SG du FLN. Les réactions qui s'enregistrent après coup témoignent d'une atmosphère biaisée donnant lieu à des règlements de comptes entre différentes factions politiques. D'abord, le groupe des 20 qui est composée de partis politiques et de personnalités publiques a donné le coup de starter sur la situation politique durant ce contexte électoral. Le paysage politique s'envenime après les déclarations tonitruantes du SG du FLN. Les réactions qui s'enregistrent après coup témoignent d'une atmosphère biaisée donnant lieu à des règlements de comptes entre différentes factions politiques. D'abord, le groupe des 20 qui est composée de partis politiques et de personnalités publiques a donné le coup de starter sur la situation politique durant ce contexte électoral. Ces derniers invitent le président de la République à rompre le silence qui pèse comme un fardeau. Ce silence nourrit les spéculations les plus folles autour de l'enjeu électoral d'autant que chacun sort de sa tanière pour dénoncer sur un ton scandaleux tel ou tel partisan d'un candidat à la présidentielle. Chacun fustige l'autre en se retranchant dans son camp. Les attaques frontales contre Saidani se nourrissent de tirs croisés à l'encontre de tous les partisans du 4e mandat. On a ainsi la déclaration de Tarik Mira, ex-député et président de l'IRD (Initiative de refondation et de développement) qui estime qu'il « n'y a pas de consensus sur deux points. Le premier est la révision constitutionnelle et le deuxième sur le candidat à la présidentielle ». Un autre nom, celui-là inconnu est celui de Dane qui réplique à Amar Ghoul, président de TAJ en l'accusant de mensonge sur l'alliance de 30 partis pour soutenir le président Bouteflika pour un 4e mandat. D'autres ne sont pas en reste puisqu'ils se démarquent carrément des partisans de Bouteflika en préférant se ranger dans l'opposition. Des cas d'organisations de masses qui se recrutaient auparavant dans «l'univers électoral bouteflikien» ont vite changé d'avis. Il s'agit notamment de l'Onec (Organisation des enfants de chouhadas) qui a signifié son refus de cautionner son soutien au chef de l'Etat s'il venait à se présenter. De même, certains mouvements estudiantins semblent également divisés sur le candidat à cautionner. Les remous qui gagnent une partie de la société civile ne sont pas à inscrire dans le rang des émeutes sociales mais prennent une tournure politique dès qu'il y a une surchauffe sur certains dossiers. Parmi lesquels, les incidents du M'Zab donnent matière à prendre partie soit en faveur des autorités soit à les dénigrer dans leur gestion sécuritaire. On voit émerger actuellement une contestation politique avec des relents d'interventionnisme pour des régions qui sont devenues des réceptacles de critiques véhémentes à l'endroit du régime en place. D'ex-ministres sortent de leur réserve en devenant vindicatifs vis-à-vis de certains candidats. L'on pense au pavé de Ghazi Hidouci, ex-ministre du gouvernement Hamrouche qui a tiré à boulets rouges sur Benflis et Benbitour qu'il qualifie de « régionalistes ». Il propose même dans ses déclarations « le retour du FIS». Les langues qui se délient renseignent sur certains discours qui prennent actuellement l'allure d'un brouillard épais sur les élections elles-mêmes. Sur ce front, le camp démocrate et islamiste ne manque pas d'inspirations sur le scrutin d'avril prochain. Outre les boycotteurs traditionnels dont le cercle commence à s'élargir plus que d'habitude, les autres composantes de la classe politique s'embrouillent dans d'autres considérations relatives à leur destinée post-électorale. Là, c'est un autre débat. Ces derniers invitent le président de la République à rompre le silence qui pèse comme un fardeau. Ce silence nourrit les spéculations les plus folles autour de l'enjeu électoral d'autant que chacun sort de sa tanière pour dénoncer sur un ton scandaleux tel ou tel partisan d'un candidat à la présidentielle. Chacun fustige l'autre en se retranchant dans son camp. Les attaques frontales contre Saidani se nourrissent de tirs croisés à l'encontre de tous les partisans du 4e mandat. On a ainsi la déclaration de Tarik Mira, ex-député et président de l'IRD (Initiative de refondation et de développement) qui estime qu'il « n'y a pas de consensus sur deux points. Le premier est la révision constitutionnelle et le deuxième sur le candidat à la présidentielle ». Un autre nom, celui-là inconnu est celui de Dane qui réplique à Amar Ghoul, président de TAJ en l'accusant de mensonge sur l'alliance de 30 partis pour soutenir le président Bouteflika pour un 4e mandat. D'autres ne sont pas en reste puisqu'ils se démarquent carrément des partisans de Bouteflika en préférant se ranger dans l'opposition. Des cas d'organisations de masses qui se recrutaient auparavant dans «l'univers électoral bouteflikien» ont vite changé d'avis. Il s'agit notamment de l'Onec (Organisation des enfants de chouhadas) qui a signifié son refus de cautionner son soutien au chef de l'Etat s'il venait à se présenter. De même, certains mouvements estudiantins semblent également divisés sur le candidat à cautionner. Les remous qui gagnent une partie de la société civile ne sont pas à inscrire dans le rang des émeutes sociales mais prennent une tournure politique dès qu'il y a une surchauffe sur certains dossiers. Parmi lesquels, les incidents du M'Zab donnent matière à prendre partie soit en faveur des autorités soit à les dénigrer dans leur gestion sécuritaire. On voit émerger actuellement une contestation politique avec des relents d'interventionnisme pour des régions qui sont devenues des réceptacles de critiques véhémentes à l'endroit du régime en place. D'ex-ministres sortent de leur réserve en devenant vindicatifs vis-à-vis de certains candidats. L'on pense au pavé de Ghazi Hidouci, ex-ministre du gouvernement Hamrouche qui a tiré à boulets rouges sur Benflis et Benbitour qu'il qualifie de « régionalistes ». Il propose même dans ses déclarations « le retour du FIS». Les langues qui se délient renseignent sur certains discours qui prennent actuellement l'allure d'un brouillard épais sur les élections elles-mêmes. Sur ce front, le camp démocrate et islamiste ne manque pas d'inspirations sur le scrutin d'avril prochain. Outre les boycotteurs traditionnels dont le cercle commence à s'élargir plus que d'habitude, les autres composantes de la classe politique s'embrouillent dans d'autres considérations relatives à leur destinée post-électorale. Là, c'est un autre débat.