La campagne que mènera le parti du Rassemblement national démocratique pour l'élection présidentielle prochaine se conformera à la réalité et au vécu du peuple algérien, a affirmé samedi à Boumerdès, le secrétaire général du RND, Abdelkader Bensalah. La campagne que mènera le parti du Rassemblement national démocratique pour l'élection présidentielle prochaine se conformera à la réalité et au vécu du peuple algérien, a affirmé samedi à Boumerdès, le secrétaire général du RND, Abdelkader Bensalah. "Lors de la présentation du programme du candidat que nous soutenons, nous nous abstiendrons de faire au peuple de fausses promesses, et ferons preuve d'un réalisme excluant toute surenchère ne tenant pas compte des capacités réelles du pays", a affirmé Bensalah lors d'un meeting animé en présence de plus de 600 militants de son parti. Appelant les citoyens à participer "massivement" au scrutin du 17 avril prochain, le premier responsable du RND a exhorté ces derniers à faire montre de "vigilance" et à user de "leur droit de vote pour affirmer leur citoyenneté", afin, a-t-il dit de "consolider la légalité et de consacrer la démocratie", et de permettre ainsi "au candidat Abdelaziz Bouteflika d'obtenir une large adhésion populaire". Evoquant les partisans du boycott (sans les nommer), Bensalah a indiqué que ceux-ci "faute de trouver une issue à leur impasse politique, ont adopté une "logique" qui ne sert pas le processus démocratique et le pluralisme politique". Dans ce contexte, il a estimé que "la non conformité aux fondements de l'acte démocratique, ne peut être qu'assimilée au non respect de la volonté populaire et un refus de se soumettre à l'arbitrage des urnes", avant d'appeler à la "mobilisation du peuple pour l'accomplissement de son devoir électoral, pour contrer ceux qui œuvrent à faire échouer cette importante échéance politique". S'exprimant sur la réconciliation nationale, M. Bensalah s'est félicité de la stabilité et de la sécurité qu'elle a induit, tout en reconnaissant que les dispositions de cette loi "n'ont pas été encore appliquées dans leur intégralité". De même qu'il a assuré que "les portes de la réconciliation ne sont pas fermées devant ceux qui voudraient rejoindre le droit chemin". "L'Algérie a connu son printemps il y a 60 ans, et a réalisé de profondes mutations et réformes politiques", a-t-il, par ailleurs, soutenu à l'intention de ceux qui estiment que "l'avènement du printemps arabe a tardé en Algérie". "Lors de la présentation du programme du candidat que nous soutenons, nous nous abstiendrons de faire au peuple de fausses promesses, et ferons preuve d'un réalisme excluant toute surenchère ne tenant pas compte des capacités réelles du pays", a affirmé Bensalah lors d'un meeting animé en présence de plus de 600 militants de son parti. Appelant les citoyens à participer "massivement" au scrutin du 17 avril prochain, le premier responsable du RND a exhorté ces derniers à faire montre de "vigilance" et à user de "leur droit de vote pour affirmer leur citoyenneté", afin, a-t-il dit de "consolider la légalité et de consacrer la démocratie", et de permettre ainsi "au candidat Abdelaziz Bouteflika d'obtenir une large adhésion populaire". Evoquant les partisans du boycott (sans les nommer), Bensalah a indiqué que ceux-ci "faute de trouver une issue à leur impasse politique, ont adopté une "logique" qui ne sert pas le processus démocratique et le pluralisme politique". Dans ce contexte, il a estimé que "la non conformité aux fondements de l'acte démocratique, ne peut être qu'assimilée au non respect de la volonté populaire et un refus de se soumettre à l'arbitrage des urnes", avant d'appeler à la "mobilisation du peuple pour l'accomplissement de son devoir électoral, pour contrer ceux qui œuvrent à faire échouer cette importante échéance politique". S'exprimant sur la réconciliation nationale, M. Bensalah s'est félicité de la stabilité et de la sécurité qu'elle a induit, tout en reconnaissant que les dispositions de cette loi "n'ont pas été encore appliquées dans leur intégralité". De même qu'il a assuré que "les portes de la réconciliation ne sont pas fermées devant ceux qui voudraient rejoindre le droit chemin". "L'Algérie a connu son printemps il y a 60 ans, et a réalisé de profondes mutations et réformes politiques", a-t-il, par ailleurs, soutenu à l'intention de ceux qui estiment que "l'avènement du printemps arabe a tardé en Algérie".