Comme cela a été le cas durant les précédentes étapes de son safari électoral, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a eu droit à un accueil chaleureux dans la ville de Relizane aux rythme d'une troupe de zorna à l'entrée de l'ex-maison de la culture. Le candidat du Front El Moustakbal, comme à son habitude, a commencé par un hommage appuyé à nos martyrs, une minute de silence en leur mémoire et l'écoute de l'Hymne national. Comme cela a été le cas durant les précédentes étapes de son safari électoral, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a eu droit à un accueil chaleureux dans la ville de Relizane aux rythme d'une troupe de zorna à l'entrée de l'ex-maison de la culture. Le candidat du Front El Moustakbal, comme à son habitude, a commencé par un hommage appuyé à nos martyrs, une minute de silence en leur mémoire et l'écoute de l'Hymne national. Selon le plus jeune candidat à ces joutes électorales, ce n'est qu'une gratitude, reconnaissance et un devoir de mémoire pour ceux qui se sont sacrifiés pour la patris. Après la diffusion d'un documentaire relatant le parcours militant du candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd a enchaîné en mettant l'accent sur le rôle de cet important carrefour civilisationnel qu'est cette région de l'Ouest, allant de 200 ans/ Avant J.-C. au jour d'aujourd'hui affirmant : "Je ne suis pas là pour prendre vos voix, je suis là au nom de la génération post-indépendance, pour crier tout haut ce que mes compatriotes, en particulier les jeunes, disent tous bas. Je suis là, pour vous dire comment un pays comme l'Algérie, n'arrive pas à offrir le minimum à ses enfants ? Alors que tous les colons qui sont passés par là l'ont fait pour les leurs ! Il n'est un secret pour personne, fait-il remarquer, que ce n'est pas une question d'argent, mais une mauvaise gestion". Pour l'orateur il est impératif de "rester fidèles aux chouhada de la Révolution et de préserver le pays de toute visée", ajoutant que par ses richesses, l'Algérie "fait toujours l'objet de convoitises de la part d'opportunistes. Il faut croire au changement et militer jusqu'à la dernière minute". Tout en réitérant, à cet égard, son engagement à revoir les textes de lutte contre la corruption, sollicitant le peuple à "l'aider à apporter le changement", qui sera, a-t-il souligné, "pacifique, ne portant atteinte ni au pays ni au peuple. Et ce, pour prouver à ceux qui nous prennent pour un troupeau qu'ils se trompent. Car nous sommes les propriétaires de l'Algérie". Le candidat du Front El Moustakbal lance un appel au peuple algérien à se réconcilier entre eux, car "le pardon est l'un des fondements de civisme. Ce dernier est l'union qui engendre, une fois de plus, la force ensuite le changement qu'on espérait". A ce titre, le Front El Moustakbal "a élaboré un programme spécial pour le développement de cette région", a-t-il dit. Tout en affirmant que son programme électoral comporte un grand chapitre relatif à cette question le docteur Abdelaziz Belaïd a rappelé, à ce propos, que le programme de son parti "vise à impliquer les jeunes dans l'élaboration d'une politique nationale en faveur de cette frange de la société, afin d'épargner tous les fléaux sociaux". Selon le plus jeune candidat à ces joutes électorales, ce n'est qu'une gratitude, reconnaissance et un devoir de mémoire pour ceux qui se sont sacrifiés pour la patris. Après la diffusion d'un documentaire relatant le parcours militant du candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd a enchaîné en mettant l'accent sur le rôle de cet important carrefour civilisationnel qu'est cette région de l'Ouest, allant de 200 ans/ Avant J.-C. au jour d'aujourd'hui affirmant : "Je ne suis pas là pour prendre vos voix, je suis là au nom de la génération post-indépendance, pour crier tout haut ce que mes compatriotes, en particulier les jeunes, disent tous bas. Je suis là, pour vous dire comment un pays comme l'Algérie, n'arrive pas à offrir le minimum à ses enfants ? Alors que tous les colons qui sont passés par là l'ont fait pour les leurs ! Il n'est un secret pour personne, fait-il remarquer, que ce n'est pas une question d'argent, mais une mauvaise gestion". Pour l'orateur il est impératif de "rester fidèles aux chouhada de la Révolution et de préserver le pays de toute visée", ajoutant que par ses richesses, l'Algérie "fait toujours l'objet de convoitises de la part d'opportunistes. Il faut croire au changement et militer jusqu'à la dernière minute". Tout en réitérant, à cet égard, son engagement à revoir les textes de lutte contre la corruption, sollicitant le peuple à "l'aider à apporter le changement", qui sera, a-t-il souligné, "pacifique, ne portant atteinte ni au pays ni au peuple. Et ce, pour prouver à ceux qui nous prennent pour un troupeau qu'ils se trompent. Car nous sommes les propriétaires de l'Algérie". Le candidat du Front El Moustakbal lance un appel au peuple algérien à se réconcilier entre eux, car "le pardon est l'un des fondements de civisme. Ce dernier est l'union qui engendre, une fois de plus, la force ensuite le changement qu'on espérait". A ce titre, le Front El Moustakbal "a élaboré un programme spécial pour le développement de cette région", a-t-il dit. Tout en affirmant que son programme électoral comporte un grand chapitre relatif à cette question le docteur Abdelaziz Belaïd a rappelé, à ce propos, que le programme de son parti "vise à impliquer les jeunes dans l'élaboration d'une politique nationale en faveur de cette frange de la société, afin d'épargner tous les fléaux sociaux".