Le gouvernement tunisien tente de "reprendre le contrôle" sur toutes les mosquées à travers "la révocation" de certains imams appartenant à la mouvance extrémiste afin que les lieux de prière "ne se transforment pas en foyers d'intimidation et de propagande pour la pensée terroriste ou en tribunes où les gens sont accusées d'apostasie". Le gouvernement tunisien tente de "reprendre le contrôle" sur toutes les mosquées à travers "la révocation" de certains imams appartenant à la mouvance extrémiste afin que les lieux de prière "ne se transforment pas en foyers d'intimidation et de propagande pour la pensée terroriste ou en tribunes où les gens sont accusées d'apostasie". Des islamistes radicaux de la mouvance salafiste djihadiste avaient réussi au lendemain de la "Révolution du Jasmin" à contrôler une centaine de mosquées dans différentes régions du pays, dont les imams prônent des discours incitant à la haine et à la discorde. Les partis politiques de l'opposition avaient accusé ces groupes extrémistes de promouvoir un discours religieux fondamentaliste et étranger à la société tunisienne, de complot contre l'Etat, de mobilisation de jeunes au "djihad" en Syrie et d'utilisation de la mosquée à des fins partisanes. Dans des déclarations à la presse, le chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomâa, a insisté sur la neutralité des mosquée annonçant la mise en place "d'un plan visant à récupérer une centaine de mosquées échappant au contrôle de l'Etat, en coordination avec plusieurs départements, dont les ministère de l'Intérieur et la Justice". A ce effet, le ministre des Affaires religieuses, Mounir Tlili, a fait état de la révocation de nombreux imams prédicateurs appartenant à la mouvance extrémiste, soulignant que l'autorité de tutelle "poursuivra sa mission pour défendre" les mosquées à l'effet d'en faire des lieux de prière et non de "propagande terroriste". Il a indiqué que près de 150 mosquées échappant au contrôle de l'Etat "ont été récupérées" et que les services de son département poursuivaient l'opération de récupération de manière ferme Des islamistes radicaux de la mouvance salafiste djihadiste avaient réussi au lendemain de la "Révolution du Jasmin" à contrôler une centaine de mosquées dans différentes régions du pays, dont les imams prônent des discours incitant à la haine et à la discorde. Les partis politiques de l'opposition avaient accusé ces groupes extrémistes de promouvoir un discours religieux fondamentaliste et étranger à la société tunisienne, de complot contre l'Etat, de mobilisation de jeunes au "djihad" en Syrie et d'utilisation de la mosquée à des fins partisanes. Dans des déclarations à la presse, le chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomâa, a insisté sur la neutralité des mosquée annonçant la mise en place "d'un plan visant à récupérer une centaine de mosquées échappant au contrôle de l'Etat, en coordination avec plusieurs départements, dont les ministère de l'Intérieur et la Justice". A ce effet, le ministre des Affaires religieuses, Mounir Tlili, a fait état de la révocation de nombreux imams prédicateurs appartenant à la mouvance extrémiste, soulignant que l'autorité de tutelle "poursuivra sa mission pour défendre" les mosquées à l'effet d'en faire des lieux de prière et non de "propagande terroriste". Il a indiqué que près de 150 mosquées échappant au contrôle de l'Etat "ont été récupérées" et que les services de son département poursuivaient l'opération de récupération de manière ferme