La wilaya de Chlef est en passe de devenir un véritable réservoir pour l'apiculture grâce à ses 450 apiculteurs et ses pics de production atteignant jusqu'a 90.000 qx de miel/an. La wilaya de Chlef est en passe de devenir un véritable réservoir pour l'apiculture grâce à ses 450 apiculteurs et ses pics de production atteignant jusqu'a 90.000 qx de miel/an. C'est ce qu' indiqué l'APS, soulignant que ce constat des gens de la profession repose notamment sur les potentialités floristiques que recèle la région et l'engouement que suscite cette activité au sein des jeunes. Pas moins de 450 apiculteurs activent au niveau de la wilaya dont 150 possèdent chacun 150 ruches, tandis que les autres ont entre 20 et 40 ruches chacun, a précisé à l'APS le président de l'association des apiculteurs de la wilaya, Abdelaziz Aït Hamouda. Selon les estimations de l'association locale des apiculteurs, qui fait état de la production de sept variétés de miel, dont notamment le miel de l'oranger, du thym, de l'eucalyptus, de la carotte sauvage, du jujubier et de la lavande maritime, le rendement moyen par ruche varie entre 10 et 20 kilos, ajoutant que le miel d'orange est le plus répandu au niveau de la région de par l'existence d'un vaste verger agrumicole qui s'étend sur une superficie de 5400 hectares. Quant aux miels de lavande maritime, de jujubier, de carotte sauvage et d'eucalyptus, ils occupent également une place de choix dans la production mellifère de la région qui s'attelle, contre vent et marée, à briguer une place sur le marché national du miel à l'instar de celles de Blida, Boumerdes et Bouira, entre autres. Le président de l'association évoque, néanmoins, l'existence de plusieurs facteurs contraignants à la promotion de cette activité, tant localement que dans d'autres régions du pays. Parmi ces facteurs, il a cité notamment l'absence de coopératives apicoles, de points de vente devant prendre en charge l'écoulement du produit, auxquels s'ajoute l'importation de miel. Selon le président de l'association, malgré ces contraintes, il se dit, cependant, confiant de l'avenir de cette activité sachant l'engouement qu'elle suscite au sein des jeunes et des progrès réalisés dans le domaine, citant pour l'exemple la formation en apiculture en 2013 de 400 jeunes de la région, dont une grande partie sont des universitaires. C'est ce qu' indiqué l'APS, soulignant que ce constat des gens de la profession repose notamment sur les potentialités floristiques que recèle la région et l'engouement que suscite cette activité au sein des jeunes. Pas moins de 450 apiculteurs activent au niveau de la wilaya dont 150 possèdent chacun 150 ruches, tandis que les autres ont entre 20 et 40 ruches chacun, a précisé à l'APS le président de l'association des apiculteurs de la wilaya, Abdelaziz Aït Hamouda. Selon les estimations de l'association locale des apiculteurs, qui fait état de la production de sept variétés de miel, dont notamment le miel de l'oranger, du thym, de l'eucalyptus, de la carotte sauvage, du jujubier et de la lavande maritime, le rendement moyen par ruche varie entre 10 et 20 kilos, ajoutant que le miel d'orange est le plus répandu au niveau de la région de par l'existence d'un vaste verger agrumicole qui s'étend sur une superficie de 5400 hectares. Quant aux miels de lavande maritime, de jujubier, de carotte sauvage et d'eucalyptus, ils occupent également une place de choix dans la production mellifère de la région qui s'attelle, contre vent et marée, à briguer une place sur le marché national du miel à l'instar de celles de Blida, Boumerdes et Bouira, entre autres. Le président de l'association évoque, néanmoins, l'existence de plusieurs facteurs contraignants à la promotion de cette activité, tant localement que dans d'autres régions du pays. Parmi ces facteurs, il a cité notamment l'absence de coopératives apicoles, de points de vente devant prendre en charge l'écoulement du produit, auxquels s'ajoute l'importation de miel. Selon le président de l'association, malgré ces contraintes, il se dit, cependant, confiant de l'avenir de cette activité sachant l'engouement qu'elle suscite au sein des jeunes et des progrès réalisés dans le domaine, citant pour l'exemple la formation en apiculture en 2013 de 400 jeunes de la région, dont une grande partie sont des universitaires.