Le Front du changement (FC) a décidé samedi au terme des travaux de la session ordinaire de son conseil consultatif (Majliss Echoura) de charger le bureau national de convoquer une session extraordinaire du conseil pour prendre une décision définitive sur sa participation à la présidentielle, prévue le 17 avril 2014. Le Front du changement (FC) a décidé samedi au terme des travaux de la session ordinaire de son conseil consultatif (Majliss Echoura) de charger le bureau national de convoquer une session extraordinaire du conseil pour prendre une décision définitive sur sa participation à la présidentielle, prévue le 17 avril 2014. "Le FC est concerné par cette élection présidentielle, eu égard à son importance pour l'avenir de l'Algérie et de la démocratie, et charge ainsi son bureau national de poursuivre l'initiative de consensus, d'approfondir le débat et la concertation avec les candidats et les parties politiques pour trouver un candidat de consensus, et de convoquer une session extraordinaire du conseil consultatif pour prendre une décision définitive au moment opportun", lit-on dans le communiqué final, qui a sanctionné deux jours de travaux à huis clos. Pour garantir la réussite de cette échéance, le conseil consultatif a appelé dans son communiqué, le président de la République à "rassurer la classe politique, à travers davantage d'actions et de décisions qui dissipent la confusion et encouragent la participation au processus électoral, et à assurer toutes les garanties de transparence et de neutralité pour des élections régulières". Le conseil a également lancé un appel au gouvernement pour "apaiser la situation et assurer le succès du prochain rendez-vous électoral, à travers la prise en charge effective des préoccupations des citoyens et leurs revendications loin de l'opportunisme électoral et des intérêts restreints". Le conseil consultatif s'est réuni vendredi et samedi en session ordinaire au siège national du parti pour débattre de la prochaine présidentielle et examiner le rapport d'activité pour l'année 2013 avant son adoption. Le programme d'action du FC pour l'année 2014 a également été enrichi et adopté. Le président du FC, Abdelmadjid Menasra, avait estimé vendredi à Alger à l'ouverture des travaux du conseil que "l'élection présidentielle est une échéance qui ne doit pas susciter de craintes", soulignant que les préparatifs de ce rendez-vous électoral "doivent se dérouler dans le calme et la cohésion". "Le FC est concerné par cette élection présidentielle, eu égard à son importance pour l'avenir de l'Algérie et de la démocratie, et charge ainsi son bureau national de poursuivre l'initiative de consensus, d'approfondir le débat et la concertation avec les candidats et les parties politiques pour trouver un candidat de consensus, et de convoquer une session extraordinaire du conseil consultatif pour prendre une décision définitive au moment opportun", lit-on dans le communiqué final, qui a sanctionné deux jours de travaux à huis clos. Pour garantir la réussite de cette échéance, le conseil consultatif a appelé dans son communiqué, le président de la République à "rassurer la classe politique, à travers davantage d'actions et de décisions qui dissipent la confusion et encouragent la participation au processus électoral, et à assurer toutes les garanties de transparence et de neutralité pour des élections régulières". Le conseil a également lancé un appel au gouvernement pour "apaiser la situation et assurer le succès du prochain rendez-vous électoral, à travers la prise en charge effective des préoccupations des citoyens et leurs revendications loin de l'opportunisme électoral et des intérêts restreints". Le conseil consultatif s'est réuni vendredi et samedi en session ordinaire au siège national du parti pour débattre de la prochaine présidentielle et examiner le rapport d'activité pour l'année 2013 avant son adoption. Le programme d'action du FC pour l'année 2014 a également été enrichi et adopté. Le président du FC, Abdelmadjid Menasra, avait estimé vendredi à Alger à l'ouverture des travaux du conseil que "l'élection présidentielle est une échéance qui ne doit pas susciter de craintes", soulignant que les préparatifs de ce rendez-vous électoral "doivent se dérouler dans le calme et la cohésion".