Alwzi Rebaïne, candidat du parti Ahd 54 à la présidentielle du 17 avril prochain, a dénoncé, hier à Sidi Bel-Abbès, les incidents enregistrés samedi à Béjaïa, qui ont empêché la tenue du meeting de Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika. Alwzi Rebaïne, candidat du parti Ahd 54 à la présidentielle du 17 avril prochain, a dénoncé, hier à Sidi Bel-Abbès, les incidents enregistrés samedi à Béjaïa, qui ont empêché la tenue du meeting de Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika. Lors d'un meeting organisé dans la salle omnisports Adda-Boudjlal, Rebaïne a regretté de tels incidents et a assuré de son soutien les journalistes, dont plusieurs ont été agressés durant ces incidents. ''Les journalistes tabassés étaient sur les lieux juste pour accomplir leur devoir'', a-t-il dit, ajoutant que ''ce sont nos enfants''. "Les journalistes et les policiers sont nos enfants, que vous le vouliez ou non. Il y a d'autres méthodes pour exprimer son mécontentement. Je suis en colère, mais j'ai préféré le militantisme comme moyen d'expression pacifique", a-t-il dit. Le candidat à la présidentielle du 17 avril s'est, par ailleurs, interrogé comment le peuple n'affiche pas sa colère lorsqu'il voit des "membres du gouvernement utiliser des biens de l'Etat et piétiner les lois de la République en faveur du Président sortant". Pour autant, il a dénoncé la manière choisie par les jeunes de Béjaïa pour exprimer leur colère et les a appelé à suivre la voie du militantisme pour exprimer leurs opinions. Enfin, il a vivement critiqué le "traitement partial" des télévisions privées de la campagne électorale et des candidats à cette présidentielle. Lors d'un meeting organisé dans la salle omnisports Adda-Boudjlal, Rebaïne a regretté de tels incidents et a assuré de son soutien les journalistes, dont plusieurs ont été agressés durant ces incidents. ''Les journalistes tabassés étaient sur les lieux juste pour accomplir leur devoir'', a-t-il dit, ajoutant que ''ce sont nos enfants''. "Les journalistes et les policiers sont nos enfants, que vous le vouliez ou non. Il y a d'autres méthodes pour exprimer son mécontentement. Je suis en colère, mais j'ai préféré le militantisme comme moyen d'expression pacifique", a-t-il dit. Le candidat à la présidentielle du 17 avril s'est, par ailleurs, interrogé comment le peuple n'affiche pas sa colère lorsqu'il voit des "membres du gouvernement utiliser des biens de l'Etat et piétiner les lois de la République en faveur du Président sortant". Pour autant, il a dénoncé la manière choisie par les jeunes de Béjaïa pour exprimer leur colère et les a appelé à suivre la voie du militantisme pour exprimer leurs opinions. Enfin, il a vivement critiqué le "traitement partial" des télévisions privées de la campagne électorale et des candidats à cette présidentielle.