Le candidat à la présidentielle du parti Ahd 54, Ali Fewzi Rebaïne, a refusé mardi d'organiser son meeting électoral à Souk Ahras, accusant l'administration d'avoir exercér de "la pression" sur la population pour "ne pas assister" aux rencontres de l'opposition. Le candidat à la présidentielle du parti Ahd 54, Ali Fewzi Rebaïne, a refusé mardi d'organiser son meeting électoral à Souk Ahras, accusant l'administration d'avoir exercér de "la pression" sur la population pour "ne pas assister" aux rencontres de l'opposition. Dans une déclaration à la presse en présence d'un groupe de citoyens venus assister à son meeting, Rebaïne a précisé devant la salle de conférences Tahri-Miloud que "l'administration a exercé des pressions sur les Souk-Ahrassi pour ne pas assister à mes meetings et à ceux de l'opposition", sans donner plus de détails. Il a expliqué que les moyens de transports déployés par son parti pour transporter les citoyens de Souk-Ahras à son meeting "n'ont pas été au rendez-vous". Le wali de Souk Ahras dément De son côté, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil, a démenti "formellement", mardi, les accusations du candidat à l ‘élection présidentielle Ali Fawzi Rebaïne au sujet d ‘une "pression" exercée par l'administration sur la population de Souk Ahras. "Nous rejetons ces allégations et réaffirmons que l ‘administration est d'une neutralité absolue durant tout le processus électoral, que ce soit lors de la campagne ou pendant le déroulement du scrutin", a précisé le chef de l'exécutif local après avoir été contacté par l'APS. Le même responsable a néanmoins fait savoir que les représentants locaux du candidat Rebaïne, et "non le candidat lui-même", a-t-il tenu à préciser, ont demandé que le portrait officiel du président de la République en exercice, Bouteflika, soit retiré de la salle du meeting. "Une exigence que nous avons évidemment refusée", a conclu M. Agoudjil. Joint par l ‘APS en milieu de journée, le président de la commission de wilaya de l'élection présidentielle, Mohamed Djouaidia, a indiqué n'avoir reçu, jusqu'alors, "aucune plainte" de la part d'Ali Fewzi Rebaïne. Dans une déclaration à la presse en présence d'un groupe de citoyens venus assister à son meeting, Rebaïne a précisé devant la salle de conférences Tahri-Miloud que "l'administration a exercé des pressions sur les Souk-Ahrassi pour ne pas assister à mes meetings et à ceux de l'opposition", sans donner plus de détails. Il a expliqué que les moyens de transports déployés par son parti pour transporter les citoyens de Souk-Ahras à son meeting "n'ont pas été au rendez-vous". Le wali de Souk Ahras dément De son côté, le wali de Souk Ahras, Saâd Agoudjil, a démenti "formellement", mardi, les accusations du candidat à l ‘élection présidentielle Ali Fawzi Rebaïne au sujet d ‘une "pression" exercée par l'administration sur la population de Souk Ahras. "Nous rejetons ces allégations et réaffirmons que l ‘administration est d'une neutralité absolue durant tout le processus électoral, que ce soit lors de la campagne ou pendant le déroulement du scrutin", a précisé le chef de l'exécutif local après avoir été contacté par l'APS. Le même responsable a néanmoins fait savoir que les représentants locaux du candidat Rebaïne, et "non le candidat lui-même", a-t-il tenu à préciser, ont demandé que le portrait officiel du président de la République en exercice, Bouteflika, soit retiré de la salle du meeting. "Une exigence que nous avons évidemment refusée", a conclu M. Agoudjil. Joint par l ‘APS en milieu de journée, le président de la commission de wilaya de l'élection présidentielle, Mohamed Djouaidia, a indiqué n'avoir reçu, jusqu'alors, "aucune plainte" de la part d'Ali Fewzi Rebaïne.