Au fil des journées, les candidats semblent entrer de plain-pied dans la campagne électorale, essayant de capter davantage l'intérêt du citoyen, en s'intéressant à ses préoccupations quotidiennes. Au fil des journées, les candidats semblent entrer de plain-pied dans la campagne électorale, essayant de capter davantage l'intérêt du citoyen, en s'intéressant à ses préoccupations quotidiennes. A ce titre, le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, le plus jeune candidat à l'élection présidentielle du 17 avril, qui était l'hôte le week- end dernier de deux grandes villes de l'ouest du pays, Tlemcen et Oran, a déclaré que "l'édification d'une Algérie développée et démocratique ne peut être réalisée qu'à travers la remise du flambeau aux jeunes". Il a relevé dans ce cadre qu'il était prêt à donner la chance aux élites algériennes de prouver leurs capacités sur le terrain, affirmant qu'il a une très bonne volonté politique à ce sujet et que l'Algérie posséde "des richesses naturelles importantes" à faire valoir. Et ce, après le rituel protocolaire conçu pour cette joute électorale qui consiste en l'observation d'une minute de silence à la mémoire de nos martyrs et l'écoute de l'Hymne national. Juste après, Dr Belaïd n'a pas hésité à indexer la mauvaise gestion dans divers secteurs. Il a qualifié de "déplorable la gestion actuelle des collectivités locales", donnant l'exemple du programme "100 locaux par commune" qui, selon lui, "n'a donné aucun résultat". Devant un public nombreux il a promis, s'il est élu, qu'au "lieu de construire des locaux commerciaux, il élaborera un programme ayant pour objectif d'implanter, dans chaque commune, des entreprises ainsi que des espaces de loisirs et de sports". Pour le candidat du parti du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, la région a plus d'opportunités de se développer en prenant en compte la culture. Car, a-t-il dit "la culture joue un rôle capital dans le développement local", indexant le marasme culturel qui perdure dans ces deux grandes villes, Alors que la jeunesse ne sait plus à quel se vouer. Le candidat du Front El Moustakbal lance, encore une fois, un appel aux Algériens à se réconcilier entre eux "car le pardon est l'un des fondements de civisme". Dans le même contexte le candidat du Front El Moustakbal a par ailleurs choisi cette wilaya frontalière pour évoquer la question des relations algéro-marocaines, notamment la question des frontières fermées. Il a estimé nécessaire "l'ouverture de discussions avec le voisin marocain" à ce sujet. Il a cependant indiqué que "ces discussions ne doivent aucunement toucher les principes et les intérêts de l'Algérie", précisant que la question du Sahara occidental est "un conflit qui n'est nullement algérien, mais relevant des Nations unies" et concerne le droit à l'autodétermination d'un peuple. A rappeler que le safari électoral se poursuivra et la prochaine étape sera la ville de Chlef. A ce titre, le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, le plus jeune candidat à l'élection présidentielle du 17 avril, qui était l'hôte le week- end dernier de deux grandes villes de l'ouest du pays, Tlemcen et Oran, a déclaré que "l'édification d'une Algérie développée et démocratique ne peut être réalisée qu'à travers la remise du flambeau aux jeunes". Il a relevé dans ce cadre qu'il était prêt à donner la chance aux élites algériennes de prouver leurs capacités sur le terrain, affirmant qu'il a une très bonne volonté politique à ce sujet et que l'Algérie posséde "des richesses naturelles importantes" à faire valoir. Et ce, après le rituel protocolaire conçu pour cette joute électorale qui consiste en l'observation d'une minute de silence à la mémoire de nos martyrs et l'écoute de l'Hymne national. Juste après, Dr Belaïd n'a pas hésité à indexer la mauvaise gestion dans divers secteurs. Il a qualifié de "déplorable la gestion actuelle des collectivités locales", donnant l'exemple du programme "100 locaux par commune" qui, selon lui, "n'a donné aucun résultat". Devant un public nombreux il a promis, s'il est élu, qu'au "lieu de construire des locaux commerciaux, il élaborera un programme ayant pour objectif d'implanter, dans chaque commune, des entreprises ainsi que des espaces de loisirs et de sports". Pour le candidat du parti du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, la région a plus d'opportunités de se développer en prenant en compte la culture. Car, a-t-il dit "la culture joue un rôle capital dans le développement local", indexant le marasme culturel qui perdure dans ces deux grandes villes, Alors que la jeunesse ne sait plus à quel se vouer. Le candidat du Front El Moustakbal lance, encore une fois, un appel aux Algériens à se réconcilier entre eux "car le pardon est l'un des fondements de civisme". Dans le même contexte le candidat du Front El Moustakbal a par ailleurs choisi cette wilaya frontalière pour évoquer la question des relations algéro-marocaines, notamment la question des frontières fermées. Il a estimé nécessaire "l'ouverture de discussions avec le voisin marocain" à ce sujet. Il a cependant indiqué que "ces discussions ne doivent aucunement toucher les principes et les intérêts de l'Algérie", précisant que la question du Sahara occidental est "un conflit qui n'est nullement algérien, mais relevant des Nations unies" et concerne le droit à l'autodétermination d'un peuple. A rappeler que le safari électoral se poursuivra et la prochaine étape sera la ville de Chlef.