La voix des boycotteurs, laics et islamistes réunis, a été faiblement entendue, seule la Kabylie a été réceptive, le taux de participation étant relativement faible. La voix des boycotteurs, laics et islamistes réunis, a été faiblement entendue, seule la Kabylie a été réceptive, le taux de participation étant relativement faible. Les bureaux de vote ont fermé jeudi leurs portes à 19 h, parfois au-delà, que déjà se dessinaient les résultats qui donnaient Bouteflika comme grand vainqueur. Un vote sans surprise diront les uns, un vote attendu diront les autres et entre les deux, il y a les mécontents et les dépités qui souhaitaient le changement. Mais cela étant et comme dit le vieil adage : "Les paroles s'en vont mais les écrits restent" et les écrits que sont les procès-verbaux des centres de vote disent que la participation contrairement aux mauvaises langues a été plus qu'honorable 51,70 % sur l'ensemble du territoire. Certaines wilayas ont fait le buzz avec 82 % pour Relizane et 70,55 % pour Djelfa ainsi qu'Adrar qui s'adjuge la bagatelle de 68,40% comme taux de participation en attendant la confirmation, par le Conseil constitutionnel, qui rappelle qu'il est le seul habilité à proclamer les résultats définitifs. La voix des boycotteurs, laics et islamistes réunis, a été faiblement entendue, seule la Kabylie a été réceptive, le taux de participation étant relativement faible. Cependant des voix s'élèvent pour crier à la fraude alors que la mission des observateurs composée également d'Européens s'est félicitée du bon déroulement du scrutin de cette présidentielle que l'on avait « placé » sous haute tension et qui selon cette mission a respecté les normes internationales. Ces observateurs ont également mis en avant que le scrutin s'est déroulé sans anicroches majeures. Pour ce panel étranger, L'Algérie a passé son test avec brio et a ainsi mérité ainsi son tableau d'honneur.Allélui. Il reste les cinq perdants - à l'exception de Ali Benflis qui n'a pas digéré sa défaite. qui ont fait contre mauvaise fortune bon cœur et qui donneront probablementt un autre rendezvous en 2019Il reste que la vox populi qui, après s'être exprimée le jour du vote passera à autre chose car sdemain n'est-il pas un autre jour ? Les bureaux de vote ont fermé jeudi leurs portes à 19 h, parfois au-delà, que déjà se dessinaient les résultats qui donnaient Bouteflika comme grand vainqueur. Un vote sans surprise diront les uns, un vote attendu diront les autres et entre les deux, il y a les mécontents et les dépités qui souhaitaient le changement. Mais cela étant et comme dit le vieil adage : "Les paroles s'en vont mais les écrits restent" et les écrits que sont les procès-verbaux des centres de vote disent que la participation contrairement aux mauvaises langues a été plus qu'honorable 51,70 % sur l'ensemble du territoire. Certaines wilayas ont fait le buzz avec 82 % pour Relizane et 70,55 % pour Djelfa ainsi qu'Adrar qui s'adjuge la bagatelle de 68,40% comme taux de participation en attendant la confirmation, par le Conseil constitutionnel, qui rappelle qu'il est le seul habilité à proclamer les résultats définitifs. La voix des boycotteurs, laics et islamistes réunis, a été faiblement entendue, seule la Kabylie a été réceptive, le taux de participation étant relativement faible. Cependant des voix s'élèvent pour crier à la fraude alors que la mission des observateurs composée également d'Européens s'est félicitée du bon déroulement du scrutin de cette présidentielle que l'on avait « placé » sous haute tension et qui selon cette mission a respecté les normes internationales. Ces observateurs ont également mis en avant que le scrutin s'est déroulé sans anicroches majeures. Pour ce panel étranger, L'Algérie a passé son test avec brio et a ainsi mérité ainsi son tableau d'honneur.Allélui. Il reste les cinq perdants - à l'exception de Ali Benflis qui n'a pas digéré sa défaite. qui ont fait contre mauvaise fortune bon cœur et qui donneront probablementt un autre rendezvous en 2019Il reste que la vox populi qui, après s'être exprimée le jour du vote passera à autre chose car sdemain n'est-il pas un autre jour ?