La campagne électorale pour l'élection présidentielle d'avril prochain commence à prendre un nouveau rythme, où les candidats sont passés à la vitesse supérieure dans leur "safari" électoral qui clôture presque une semaine. La campagne électorale pour l'élection présidentielle d'avril prochain commence à prendre un nouveau rythme, où les candidats sont passés à la vitesse supérieure dans leur "safari" électoral qui clôture presque une semaine. Pour ses cinquième et sixième journées, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a choisi d'être l'invité d'honneur de deux villes de l'est du pays, en l'occurrence Constantine et M'sila. Durant ses deux meetings animés à la salle omnisports Ali-Mendjeli à Constantine et à la maison de la culture de M'sila, l'assistance, dans sa majorité était composée de jeunes, venus en masse et scandant différents slogans : "Belaïd président"... "Y en a marre des vieux, laisser la place aux jeunes"... "Y en a marre de la misère"... Après, une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute de l'Hymne national, un documentaire relatant le parcours militant du docteur Belaïd a été projeté.L'assistance semblait curieuse de découvrir le plus jeune candidat à la présidentielle. Pour joindre l'utile à l'agréable et donner la réplique aux jeunes, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd a tenu à rendre hommage aux deux héros de la Révolution, tombés au champ d'honneur, un 29 mars 1959 à Boussaada, avant de mettre l'accent sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national pour instaurer, une fois élu président de la République, une "justice sociale" en offrant à la jeunesse une vie qu'il mérite, celle de la dignité. Le candidat Abdelaziz Belaïd a insisté, lors de ses meetings, sur la nécessité de développer l'université algérienne, qu'il considère comme la "véritable locomotive" pour hisser l'Algérie au diapason des pays modernes. Pour lui, l'université "ne peut être moderne que grâce aux moyens technologiques qu'on met à sa disposition", regrettant le fait que l'université algérienne soit classée parmi "les plus faibles" dans le monde en matière de recherche. Dr Belaïd a souligné que l'investissement dans la ressource humaine est la base de tout développement, faisant part de son intention d'œuvrer à répandre l'esprit d'initiative et de créativité chez les jeunes, tout en les faisant participer activement à l'édification du pays. Il a rappelé, à ce propos, que le programme de son parti vise à impliquer les jeunes dans l'élaboration d'une politique nationale en faveur de cette frange de la société. "Pour atteindre cette justice, il faut qu'il y ait un changement au sommet, donner une chance à la génération future et faire confiance à ma personne et à mon programme qui constitue l'alternative", a-t-il déclaré. Parlant des projets de développement contenus dans son programme électoral, il a promis d'éradiquer le chômage à travers une refonte des assemblées élues qui auront la tâche de créer, a-t-il expliqué, des postes d'emplois en créant des entreprises, selon la spécificité de la région. Le candidat du Front El Moustakbal, s'est attardé, lors du grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République. Pour ses cinquième et sixième journées, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a choisi d'être l'invité d'honneur de deux villes de l'est du pays, en l'occurrence Constantine et M'sila. Durant ses deux meetings animés à la salle omnisports Ali-Mendjeli à Constantine et à la maison de la culture de M'sila, l'assistance, dans sa majorité était composée de jeunes, venus en masse et scandant différents slogans : "Belaïd président"... "Y en a marre des vieux, laisser la place aux jeunes"... "Y en a marre de la misère"... Après, une minute de silence en hommage à nos martyrs et l'écoute de l'Hymne national, un documentaire relatant le parcours militant du docteur Belaïd a été projeté.L'assistance semblait curieuse de découvrir le plus jeune candidat à la présidentielle. Pour joindre l'utile à l'agréable et donner la réplique aux jeunes, le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd a tenu à rendre hommage aux deux héros de la Révolution, tombés au champ d'honneur, un 29 mars 1959 à Boussaada, avant de mettre l'accent sur les causes véritables de l'effondrement de la situation en Algérie sur tous les plans et surtout les nobles raisons qui l'encouragent dans sa marche vers un destin national pour instaurer, une fois élu président de la République, une "justice sociale" en offrant à la jeunesse une vie qu'il mérite, celle de la dignité. Le candidat Abdelaziz Belaïd a insisté, lors de ses meetings, sur la nécessité de développer l'université algérienne, qu'il considère comme la "véritable locomotive" pour hisser l'Algérie au diapason des pays modernes. Pour lui, l'université "ne peut être moderne que grâce aux moyens technologiques qu'on met à sa disposition", regrettant le fait que l'université algérienne soit classée parmi "les plus faibles" dans le monde en matière de recherche. Dr Belaïd a souligné que l'investissement dans la ressource humaine est la base de tout développement, faisant part de son intention d'œuvrer à répandre l'esprit d'initiative et de créativité chez les jeunes, tout en les faisant participer activement à l'édification du pays. Il a rappelé, à ce propos, que le programme de son parti vise à impliquer les jeunes dans l'élaboration d'une politique nationale en faveur de cette frange de la société. "Pour atteindre cette justice, il faut qu'il y ait un changement au sommet, donner une chance à la génération future et faire confiance à ma personne et à mon programme qui constitue l'alternative", a-t-il déclaré. Parlant des projets de développement contenus dans son programme électoral, il a promis d'éradiquer le chômage à travers une refonte des assemblées élues qui auront la tâche de créer, a-t-il expliqué, des postes d'emplois en créant des entreprises, selon la spécificité de la région. Le candidat du Front El Moustakbal, s'est attardé, lors du grand meeting, à mettre l'accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République.