Ce jour là, il est prêté au président de la République de rendre publiques ses intentions sur les présidentielles du 17 avril prochain. Ira-t-il ou non ? Le FCE qui peine à prendre une position « consensuelle » pour appeler le chef de l'Etat à briguer un 4e mandat, attend avec fébrilité le soir du 24 février. Ce jour là, il est prêté au président de la République de rendre publiques ses intentions sur les présidentielles du 17 avril prochain. Ira-t-il ou non ? Le FCE qui peine à prendre une position « consensuelle » pour appeler le chef de l'Etat à briguer un 4e mandat, attend avec fébrilité le soir du 24 février. En attendant, il règne un vent de panique au sein du FCE. Rebelote pour le Forum des chefs d'entreprise pour une nouvelle assemblée générale extraordinaire pour le 26 février courant. Unique ordre du jour : les présidentielles du 17 avril 2014. Position du FCE exprimée officiellement. En filigrane : appel pour le président de la République à briguer un quatrième mandat. Lors d'une première assemblée générale convoquée à la hâte, le FCE n'a pas réussi à tenir son conclave le 10 février pour exprimer son «souhait» de voir le Président briguer un quatrième mandat. De nombreux membres du FCE étaient aux abonnés absents. Les patrons peinent à prendre une position «consensuelle» sur cette question avant que le chef de l'Etat n'ait rendu publique son intention de rempiler ou non pour un nouveau bail au palais d'El-Mouradia. Les patrons privés sont assis entre deux chaises. Il est difficile pour eux de se prononcer en faveur d'un candidat qui ne s'est pas encore porté candidat officiellement. Fait inédit pour cette élection présidentielle. Le FCE qui par tradition ne rechigne pas à accorder son soutien au chef de l'Etat et de l'appeler à se représenter à un nouveau mandat est confronté à un dilemme qui ne peut trouver sa solution que si le président Abdelaziz Bouteflika sort de son mutisme dans lequel il s'est confiné, particulièrement à propos des présidentielles du 17 avril prochain. Il est vrai que, présentement, le contexte politique est opaque. Les tensions au sommet de l'Etat rendent difficile une lecture aisée des rapports de force. Ira-t-il ou non pour les présidentielles ? Les patrons se seraient bien passés de se poser cette lancinante question. Il serait bien plus facile pour eux si le chef de l'Etat se prononce sur ce sujet le 24 février comme il le lui est prêté par les médias et certaines parties. L'attentisme est donc de mise pour les membres du FCE qui souhaitent gagner du temps en attendant de voir plus clair le soir du 24 du mois courant et double anniversaire, celui du monde du travail et de la nationalisation des hydrocarbures. Une date symbole qui pourrait inciter le chef de l'Etat à rendre publique sa décision qui n'a que trop tardé, d'autant plus qu'il ne lui restera que quelques jours, le 4 mars 2014, dernier délai de dépôt des dossiers de candidature est tout proche, pour se déterminer officiellement et mettre fin ainsi à toute les spéculations et les « sorties » intempestives de certains des partisans du 4ème mandat. Le 24 février est attendu avec fébrilité par le FCE qui prie pour que le président de la République mette fin au suspense qu'il entretient sur ses intentions pour l'échéance du 17 avril. Dans la perspective de la poursuite de son silence à propos de sa candidature il ne reste plus au FCE qu'à suivre l'appel lancé par les inconditionnels partisans du 4ème mandat tels que le FLN, RND, MPA et autres organisations de masse, UGTA, UNFA, UNPA et les autres. Il se dit au sein du cercle du FCE qu' «aucun patron ne peut se risquer de refuser un soutien à Bouteflika. Aucun d'eux ne peut apporter publiquement son soutien à un autre candidat. Donc, le FCE va annoncer son soutien au quatrième mandat. Il n'y a aucun doute». En attendant, il règne un vent de panique au sein du FCE. Rebelote pour le Forum des chefs d'entreprise pour une nouvelle assemblée générale extraordinaire pour le 26 février courant. Unique ordre du jour : les présidentielles du 17 avril 2014. Position du FCE exprimée officiellement. En filigrane : appel pour le président de la République à briguer un quatrième mandat. Lors d'une première assemblée générale convoquée à la hâte, le FCE n'a pas réussi à tenir son conclave le 10 février pour exprimer son «souhait» de voir le Président briguer un quatrième mandat. De nombreux membres du FCE étaient aux abonnés absents. Les patrons peinent à prendre une position «consensuelle» sur cette question avant que le chef de l'Etat n'ait rendu publique son intention de rempiler ou non pour un nouveau bail au palais d'El-Mouradia. Les patrons privés sont assis entre deux chaises. Il est difficile pour eux de se prononcer en faveur d'un candidat qui ne s'est pas encore porté candidat officiellement. Fait inédit pour cette élection présidentielle. Le FCE qui par tradition ne rechigne pas à accorder son soutien au chef de l'Etat et de l'appeler à se représenter à un nouveau mandat est confronté à un dilemme qui ne peut trouver sa solution que si le président Abdelaziz Bouteflika sort de son mutisme dans lequel il s'est confiné, particulièrement à propos des présidentielles du 17 avril prochain. Il est vrai que, présentement, le contexte politique est opaque. Les tensions au sommet de l'Etat rendent difficile une lecture aisée des rapports de force. Ira-t-il ou non pour les présidentielles ? Les patrons se seraient bien passés de se poser cette lancinante question. Il serait bien plus facile pour eux si le chef de l'Etat se prononce sur ce sujet le 24 février comme il le lui est prêté par les médias et certaines parties. L'attentisme est donc de mise pour les membres du FCE qui souhaitent gagner du temps en attendant de voir plus clair le soir du 24 du mois courant et double anniversaire, celui du monde du travail et de la nationalisation des hydrocarbures. Une date symbole qui pourrait inciter le chef de l'Etat à rendre publique sa décision qui n'a que trop tardé, d'autant plus qu'il ne lui restera que quelques jours, le 4 mars 2014, dernier délai de dépôt des dossiers de candidature est tout proche, pour se déterminer officiellement et mettre fin ainsi à toute les spéculations et les « sorties » intempestives de certains des partisans du 4ème mandat. Le 24 février est attendu avec fébrilité par le FCE qui prie pour que le président de la République mette fin au suspense qu'il entretient sur ses intentions pour l'échéance du 17 avril. Dans la perspective de la poursuite de son silence à propos de sa candidature il ne reste plus au FCE qu'à suivre l'appel lancé par les inconditionnels partisans du 4ème mandat tels que le FLN, RND, MPA et autres organisations de masse, UGTA, UNFA, UNPA et les autres. Il se dit au sein du cercle du FCE qu' «aucun patron ne peut se risquer de refuser un soutien à Bouteflika. Aucun d'eux ne peut apporter publiquement son soutien à un autre candidat. Donc, le FCE va annoncer son soutien au quatrième mandat. Il n'y a aucun doute».