Mouloud Hamrouche fait de nouveau parler de lui. L'ancien chef de gouvernement vient en effet, une fois de plus, d'intervenir dans le débat public. Invité hier du forum du journal Liberté Hamrouche a soutenu que l'Algérie traverse une crise. Mouloud Hamrouche fait de nouveau parler de lui. L'ancien chef de gouvernement vient en effet, une fois de plus, d'intervenir dans le débat public. Invité hier du forum du journal Liberté Hamrouche a soutenu que l'Algérie traverse une crise. Un constat qu‘il a déjà fait lors de ses toutes dernières sorties médiatiques. Pour une sortie de crise Mouloud Hamrouche a lancé un appel pressant à trois hommes, en l‘occurrence le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le vice-ministre de la Défense nationale et chef d‘état-major de l‘armée, Ahmed Gaïd Salah et le général de corps d‘armée, Mohamed Mediéne dit Toufik, chef du DRS. Pour l‘invité du journal Liberté ces trois personnalités sont les seules à même de permettre à l‘Algérie de transcender cette crise. « Trois nationalistes, patriotes, portent le fardeau pour sauver le pays de la crise » note l‘ex-chef de gouvernement. Et d‘ajouter : « Je les rends responsables, mais dans le bon sens. C‘est eux qui doivent faire ce processus. Ce n‘est ni à l‘opposition, ni aux partis politiques. Ils ont la responsabilité de sortir le pays de l‘impasse » Mouloud Hamrouche fait la similitude entre ces trois hommes et les défunts Lakhdar Bentobal, Krim Belkacem et Abdelhafidh Boussouf qui ont, a-t-il précisé, « donné l‘indépendance et qui sont partis ensuite ». Mouloud Hamrouche a fait ainsi un accablant constat sur la crise qui secoue le pays. «Le bilan de la crise est lourd. Cette crise ne nous a pas aidé à améliorer la gouvernance. Nous n‘avons plus de gouvernement, mais un nombre de ministres, nos administrations ont été mises en échec » martèle Hamrouche estimant, par ailleurs, que le pays n‘a « ni Parlement, ni gouvernement. Nous n‘avons que des ministres et des députés ». ces phrases sont lourdes de sens surtout émanant de la bouche d‘un ancien chef de gouvernement. Il a aussi indiqué que les programmes proposés par les candidats en campagne ne sont pas à même de répondre aux problèmes actuels. Il parle des six candidats à l‘élection présidentielle du 17 avril prochain et donc y compris du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika. Mouloud Hamrouche est revenu une fois de plus sur le rôle capital que doit jouer l‘armée dans la sortie de crise. « L‘armée est plus que partie prenante dans l‘élaboration d‘un nouveau consensus national » affirme , sans ambages, l‘invité du journal Liberté infirmant au passage avoir « mis en équivalence la légitimité de l‘armée et celle citoyenne ». Il dira cependant que « l‘armée a donné une forme de légitimité au groupe qui gouverne ». Mouloud Hamrouche a toujours soutenu que l‘armée a un rôle primordial à jouer. Il le dit lors de chacune de ses sorties médiatiques qui se sont multipliées ces derniers temps. En effet, après une éclipse qui a duré presque huit années il est récemment revenu sur la scène dans un contexte politique marqué par l‘élection présidentielle du 17 avril. A travers un communiqué d‘abord et lors d‘une conférence de presse ensuite, l‘ancien chef de gouvernement, qui a refusé d‘être candidat à cette élection présidentielle, a lancé des appels en direction de l‘armée l‘invitant à prendre ses responsabilités pour sauver le pays de la crise. Il a aussi estimé que le plus important pour le pays c‘est de bien négocier l‘après-17 avril. Un constat qu‘il a déjà fait lors de ses toutes dernières sorties médiatiques. Pour une sortie de crise Mouloud Hamrouche a lancé un appel pressant à trois hommes, en l‘occurrence le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le vice-ministre de la Défense nationale et chef d‘état-major de l‘armée, Ahmed Gaïd Salah et le général de corps d‘armée, Mohamed Mediéne dit Toufik, chef du DRS. Pour l‘invité du journal Liberté ces trois personnalités sont les seules à même de permettre à l‘Algérie de transcender cette crise. « Trois nationalistes, patriotes, portent le fardeau pour sauver le pays de la crise » note l‘ex-chef de gouvernement. Et d‘ajouter : « Je les rends responsables, mais dans le bon sens. C‘est eux qui doivent faire ce processus. Ce n‘est ni à l‘opposition, ni aux partis politiques. Ils ont la responsabilité de sortir le pays de l‘impasse » Mouloud Hamrouche fait la similitude entre ces trois hommes et les défunts Lakhdar Bentobal, Krim Belkacem et Abdelhafidh Boussouf qui ont, a-t-il précisé, « donné l‘indépendance et qui sont partis ensuite ». Mouloud Hamrouche a fait ainsi un accablant constat sur la crise qui secoue le pays. «Le bilan de la crise est lourd. Cette crise ne nous a pas aidé à améliorer la gouvernance. Nous n‘avons plus de gouvernement, mais un nombre de ministres, nos administrations ont été mises en échec » martèle Hamrouche estimant, par ailleurs, que le pays n‘a « ni Parlement, ni gouvernement. Nous n‘avons que des ministres et des députés ». ces phrases sont lourdes de sens surtout émanant de la bouche d‘un ancien chef de gouvernement. Il a aussi indiqué que les programmes proposés par les candidats en campagne ne sont pas à même de répondre aux problèmes actuels. Il parle des six candidats à l‘élection présidentielle du 17 avril prochain et donc y compris du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika. Mouloud Hamrouche est revenu une fois de plus sur le rôle capital que doit jouer l‘armée dans la sortie de crise. « L‘armée est plus que partie prenante dans l‘élaboration d‘un nouveau consensus national » affirme , sans ambages, l‘invité du journal Liberté infirmant au passage avoir « mis en équivalence la légitimité de l‘armée et celle citoyenne ». Il dira cependant que « l‘armée a donné une forme de légitimité au groupe qui gouverne ». Mouloud Hamrouche a toujours soutenu que l‘armée a un rôle primordial à jouer. Il le dit lors de chacune de ses sorties médiatiques qui se sont multipliées ces derniers temps. En effet, après une éclipse qui a duré presque huit années il est récemment revenu sur la scène dans un contexte politique marqué par l‘élection présidentielle du 17 avril. A travers un communiqué d‘abord et lors d‘une conférence de presse ensuite, l‘ancien chef de gouvernement, qui a refusé d‘être candidat à cette élection présidentielle, a lancé des appels en direction de l‘armée l‘invitant à prendre ses responsabilités pour sauver le pays de la crise. Il a aussi estimé que le plus important pour le pays c‘est de bien négocier l‘après-17 avril.