Et c'est un Abdelaziz Belaid adulé, heureux et confiant de sa grandeur de tigre en chef qui a été chaleureusement accueilli par une marée humaine à Blida, ville des Roses. Et c'est un Abdelaziz Belaid adulé, heureux et confiant de sa grandeur de tigre en chef qui a été chaleureusement accueilli par une marée humaine à Blida, ville des Roses. Dans la grande salle de la maison de la culture Baâziz, archicomble, le candidat du Front El Moustakbal, du haut de ses 50 ans, a mis un accent particulier sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national. Homme d'expérience, malgré son jeune âge, Dr Belaïd n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il a déjà fait ses preuves durant son parcours estudiantin et dans le mouvement de la jeunesse. D'ailleurs, à ce titre, après l'Hymne national, auquel toute l'assistance a adhéré à le chanter comme un seul homme, un documentaire relatant toutes les situations de son parcours militant, a été présenté pour ce beau monde qui scandait : ''Belaïd président... Belaïd président... Belaïd président...'' Les présents le savent pour autant. Ils ont fait une belle promesse à cet homme et qu'ils comptent bien tenir à tout prix. Il s'agit de voter massivement pour lui. Le choix de cette ville comme deuxième station de son safari électoral, n'est pas fortuit, car juste après la prise de parole d'Ahmed Bensabane, réputé pour son verbe facile a brossé le parcours exceptionnel de l'unique candidat de la génération de l'Indépendance à la présidentielle du 17 avril prochain, en l'occurrence Abdelaziz Belaïd, qui a tenu à déclarer en toute sincérité, à ses militants, sympathisants ou simples citoyens, qui étaient là pour lui prêter une oreille attentive : ''Ma candidature ne vise pas seulement à changer de personnage la haute sphère, mais surtout à mettre en place un projet de société digne de ce nom''. Le candidat du Front El Moustakbal, a enchaîné avec l'histoire de cette région agricole, qui, ''par le passé alimentait la France en produits agricoles, alors qu'aujourd'hui, on sème le béton pour récolter les villas et les buildings'', a-t-il déploré. Dans le même contexte, Dr Belaid, a souligné qu'un pays qui ''n'assure pas son autosuffisance alimentaire est appelé à disparaître''. Il l'a fait et il en est fier. Quel courage incarné par cet intellectuel qui demeure un vrai résistant politique, par ailleurs, à chaque fois qu'il s'agit de défendre l'intérêt supérieur de la nation ! Le candidat du Front El Moustakbal s'est attardé, lors de son grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspire de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République. S'adressant à l'assistance en général et à la jeunesse en particulier, les incitant à s'investir dans les affaires de la cité et de ne pas se mettre en quarantaine. Car, l'''Algérie, a besoin de ses enfants'', soulignant que ''l'homme et la ressource essentielle, qui était qui restera une richesse impérissable et inestimable. Vous représentez l'avenir de l'Algérie et vous avez ce devoir et l'obligation de provoquer le changement'', a-t-il tenu à expliquer. Dans la grande salle de la maison de la culture Baâziz, archicomble, le candidat du Front El Moustakbal, du haut de ses 50 ans, a mis un accent particulier sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national. Homme d'expérience, malgré son jeune âge, Dr Belaïd n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il a déjà fait ses preuves durant son parcours estudiantin et dans le mouvement de la jeunesse. D'ailleurs, à ce titre, après l'Hymne national, auquel toute l'assistance a adhéré à le chanter comme un seul homme, un documentaire relatant toutes les situations de son parcours militant, a été présenté pour ce beau monde qui scandait : ''Belaïd président... Belaïd président... Belaïd président...'' Les présents le savent pour autant. Ils ont fait une belle promesse à cet homme et qu'ils comptent bien tenir à tout prix. Il s'agit de voter massivement pour lui. Le choix de cette ville comme deuxième station de son safari électoral, n'est pas fortuit, car juste après la prise de parole d'Ahmed Bensabane, réputé pour son verbe facile a brossé le parcours exceptionnel de l'unique candidat de la génération de l'Indépendance à la présidentielle du 17 avril prochain, en l'occurrence Abdelaziz Belaïd, qui a tenu à déclarer en toute sincérité, à ses militants, sympathisants ou simples citoyens, qui étaient là pour lui prêter une oreille attentive : ''Ma candidature ne vise pas seulement à changer de personnage la haute sphère, mais surtout à mettre en place un projet de société digne de ce nom''. Le candidat du Front El Moustakbal, a enchaîné avec l'histoire de cette région agricole, qui, ''par le passé alimentait la France en produits agricoles, alors qu'aujourd'hui, on sème le béton pour récolter les villas et les buildings'', a-t-il déploré. Dans le même contexte, Dr Belaid, a souligné qu'un pays qui ''n'assure pas son autosuffisance alimentaire est appelé à disparaître''. Il l'a fait et il en est fier. Quel courage incarné par cet intellectuel qui demeure un vrai résistant politique, par ailleurs, à chaque fois qu'il s'agit de défendre l'intérêt supérieur de la nation ! Le candidat du Front El Moustakbal s'est attardé, lors de son grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspire de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République. S'adressant à l'assistance en général et à la jeunesse en particulier, les incitant à s'investir dans les affaires de la cité et de ne pas se mettre en quarantaine. Car, l'''Algérie, a besoin de ses enfants'', soulignant que ''l'homme et la ressource essentielle, qui était qui restera une richesse impérissable et inestimable. Vous représentez l'avenir de l'Algérie et vous avez ce devoir et l'obligation de provoquer le changement'', a-t-il tenu à expliquer.