Après avoir remis les clefs du Premier ministère à un intérimaire chargé d'assurer les tâches courantes, Abdelmalek Sellal, l'ex- Premier ministre a commencé à se consacrer pleinement à la campagne électorale du candidat Bouteflika. Jeudi en fin d'après-midi, il a réuni les directeurs de wilayas de la campagne du président sortant à Sidi-Frej (Alger) pour un brain-trust auquel ont été conviés également les animateurs de la campagne électorale au niveau des daïras. Après avoir remis les clefs du Premier ministère à un intérimaire chargé d'assurer les tâches courantes, Abdelmalek Sellal, l'ex- Premier ministre a commencé à se consacrer pleinement à la campagne électorale du candidat Bouteflika. Jeudi en fin d'après-midi, il a réuni les directeurs de wilayas de la campagne du président sortant à Sidi-Frej (Alger) pour un brain-trust auquel ont été conviés également les animateurs de la campagne électorale au niveau des daïras. Les choses sérieuses commencent pour le candidat Abdelaziz Bouteflika et le staff de sa campagne électorale. Abdelmalek Sellal et son équipe ont discuté à huit-clos la feuille de route tracée pour la durée de toute la campagne électorale. Dans une brève intervention au début de la cérémonie d'installation, Abdelmalek Sellal a assuré que la campagne électorale qu'il mènera pour le candidat Bouteflika sera « propre et loin de toute invective ». Instruction est donnée donc aux directeurs de la campagne du candidat Bouteflika de tenir un langage à la hauteur de l'évènement et de s'abstenir de se lancer dans la diffamation. Louant les réalisations du chef de l'Etat, Sellal souligne que « l'Algérie a tant besoin de cet homme qui a servi son pays avec abnégation et capable de garantir sa stabilité et de préserver sa sécurité » grâce, a-t-il dit, à « sa compétence et sa clairvoyance politique ». Evoquant le contexte géopolitique, il estime que le processus de ces réalisations doit être poursuivi en faveur de « la stabilité du pays et la préservation des acquis de l'Algérie, devenue désormais une puissance régionale ». Il note que notre pays fait face aujourd'hui, à plusieurs défis du fait notamment des problèmes que connaît la région dont elle fait partie, d'où la nécessité, selon lui de « poursuivre les efforts dans le cadre d'une vision claire ». Concernant le programme électoral, Sellal assure qu'il sera expliqué aux citoyens par les directeurs de campagne. Il est à souligner que les 48 directeurs de campagne sont issus des différents partis politiques qui ont exprimé le souhait de faire campagne en faveur du candidat Bouteflika. Selon des indiscrétions qui ont circulé dans les couloirs de l'hôtel où s'est tenue la réunion, l'objectif principal assigné aux directeurs de wilaya de la campagne électoral est de « convaincre » les citoyens électeurs de remplir leur droit civique en allant voter massivement le jour du scrutin populaire. Il est également demandé aux directeurs de la campagne électorale de fournir de grands efforts pour amener les électeurs à faire le bon choix et limiter autant que faire se peut les velléités « abstentionnistes » de l'électorat. Il est vrai que c'est sur ce « détail » que se jouera la crédibilité du vote du 17 avril prochain. Une démonstration de ce que sera la campagne électorale du président sortant a été organisée, hier, à la coupole du stade 5-Juillet à Alger. Salle archicomble et ambiance festive. Le slogan de campagne du candidat Bouteflika : « Notre serment pour l'Algérie ». Au Parti des travailleurs (PT), l'on se mobilise pour la campagne électorale. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) et candidate à la présidentielle du 17 avril, Louisa Hanoune, a appelé, les militants et les militantes de son parti à mener une campagne électorale «offensive» dans le respect de l'éthique politique, afin de préserver la volonté populaire et «éviter tout dérapage». Dans une allocution d'ouverture des travaux du conseil national qui a regroupé les cadres du PT à Zeralda, Mme Hanoune a souligné que « la campagne électorale sera une campagne offensive contre tous ceux qui cherchent à confisquer la volonté populaire ». Le candidat, Ali Benflis lui aussi est en pré-campagne. C'est l'administration qui lui cause des soucis. Lors d'une rencontre avec les jeunes, samedi à Alger, il a dénoncé le parti pris du gouvernement et de l'administration en faveur du candidat Abdelaziz Bouteflika. « La préparation de l'élection du 17 avril prochain a éloigné l'administration de la neutralité et mis le gouvernement dans une position de partie prenante, voire de véritables comités de soutien au président sortant », a-t-il déclaré. Il a appelé les jeunes à se mobiliser pour prendre la relève. « Le temps n'est-il pas arrivé pour vous (jeunes) d'assumer les responsabilités à tous les niveaux et