C'est à Tébessa qu'ont été organisées les cérémonies officielles célébrant le double anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et de la naissance de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA). C'est à Tébessa qu'ont été organisées les cérémonies officielles célébrant le double anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et de la naissance de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA). A cette occasion et comme de tradition, le président de la République s'est adressé aux travailleurs algériens par voie épistolaire. Le message a été lu, c'est devenu une tradition aussi, par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République. Le chef de l'Etat a rassuré le monde du travail, notamment les basses catégories professionnelles qu'il est à leur écoute. La promotion du pouvoir d'achat des salariés est une préoccupation constante du chef de l'Etat et il en fait état dans le message en revenant sur les travaux de la tripartite de dimanche dernier, particulièrement sur un point de l'ordre du jour du conclave qui a réuni le gouvernement, le syndicat UGTA et le patronat public et privé. Le chef confirme : « C'est dans une perspective de préservation et de promotion du pouvoir d'achat des travailleurs que l'abrogation de l'article 87 bis de la loi relative aux relations de travail a été abordée dans un cadre de concertation avec les partenaires sociaux en vue de sa stipulation dans la loi de finances pour l'année 2015» a-t-il souligné dans son message, relevant que la nouvelle approche devrait permettre de «consolider un salaire minimum garanti et le rattrapage des revenus des travailleurs de basses catégories professionnelles». La nouvelle approche devra également donner, aux entreprises, « davantage de flexibilité pour mieux rétribuer les rendements des travailleurs et les conditions particulières du poste de travail», a-t-il ajouté. Pour Abdelaziz Bouteflika, le programme de travail des autorités publiques a visé l'amélioration des indicateurs de développement humain et du pouvoir d'achat du citoyen à travers les augmentations successives des salaires. Le chef de l'Etat a assuré également que « le programme de travail des autorités publiques a visé l'amélioration des indicateurs de développement humain à travers la prise en charge du droit d'accès à la santé, au logement, à l'éducation, à l'enseignement et à l'eau potable». Le président Bouteflika a relevé que ce programme a, également, pour objectif l' « amélioration du pouvoir d'achat du citoyen à travers les augmentations successives des salaires et des personnes en retraite, outre la subvention des produits et biens de large consommation». Le chef de l'Etat a affirmé, en outre, qu'il "incombe à l'Etat de poursuivre la mise en œuvre des programmes d'encouragement à l'investissement, de promotion de l'emploi et de réduction du chômage, notamment parmi les jeunes diplômés des instituts et des universités". Abdelaziz Bouteflika a insisté sur la nécessité de l'Etat de veiller à la formation de la main-d'œuvre en vue d'améliorer ses compétences et d'adapter ses connaissances au progrès technologies et aux besoins du marché du travail, soulignant que l'efficacité des dispositifs destinés à faciliter les activités économiques doit être améliorée et les opérateurs économiques doivent être «mobilisés autour d'un pacte économique et social de croissance». Le premier magistrat du pays a relevé que " la promotion du pacte économique et social de 2006 en un pacte économique et social de croissance par la tripartite traduit l'engagement de ces partenaires à concrétiser l'accélération du processus des réformes économiques». Accélération du processus des réformes Il explique dans ce cadre que « ces réformes visent le développement industriel, l'amélioration du climat des affaires et la promotion de la production nationale», indiquant que « cette politique de croissance sera soutenue par un meilleur accès au travail et l'amélioration continue du pouvoir d'achat et une adaptation du système de formation ». Le président de la République qui a également souligné la nécessité de poursuivre le soutien à la production afin de permettre la transition graduelle « d'une économie basée sur l'importation à celle réduisant la dépendance aux hydrocarbures », soutenant que ces efforts ont permis le maintien d'un rythme de croissance économique ascendant. Il ajoute que le taux de croissance général hors hydrocarbures et le fléchissement constant de la courbe du chômage qui atteint 9,8% à la fin de l'année 2013 sont les témoins de ces résultats. Le chef de l'Etat a par ailleurs salué la «maturité et l'efficience» de la centrale syndicale UGTA qui a " à cœur de concrétiser des aspirations sociales et de promouvoir les obligations citoyennes et de défendre la stabilité du pays". Pour preuve, il suffit, indique-t-il « de considérer son rôle constructif au sein de la tripartite, cadre de dialogue et de concertation s'il en est, son aptitude à s'adapter à l'évolution du monde du travail caractérisé par la continuelle multiplication des catégories socioprofessionnelles et la densification des spécialités professionnelles, et son rapport au pluralisme syndical ». A propos des travailleuses et travailleurs algériens, le président Bouteflika a souligné qu' « il n'est nul besoin de rappeler le rôle joué par les travailleuses et les travailleurs durant le combat que notre peuple a mené pour son affranchissement et sa liberté, puis dans le processus de reconstruction et de salut de la République ainsi que de la préservation de la stabilité et de la sécurité du pays ». Sur les hydrocarbures dont on célèbre aussi en ce jour, l'anniversaire, le chef de l'Etat rassure et précise que « notre pays compte à son actif des réalisations d'envergure en matière de découverte de gigantesques réserves en hydrocarbures, de développement et d'exploitation d'importants gisements de gaz et de pétrole et de liquéfaction et de traitement du gaz », notant que l'Algérie a pu, grâce à la totale maîtrise de ses ressources