Le Parti socialiste des travaileurs (PST) a annoncé samedi en fin de journée à Alger, qu'il ne participera pas à l'élection présidentielle du 17 avril prochain en attendant de décider "ultérieurement" des formes à donner à cette position. Lors d'une conférence de presse, le secrétaire général du PST, Mahmoud Rechidi, a affirmé que la prochaine élection présidentielle "ne constitue pas pour les masses populaires une échéance crédible, démocratique et transparente et partant, le parti n'y participera". Le Parti socialiste des travaileurs (PST) a annoncé samedi en fin de journée à Alger, qu'il ne participera pas à l'élection présidentielle du 17 avril prochain en attendant de décider "ultérieurement" des formes à donner à cette position. Lors d'une conférence de presse, le secrétaire général du PST, Mahmoud Rechidi, a affirmé que la prochaine élection présidentielle "ne constitue pas pour les masses populaires une échéance crédible, démocratique et transparente et partant, le parti n'y participera". M. Rechidi a expliqué cette décision par "l'aggravation de la crise politique qu'a connu le pays durant ces dernières années et qui se traduit par l'absence d'une alternative politique indépendante capable d'imposer le changement et satisfaire les aspirations démocratiques et sociales des citoyens". Il a appelé d'autre part, à l'élection d'une assemblée constituante représentative des travailleurs, des chômeurs, des femmes et des défavorisés, soulignant que cette dernière "inscrira dans une nouvelle Constitution les aspirations démocratiques et sociales de la majorité des Algériens et consacrera la souveraineté populaire". M. Rechidi a expliqué cette décision par "l'aggravation de la crise politique qu'a connu le pays durant ces dernières années et qui se traduit par l'absence d'une alternative politique indépendante capable d'imposer le changement et satisfaire les aspirations démocratiques et sociales des citoyens". Il a appelé d'autre part, à l'élection d'une assemblée constituante représentative des travailleurs, des chômeurs, des femmes et des défavorisés, soulignant que cette dernière "inscrira dans une nouvelle Constitution les aspirations démocratiques et sociales de la majorité des Algériens et consacrera la souveraineté populaire".