Le directeur de la campagne électorale du président candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu pour un quatrième mandat à la faveur de l'élection présidentielle du 17 avril, a écarté d'un revers de la main, toutes les accusations relatives à la fraude lors du scrutin. Le directeur de la campagne électorale du président candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu pour un quatrième mandat à la faveur de l'élection présidentielle du 17 avril, a écarté d'un revers de la main, toutes les accusations relatives à la fraude lors du scrutin. Des accusations formulées notamment par le candidat malheureux, Ali Benflis, qui a, par voie de conséquence, annoncé qu'il ne reconnaîtra pas les résultas de ces élections. Abdelmalek Sellal, qui a animé une conférence de presse, a exhibé une déclaration du directeur de la communication du candidat Benflis, Lotfi Boumghar, accordé à un journal dans laquelle il affirme « qu'il n'a y a pas eu de fraude , mais des irrégularités » . Cela dit, Sellal a expliqué que le pays dispose d'un arsenal juridique transparent à même de permettre a tout le monde de faire des recours. Il a aussi parlé des deux commissions chargées de superviser et de surveiller le scrutin, de la présence dans les bureaux de vote des contrôleurs des autres candidats et de la déivrance de 120 000 procès verbaux. Comment peut-on frauder dans ce cas s'est il interrogé . « Je fais confiance aux institutions du pays et il faut accepter le jeu democratiqe » précise Sellal qui, interpellé sur la supposée déclaration de Benflis dans laquelle il menaçait de descendre dans la rue, a soutenu que « nous sommes contre la violence et que l'Etat a des institutions qui disposent de tous les moyens » pour parer à toute éventualité. De plus il dira que le candidat Bouteflika réfute la fraude et a même conditionné sa candidature par le non recours à la fraude. Sur le taux de participation de 51% et son rapport avec les appels au boycott Sellal dira que « c'est un taux acceptable » puisque , a-t-il ajouté « il est même supérieur au taux enregistré lors des élections locales de 2012 . « Les Algériens ont compris que cet homme (Bouteflika NDLR) a présenté un bilan positif et a fait évoluer le pays. Il fallait un grand homme pour faire la réconciliation nationale » dira Sellal pour expliquer la confiance des Algériens en Bouteflika. Bouteflika malade sur une chaise roulante ? « Et après ?» dira Sellal en soutenant que l'homme dispose de toutes ses facultés intellectuelles. Il citera, de nouveau, l'exemple du président américain, Roosvelt ajoutant que « je lui ai parlé cinq fois hier (avant-hier NDLR) ». Sur le score de 81, 53 pour_cent réalisé par le candidat Bouteflika, il dira que « c'est un message des Algériens pour la préservation de leurs acquis prelatifs à la stabilité et la paix et sur le choix démocratique irréversible ». Des accusations formulées notamment par le candidat malheureux, Ali Benflis, qui a, par voie de conséquence, annoncé qu'il ne reconnaîtra pas les résultas de ces élections. Abdelmalek Sellal, qui a animé une conférence de presse, a exhibé une déclaration du directeur de la communication du candidat Benflis, Lotfi Boumghar, accordé à un journal dans laquelle il affirme « qu'il n'a y a pas eu de fraude , mais des irrégularités » . Cela dit, Sellal a expliqué que le pays dispose d'un arsenal juridique transparent à même de permettre a tout le monde de faire des recours. Il a aussi parlé des deux commissions chargées de superviser et de surveiller le scrutin, de la présence dans les bureaux de vote des contrôleurs des autres candidats et de la déivrance de 120 000 procès verbaux. Comment peut-on frauder dans ce cas s'est il interrogé . « Je fais confiance aux institutions du pays et il faut accepter le jeu democratiqe » précise Sellal qui, interpellé sur la supposée déclaration de Benflis dans laquelle il menaçait de descendre dans la rue, a soutenu que « nous sommes contre la violence et que l'Etat a des institutions qui disposent de tous les moyens » pour parer à toute éventualité. De plus il dira que le candidat Bouteflika réfute la fraude et a même conditionné sa candidature par le non recours à la fraude. Sur le taux de participation de 51% et son rapport avec les appels au boycott Sellal dira que « c'est un taux acceptable » puisque , a-t-il ajouté « il est même supérieur au taux enregistré lors des élections locales de 2012 . « Les Algériens ont compris que cet homme (Bouteflika NDLR) a présenté un bilan positif et a fait évoluer le pays. Il fallait un grand homme pour faire la réconciliation nationale » dira Sellal pour expliquer la confiance des Algériens en Bouteflika. Bouteflika malade sur une chaise roulante ? « Et après ?» dira Sellal en soutenant que l'homme dispose de toutes ses facultés intellectuelles. Il citera, de nouveau, l'exemple du président américain, Roosvelt ajoutant que « je lui ai parlé cinq fois hier (avant-hier NDLR) ». Sur le score de 81, 53 pour_cent réalisé par le candidat Bouteflika, il dira que « c'est un message des Algériens pour la préservation de leurs acquis prelatifs à la stabilité et la paix et sur le choix démocratique irréversible ».