en hydrocarbures, concevoir et mettre en œuvre les politiques pour développer ces ressources et adapter les textes législatifs, sans rien céder, s'agissant de sa souveraineté nationale sur ses ressources naturelles. A cette occasion et comme de tradition, le président de la République s'est adressé aux travailleurs algériens par voie épistolaire. Le message a été lu, c'est devenu une tradition aussi, par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République. Le chef de l'Etat a rassuré le monde du travail, notamment les basses catégories professionnelles qu'il est à leur écoute. La promotion du pouvoir d'achat des salariés est une préoccupation constante du chef de l'Etat et il en fait état dans le message en revenant sur les travaux de la tripartite de dimanche dernier, particulièrement sur un point de l'ordre du jour du conclave qui a réuni le gouvernement, le syndicat UGTA et le patronat public et privé. Le chef confirme : « C'est dans une perspective de préservation et de promotion du pouvoir d'achat des travailleurs que l'abrogation de l'article 87 bis de la loi relative aux relations de travail a été abordée dans un cadre de concertation avec les partenaires sociaux en vue de sa stipulation dans la loi de finances pour l'année 2015» a-t-il souligné dans son message, relevant que la nouvelle approche devrait permettre de «consolider un salaire minimum garanti et le rattrapage des revenus des travailleurs de basses catégories professionnelles». La nouvelle approche devra également donner, aux entreprises, « davantage de flexibilité pour mieux rétribuer les rendements des travailleurs et les conditions particulières du poste de travail», a-t-il ajouté. Pour Abdelaziz Bouteflika, le programme de travail des autorités publiques a visé l'amélioration des indicateurs de développement humain et du pouvoir d'achat du citoyen à travers les augmentations successives des salaires. Le chef de l'Etat a assuré également que « le programme de travail des autorités publiques a visé l'amélioration des indicateurs de développement humain à travers la prise en charge du droit d'accès à la santé, au logement, à l'éducation, à l'enseignement et à l'eau potable». Le président Bouteflika a relevé que ce programme a, également, pour objectif l' « amélioration du pouvoir d'achat du citoyen à travers les augmentations successives des salaires et des personnes en retraite, outre la subvention des produits et biens de large consommation». Le chef de l'Etat a affirmé, en outre, qu'il "incombe à l'Etat de poursuivre la mise en œuvre des programmes d'encouragement à l'investissement, de promotion de l'emploi et de réduction du chômage, notamment parmi les jeunes diplômés des instituts et des universités". Abdelaziz Bouteflika a insisté sur la nécessité de l'Etat de veiller à la formation de la main-d'œuvre en vue d'améliorer ses compétences et d'adapter ses connaissances au progrès technologies et aux besoins du marché du travail, soulignant que l'efficacité des dispositifs destinés à faciliter les activités économiques doit être améliorée et les opérateurs économiques doivent être «mobilisés autour d'un pacte économique et social de croissance». Le premier magistrat du pays a relevé que " la promotion du pacte économique et social de 2006 en un pacte économique et social de croissance par la tripartite traduit l'engagement de ces partenaires à concrétiser l'accélération du processus des réformes économiques». Accélération du processus des réformes Il explique dans ce cadre que « ces réformes visent le développement industriel, l'amélioration du climat des affaires et la promotion de la production nationale», indiquant que « cette politique de croissance sera soutenue par un meilleur accès au travail et l'amélioration continue du pouvoir d'achat et une adaptation du système de formation ». Le président de la République qui a également souligné la nécessité de poursuivre le soutien à la production afin de permettre la transition graduelle « d'une économie basée sur l'importation à celle réduisant la dépendance aux hydrocarbures », soutenant que ces efforts ont permis le maintien d'un rythme de croissance économique ascendant. Il ajoute que le taux de croissance général hors hydrocarbures et le fléchissement constant de la courbe du chômage qui atteint 9,8% à la fin de l'année 2013 sont les témoins de ces résultats. Le chef de l'Etat a par ailleurs salué la «maturité et l'efficience» de la centrale syndicale UGTA qui a " à cœur de concrétiser des aspirations sociales et de promouvoir les obligations citoyennes et de défendre la stabilité du pays". Pour preuve, il suffit, indique-t-il « de considérer son rôle constructif au sein de la tripartite, cadre de dialogue et de concertation s'il en est, son aptitude à s'adapter à l'évolution du monde du travail caractérisé par la continuelle multiplication des catégories socioprofessionnelles et la densification des spécialités professionnelles, et son rapport au pluralisme syndical ». A propos des travailleuses et travailleurs algériens, le président Bouteflika a souligné qu' « il n'est nul besoin de rappeler le rôle joué par les travailleuses et les travailleurs durant le combat que notre peuple a mené pour son affranchissement et sa liberté, puis dans le processus de reconstruction et de salut de la République ainsi que de la préservation de la stabilité et de la sécurité du pays ». Sur les hydrocarbures dont on célèbre aussi en ce jour, l'anniversaire, le chef de l'Etat rassure et précise que « notre pays compte à son actif des réalisations d'envergure en matière de découverte de gigantesques réserves en hydrocarbures, de développement et d'exploitation d'importants gisements de gaz et de pétrole et de liquéfaction et de traitement du gaz », notant que l'Algérie a pu, grâce à la totale maîtrise de ses ressources en hydrocarbures, concevoir et mettre en œuvre les politiques pour développer ces ressources et adapter les textes législatifs, sans rien céder, s'agissant de sa souveraineté nationale sur ses ressources naturelles.