Juste après l'annonce officielle des résultats du scrutin présidentiel, le candidat indépendant Ali Benflis a animé hier une conférence de presse a travers laquelle il a donné son plan de riposte. M. Benflis a ainsi dénoncé « la fraude massive » en soulignant qu'il réfute les résultats annoncés. Juste après l'annonce officielle des résultats du scrutin présidentiel, le candidat indépendant Ali Benflis a animé hier une conférence de presse a travers laquelle il a donné son plan de riposte. M. Benflis a ainsi dénoncé « la fraude massive » en soulignant qu'il réfute les résultats annoncés. Ali Benflis a dénoncé le déroulement en expliquant son analyse qui est en trois conclusions. La première conclusion est «qu'il n'y a pas eu d'élection. Il ne faut pas se voiler la face, ce dont il s'agit ce 17 avril est une répartition administrative des suffrages entres les candidats » ajoutant par la même occasion que « le régime en place a gratifié ou pénalisé les candidatures présentes au scrutin ». La seconde conclusion est que son projet politique pour l'Algérie « a rencontré un engouement insoupçonnable et a gagné une adhésion très large ». Soulignant par la même occasion que ses résultats « ne réussiront jamais à gommer cette réalité qui est déjà ancrée dans la mémoire des algériens et des algériennes ».Et enfin, sa troisième conclusion est que sa candidature et son projet ont su susciter la confiance et l'espoir, « contrairement au candidat du régime en place et à l'inconsistance de son projet qui en fait l'objet d'une grande ampleur » précise-t-il. Quant aux résultats obtenus lors de ce scrutin, il souligne qu'il « n'a pas échoué dans une compétition électorale honnête et loyale ». Si cela avait été le cas, poursuit-il « j'ai en moi suffisamment de courage politique, d'honnêteté et de ressources morales pour l'admettre et en assumer la responsabilité ». Benflis s'indigne en s'exprimant « mon échec a été préparé, planifié et organisé par une coalition qui porte trois noms : la fraude, l'argent douteux et certains relais médiatiques inféodés aux puissances détentrice de cet argent douteux ». Par la suite, le candidat donne des réflexions sur chacune de ces trois éléments, dont la principale victime, assure-t-il est « le peuple algérien tout entier qui a vu sa voix, son choix et sa volonté faire l'objet d'un détournement ». Pour lui, la fraude qui « s'est manifestée d'une manière éclatante dans cette soirée du 17 avril a été programmée et planifiée depuis longue date ». En d'autres termes, Benflis ne reconnait pas les résultats de ce scrutin et annonce, avec force et détermination : « Je les contesterai par toutes les voix politiques et légales ». Cette situation est inédite et d'une gravité extrême pour Benflis. « Elle n'est ni acceptable, ni tolérable. Elle exige une réaction patriotique de toutes les forces politiques et sociales soucieuses des intérêts vitaux de nôtre grand peuple et de notre patrie». Benflis, appelle, à ce propos, à « une résistance populaire qui doit s'exprimer» et appelle à « un grand rassemblement patriotique au service de la République ». Enfin, le candidat, ayant obtenu officiellement 12% des voix exprimées, appelle à « une alternative démocratique qui devra être consensuelle ordonnée et pacifique ». Pour lui, consensuelle dans le sens « d'assurer la mobilisation politique et sociale la plus large autour d'elle ; ordonnée, elle devra agencer ses priorités en distinguant entre le plus et le moins pressant entre l'essentiel et le secondaire dans le cadre d'une démarche graduelle : pacifique, elle devra avoir pour mot d'ordre le dialogue politique comme moyen de sa réalisation ». Benflis, annonce que bientôt, il donnera « la forme et le contenu de ce combat politique d'avenir qui devra être en symbiose avec son environnement politique et social». Ali Benflis a dénoncé le déroulement en expliquant son analyse qui est en trois conclusions. La première conclusion est «qu'il n'y a pas eu d'élection. Il ne faut pas se voiler la face, ce dont il s'agit ce 17 avril est une répartition administrative des suffrages entres les candidats » ajoutant par la même occasion que « le régime en place a gratifié ou pénalisé les candidatures présentes au scrutin ». La seconde conclusion est que son projet politique pour l'Algérie « a rencontré un engouement insoupçonnable et a gagné une adhésion très large ». Soulignant par la même occasion que ses résultats « ne réussiront jamais à gommer cette réalité qui est déjà ancrée dans la mémoire des algériens et des algériennes ».Et enfin, sa troisième conclusion est que sa candidature et son projet ont su susciter la confiance et l'espoir, « contrairement au candidat du régime en place et à l'inconsistance de son projet qui en fait l'objet d'une grande ampleur » précise-t-il. Quant aux résultats obtenus lors de ce scrutin, il souligne qu'il « n'a pas échoué dans une compétition électorale honnête et loyale ». Si cela avait été le cas, poursuit-il « j'ai en moi suffisamment de courage politique, d'honnêteté et de ressources morales pour l'admettre et en assumer la responsabilité ». Benflis s'indigne en s'exprimant « mon échec a été préparé, planifié et organisé par une coalition qui porte trois noms : la fraude, l'argent douteux et certains relais médiatiques inféodés aux puissances détentrice de cet argent douteux ». Par la suite, le candidat donne des réflexions sur chacune de ces trois éléments, dont la principale victime, assure-t-il est « le peuple algérien tout entier qui a vu sa voix, son choix et sa volonté faire l'objet d'un détournement ». Pour lui, la fraude qui « s'est manifestée d'une manière éclatante dans cette soirée du 17 avril a été programmée et planifiée depuis longue date ». En d'autres termes, Benflis ne reconnait pas les résultats de ce scrutin et annonce, avec force et détermination : « Je les contesterai par toutes les voix politiques et légales ». Cette situation est inédite et d'une gravité extrême pour Benflis. « Elle n'est ni acceptable, ni tolérable. Elle exige une réaction patriotique de toutes les forces politiques et sociales soucieuses des intérêts vitaux de nôtre grand peuple et de notre patrie». Benflis, appelle, à ce propos, à « une résistance populaire qui doit s'exprimer» et appelle à « un grand rassemblement patriotique au service de la République ». Enfin, le candidat, ayant obtenu officiellement 12% des voix exprimées, appelle à « une alternative démocratique qui devra être consensuelle ordonnée et pacifique ». Pour lui, consensuelle dans le sens « d'assurer la mobilisation politique et sociale la plus large autour d'elle ; ordonnée, elle devra agencer ses priorités en distinguant entre le plus et le moins pressant entre l'essentiel et le secondaire dans le cadre d'une démarche graduelle : pacifique, elle devra avoir pour mot d'ordre le dialogue politique comme moyen de sa réalisation ». Benflis, annonce que bientôt, il donnera « la forme et le contenu de ce combat politique d'avenir qui devra être en symbiose avec son environnement politique et social».