Le secteur de la santé dans la wilaya de Batna est en butte à des contraintes liées au sous-encadrement en matière de personnel paramédical, ce qui risque de peser négativement sur les prestations médicales, a indiqué, à l'APS, le directeur de la santé. Le secteur de la santé dans la wilaya de Batna est en butte à des contraintes liées au sous-encadrement en matière de personnel paramédical, ce qui risque de peser négativement sur les prestations médicales, a indiqué, à l'APS, le directeur de la santé. "La problématique liée à ce déficit en personnels paramédicaux est d'autant plus préoccupante que des infrastructures importantes sont sur le point d'être réceptionnées, si elles ne le sont pas déjà, à l'image du centre anti-cancer (CAC)", a ajouté Driss Khodja El-Hadj. Cette situation est induite par les demandes massives de départ à la retraite, les mutations et autres congés de maladie, parfois de longue durée, qui influent fortement sur l'équilibre des prestations médicales, a encore indiqué M. Khodja El-Hadj, précisant que ce "manque flagrant" correspond à quelque 3.000 agents paramédicaux, cependant il a estimé que la nouvelle école paramédicale en réalisation "devra pallier le manque et atténuer relativement le déficit constaté, s'agissant, notamment, des infirmiers polyvalents et de radiologie, des sages-femmes, des laborantins et des techniciens en anesthésie-réanimation". Pour améliorer la qualité des soins prodigués et renforcer les infrastructures, M. Khodja El-Hadj a évoqué les efforts déployés et rappelé que la wilaya de Batna disposera, d'ici à la fin d'année en cours, de 3 hôpitaux de 120 lits (à Theniet El-Abed, Ras El Ayoun et T'kout), de l'hôpital d'Arris après extension à 120 lits, un pavillon des urgences à, la cité Bouzourane (Batna), et 17 polycliniques à travers différentes localités de la wilaya. "Des infrastructures précieuses et nécessaires mais qui exigent d'être confortées par la disponibilité des personnels qualifiés nécessaires à leur fonctionnement", a souligné le directeur de la santé à l'APS. Il est indispensable d'exploiter judicieusement et de rentabiliser les structures de base pour aspirer à "une médecine moderne, en adéquation avec la promotion de la carte de santé qui consiste à promouvoir la médecine de proximité, à corriger les disfonctionnements du secteur et à garantir une amélioration des conditions d'accueil, en plus de l'intensification des soins et de la garantie d'un accès équitable aux services de santé", a conclu M. Khodja El-Hadj, directeur de la santé de la wilaya de Batna. "La problématique liée à ce déficit en personnels paramédicaux est d'autant plus préoccupante que des infrastructures importantes sont sur le point d'être réceptionnées, si elles ne le sont pas déjà, à l'image du centre anti-cancer (CAC)", a ajouté Driss Khodja El-Hadj. Cette situation est induite par les demandes massives de départ à la retraite, les mutations et autres congés de maladie, parfois de longue durée, qui influent fortement sur l'équilibre des prestations médicales, a encore indiqué M. Khodja El-Hadj, précisant que ce "manque flagrant" correspond à quelque 3.000 agents paramédicaux, cependant il a estimé que la nouvelle école paramédicale en réalisation "devra pallier le manque et atténuer relativement le déficit constaté, s'agissant, notamment, des infirmiers polyvalents et de radiologie, des sages-femmes, des laborantins et des techniciens en anesthésie-réanimation". Pour améliorer la qualité des soins prodigués et renforcer les infrastructures, M. Khodja El-Hadj a évoqué les efforts déployés et rappelé que la wilaya de Batna disposera, d'ici à la fin d'année en cours, de 3 hôpitaux de 120 lits (à Theniet El-Abed, Ras El Ayoun et T'kout), de l'hôpital d'Arris après extension à 120 lits, un pavillon des urgences à, la cité Bouzourane (Batna), et 17 polycliniques à travers différentes localités de la wilaya. "Des infrastructures précieuses et nécessaires mais qui exigent d'être confortées par la disponibilité des personnels qualifiés nécessaires à leur fonctionnement", a souligné le directeur de la santé à l'APS. Il est indispensable d'exploiter judicieusement et de rentabiliser les structures de base pour aspirer à "une médecine moderne, en adéquation avec la promotion de la carte de santé qui consiste à promouvoir la médecine de proximité, à corriger les disfonctionnements du secteur et à garantir une amélioration des conditions d'accueil, en plus de l'intensification des soins et de la garantie d'un accès équitable aux services de santé", a conclu M. Khodja El-Hadj, directeur de la santé de la wilaya de Batna.