Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué mardi que l'imam Abdelhamid Ben Badis était un esprit érudit et un moudjahid qui consacra sa jeunesse et sa vie entière à la diffusion du savoir dans la société algérienne face au colonialisme. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué mardi que l'imam Abdelhamid Ben Badis était un esprit érudit et un moudjahid qui consacra sa jeunesse et sa vie entière à la diffusion du savoir dans la société algérienne face au colonialisme. L'Imam Ben Badis s'est employé à "diffuser la science et le savoir, en tant que facteurs d'éveil, mettant à contribution les mosquées et les écoles privées qu'il érigea dans les quatre parties du pays et en libérant le peuple de l'emprise des charlatans et autres esprits mystificateurs de pareille espèce mais aussi des traîtres perfides, il prédisposa ses enfants à entrer de plain-pied dans le siècle présent et à livrer un combat d'égal à égal à l'occupant et à ses alliés", a affirmé le président de la République dans un message à l'occasion de Yaoum El Ilm (journée du savoir), célébrée le 16 avril. "Savant et militant, il sut être un exemple pour ses disciples et autres adeptes qui affluaient de tout le territoire", a ajouté le président Bouteflika. "Ses disciples et adeptes se lancèrent à la quête des sciences et du savoir qu'ils mirent au service de leurs compatriotes", rappelle le Chef de l'Etat, soulignant que l'action de Ben Badis a ciblé aussi bien les jeunes, sans distinction aucune entre les garçons et les filles, que les adultes. "Maître à penser de l'association des Oulémas musulmans algériens, ce précepteur accompli traitait avec déférence les savants éminents qui, eux aussi, œuvraient pour le bien de leur peuple qu'ils voulaient élever aux rangs des nations avancées", affirme le président Bouteflika. Le président de la République a encore indiqué que Ben Badis qui était "convaincu que l'avenir se construisait par la complémentarité des efforts et des vocations, a encouragé, en dépit des intimidations de l'occupant, la pratique du sport en parrainant l'émergence de plusieurs formations et clubs pour prémunir les jeunes générations contre toute forme de paresse et d'oisiveté, coordonnant dans le même temps ses actions avec les autres acteurs du mouvement national". Et de poursuivre que ses successeurs adoptèrent cette même ligne de conduite pour perpétuer son œuvre. Le président Bouteflika a tenu à mettre en avant les efforts consentis par l'Etat algérien depuis le recouvrement de la souveraineté nationale pour "privilégier la science et le savoir étant convaincu que seule cette voie était à même de lui permettre de concrétiser ses aspirations et ses espérances". Pour le Chef de l'Etat, cette volonté a imprégné "le mouvement national dés sa création, pour rassembler les motifs de l'affranchissement du joug colonial en brandissant l'arme du savoir jusqu'au déclenchement de la glorieuse guerre de libération et la consécration de la victoire". Le président Bouteflika a évoqué les réalisations accomplies entre 1999 et 2014 dans différents domaines et qui "attestent des efforts considérables" consentis par l'Etat. "Ce qui a été réalisé pour notre société, assoiffée de renaissance et de progrès, en matière de liberté de pensée et d'expression depuis 1999, n'est, dans bien des pays, pas aussi accessible. D'énormes responsabilités interpellent ainsi l'apprenant autant que le savant, le penseur ou l'artiste pour opérer l'amorce d'une renaissance globale à laquelle nous aspirons tous. L'innovation et la création en sont la clé, elles ne se transmettent pas par atavisme mais impliquent nécessairement une optimisation des connaissances et une amélioration des capacités et des aptitudes", a considéré le président de la République pour conclure. L'Imam Ben Badis s'est employé à "diffuser la science et le savoir, en tant que facteurs d'éveil, mettant à contribution les mosquées et les écoles privées qu'il érigea dans les quatre parties du pays et en libérant le peuple de l'emprise des charlatans et autres esprits mystificateurs de pareille espèce mais aussi des traîtres perfides, il prédisposa ses enfants à entrer de plain-pied dans le siècle présent et à livrer un combat d'égal à égal à l'occupant et à ses alliés", a affirmé le président de la République dans un message à l'occasion de Yaoum El Ilm (journée du savoir), célébrée le 16 avril. "Savant et militant, il sut être un exemple pour ses disciples et autres adeptes qui affluaient de tout le territoire", a ajouté le président Bouteflika. "Ses disciples et adeptes se lancèrent à la quête des sciences et du savoir qu'ils mirent au service de leurs compatriotes", rappelle le Chef de l'Etat, soulignant que l'action de Ben Badis a ciblé aussi bien les jeunes, sans distinction aucune entre les garçons et les filles, que les adultes. "Maître à penser de l'association des Oulémas musulmans algériens, ce précepteur accompli traitait avec déférence les savants éminents qui, eux aussi, œuvraient pour le bien de leur peuple qu'ils voulaient élever aux rangs des nations avancées", affirme le président Bouteflika. Le président de la République a encore indiqué que Ben Badis qui était "convaincu que l'avenir se construisait par la complémentarité des efforts et des vocations, a encouragé, en dépit des intimidations de l'occupant, la pratique du sport en parrainant l'émergence de plusieurs formations et clubs pour prémunir les jeunes générations contre toute forme de paresse et d'oisiveté, coordonnant dans le même temps ses actions avec les autres acteurs du mouvement national". Et de poursuivre que ses successeurs adoptèrent cette même ligne de conduite pour perpétuer son œuvre. Le président Bouteflika a tenu à mettre en avant les efforts consentis par l'Etat algérien depuis le recouvrement de la souveraineté nationale pour "privilégier la science et le savoir étant convaincu que seule cette voie était à même de lui permettre de concrétiser ses aspirations et ses espérances". Pour le Chef de l'Etat, cette volonté a imprégné "le mouvement national dés sa création, pour rassembler les motifs de l'affranchissement du joug colonial en brandissant l'arme du savoir jusqu'au déclenchement de la glorieuse guerre de libération et la consécration de la victoire". Le président Bouteflika a évoqué les réalisations accomplies entre 1999 et 2014 dans différents domaines et qui "attestent des efforts considérables" consentis par l'Etat. "Ce qui a été réalisé pour notre société, assoiffée de renaissance et de progrès, en matière de liberté de pensée et d'expression depuis 1999, n'est, dans bien des pays, pas aussi accessible. D'énormes responsabilités interpellent ainsi l'apprenant autant que le savant, le penseur ou l'artiste pour opérer l'amorce d'une renaissance globale à laquelle nous aspirons tous. L'innovation et la création en sont la clé, elles ne se transmettent pas par atavisme mais impliquent nécessairement une optimisation des connaissances et une amélioration des capacités et des aptitudes", a considéré le président de la République pour conclure.