dans tous les secteurs d'activité ? », a-t-il lancé. Une atmosphère de pré-campagne électorale qui n'est qu'à ses débuts. La liste des six candidats qui vont s'affronter sur le terrain vient d'être à peine divulguée. La campagne électorale promet d'être « houleuse ». Les six candidats vont se dire certaines « vérités », notamment sur la question de la corruption, de la gouvernance, même si les appels à la retenue ont été lancés par les différentes parties en course. Les choses sérieuses commencent pour le candidat Abdelaziz Bouteflika et le staff de sa campagne électorale. Abdelmalek Sellal et son équipe ont discuté à huit-clos la feuille de route tracée pour la durée de toute la campagne électorale. Dans une brève intervention au début de la cérémonie d'installation, Abdelmalek Sellal a assuré que la campagne électorale qu'il mènera pour le candidat Bouteflika sera « propre et loin de toute invective ». Instruction est donnée donc aux directeurs de la campagne du candidat Bouteflika de tenir un langage à la hauteur de l'évènement et de s'abstenir de se lancer dans la diffamation. Louant les réalisations du chef de l'Etat, Sellal souligne que « l'Algérie a tant besoin de cet homme qui a servi son pays avec abnégation et capable de garantir sa stabilité et de préserver sa sécurité » grâce, a-t-il dit, à « sa compétence et sa clairvoyance politique ». Evoquant le contexte géopolitique, il estime que le processus de ces réalisations doit être poursuivi en faveur de « la stabilité du pays et la préservation des acquis de l'Algérie, devenue désormais une puissance régionale ». Il note que notre pays fait face aujourd'hui, à plusieurs défis du fait notamment des problèmes que connaît la région dont elle fait partie, d'où la nécessité, selon lui de « poursuivre les efforts dans le cadre d'une vision claire ». Concernant le programme électoral, Sellal assure qu'il sera expliqué aux citoyens par les directeurs de campagne. Il est à souligner que les 48 directeurs de campagne sont issus des différents partis politiques qui ont exprimé le souhait de faire campagne en faveur du candidat Bouteflika. Selon des indiscrétions qui ont circulé dans les couloirs de l'hôtel où s'est tenue la réunion, l'objectif principal assigné aux directeurs de wilaya de la campagne électoral est de « convaincre » les citoyens électeurs de remplir leur droit civique en allant voter massivement le jour du scrutin populaire. Il est également demandé aux directeurs de la campagne électorale de fournir de grands efforts pour amener les électeurs à faire le bon choix et limiter autant que faire se peut les velléités « abstentionnistes » de l'électorat. Il est vrai que c'est sur ce « détail » que se jouera la crédibilité du vote du 17 avril prochain. Une démonstration de ce que sera la campagne électorale du président sortant a été organisée, hier, à la coupole du stade 5-Juillet à Alger. Salle archicomble et ambiance festive. Le slogan de campagne du candidat Bouteflika : « Notre serment pour l'Algérie ». Au Parti des travailleurs (PT), l'on se mobilise pour la campagne électorale. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) et candidate à la présidentielle du 17 avril, Louisa Hanoune, a appelé, les militants et les militantes de son parti à mener une campagne électorale «offensive» dans le respect de l'éthique politique, afin de préserver la volonté populaire et «éviter tout dérapage». Dans une allocution d'ouverture des travaux du conseil national qui a regroupé les cadres du PT à Zeralda, Mme Hanoune a souligné que « la campagne électorale sera une campagne offensive contre tous ceux qui cherchent à confisquer la volonté populaire ». Le candidat, Ali Benflis lui aussi est en pré-campagne. C'est l'administration qui lui cause des soucis. Lors d'une rencontre avec les jeunes, samedi à Alger, il a dénoncé le parti pris du gouvernement et de l'administration en faveur du candidat Abdelaziz Bouteflika. « La préparation de l'élection du 17 avril prochain a éloigné l'administration de la neutralité et mis le gouvernement dans une position de partie prenante, voire de véritables comités de soutien au président sortant », a-t-il déclaré. Il a appelé les jeunes à se mobiliser pour prendre la relève. « Le temps n'est-il pas arrivé pour vous (jeunes) d'assumer les responsabilités à tous les niveaux et dans tous les secteurs d'activité ? », a-t-il lancé. Une atmosphère de pré-campagne électorale qui n'est qu'à ses débuts. La liste des six candidats qui vont s'affronter sur le terrain vient d'être à peine divulguée. La campagne électorale promet d'être « houleuse ». Les six candidats vont se dire certaines « vérités », notamment sur la question de la corruption, de la gouvernance, même si les appels à la retenue ont été lancés par les différentes parties en course.