Nombreux sont les partis politiques qui ont soutenu la candidature du président Bouteflika lors de l'élection présidentielle du 17 avril. Nombreux sont les partis politiques qui ont soutenu la candidature du président Bouteflika lors de l'élection présidentielle du 17 avril. En effet il n'y a pas que les quatre grandes formations politiques, à savoir le FLN, le RND, le MPA et le parti de TAJ puisqu'une myriade d'autres petites formations politiques, de moindre envergure certes, ces petites formations n'en ont pas moins mené la campagne électorale au profit de leur favori. Des partis qui se sont même regroupés au sein d'alliances. Comme c'est le cas du Groupe de fidélité et stabilité créé par le président de TAJ, Amar Ghoul, dans lequel se sont regroupés une dizaine de partis politiques avant l'élection présidentielle. Mais ces groupes ont finalement totalement disparus de la scène. Durant la campagne électorale quatre partis politiques seulement se sont distingués. Le FLN, le MPA, le TAJ et le RND qui ont été, en effet, la locomotive ayant servi à mobiliser les troupes au profit du candidat Bouteflika. Les leaders, Amar Saïdani (FLN), Abdelkader Bensalah (RND) Amara Benyounès (MPA) et Amar Ghoul (TAJ), ont sillonné de nombreuses wilayas du pays. Amara Benyounès, Amar Ghoul et Amar Saïdani, notamment, ont mené campagne à l'étranger puisqu'ils ont animé des meetings en France, en Belgique et en Tunisie. Il y avait en outre les deux « revenants » Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem rappelés tous deux par le président Bouteflika à la veille de la campagne électorale. Ouyahia a été nommé ministre d'Etat chef de cabinet à la présidence de la République et, Abdelaziz Belkhadem ministre d'Etat conseiller spécial du président. Ce sont ces six, avec le directeur de campagne du candidat Bouteflika, Abdelmalek Sellal, qui ont animé la campagne électorale du président Bouteflika qui a été réélu pour un quatrième mandat. Après l'élection d'aucuns s'interrogent sur le devenir de cette « alignasse » conjoncturelle. Ces quatre partis politiques vont-ils créer une alliance présidentielle pour soutenir le programme du président de la République ? Depuis la défunte Alliance présidentielle, alors formée par le trio FLN-RND-MSP, aucune nouvelle structure n'a vu le jour par la suite. Les partis, qui soutiennent le président, n'arrivent pas, apparemment, à accorder leurs violons. Ils donnent l'impression d'être minés par nombre de divergences. Des divergences apparues quelques fois au grand jour. Et ce ne sont pas les exemples, illustrant ces désaccords, qui manquent. A la veille de l'élection une sourde bataille a éclaté entre ces partis, sur une question de leadership. Le FLN de Amar Saïdani voulait bien reconstituer une nouvelle alliance présidentielle. Il s'est, dans ce cadre, rapproché du parti de TAJ, Amar Saïdani et Amar Ghoul ont même eu une rencontre au sommet au siège du vieux parti. Ce rapprochement s'est aussi manifesté dans la chambre basse du Parlement. Mais Saïdani n'arrivait pas à rallier à sa cause les deux autres partis, le RND et le MPA puisqu'il n'est pas parvenu à tenir des réunions au sommet avec les dirigeants de ces deux partis. Pis encore leurs divergences ont débordé sur la place publique et Amara Benyounés a, à maintes reprises, souligné qu'il rejette le leadership du FLN. Ce même Amara Benyounés a critiqué ouvertement Saïdani lorsque ce dernier s'en est pris au chef du DRS, le général Toufik. Abdelkader Bensalah, secrétaire général du RND, a aussi adressé des piques à Saïdani lorsque le FLN faisait le forcing en faveur de la candidature de Bouteflika. Saïdani est allé encore plus loin lorsqu'il a violemment critiqué Abdelmalek Sellal, alors Premier ministre. C'est dire combien les alliés du président Bouteflika sont traversés par les contradictions .Des contradictions qui font qu'il n'est pas envisageable de créer une nouvelle alliance présidentielle. A moins que... ..... En effet il n'y a pas que les quatre grandes formations politiques, à savoir le FLN, le RND, le MPA et le parti de TAJ puisqu'une myriade d'autres petites formations politiques, de moindre envergure certes, ces petites formations n'en ont pas moins mené la campagne électorale au profit de leur favori. Des partis qui se sont même regroupés au sein d'alliances. Comme c'est le cas du Groupe de fidélité et stabilité créé par le président de TAJ, Amar Ghoul, dans lequel se sont regroupés une dizaine de partis politiques avant l'élection présidentielle. Mais ces groupes ont finalement totalement disparus de la scène. Durant la campagne électorale quatre partis politiques seulement se sont distingués. Le FLN, le MPA, le TAJ et le RND qui ont été, en effet, la locomotive ayant servi à mobiliser les troupes au profit du candidat Bouteflika. Les leaders, Amar Saïdani (FLN), Abdelkader Bensalah (RND) Amara Benyounès (MPA) et Amar Ghoul (TAJ), ont sillonné de nombreuses wilayas du pays. Amara Benyounès, Amar Ghoul et Amar Saïdani, notamment, ont mené campagne à l'étranger puisqu'ils ont animé des meetings en France, en Belgique et en Tunisie. Il y avait en outre les deux « revenants » Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem rappelés tous deux par le président Bouteflika à la veille de la campagne électorale. Ouyahia a été nommé ministre d'Etat chef de cabinet à la présidence de la République et, Abdelaziz Belkhadem ministre d'Etat conseiller spécial du président. Ce sont ces six, avec le directeur de campagne du candidat Bouteflika, Abdelmalek Sellal, qui ont animé la campagne électorale du président Bouteflika qui a été réélu pour un quatrième mandat. Après l'élection d'aucuns s'interrogent sur le devenir de cette « alignasse » conjoncturelle. Ces quatre partis politiques vont-ils créer une alliance présidentielle pour soutenir le programme du président de la République ? Depuis la défunte Alliance présidentielle, alors formée par le trio FLN-RND-MSP, aucune nouvelle structure n'a vu le jour par la suite. Les partis, qui soutiennent le président, n'arrivent pas, apparemment, à accorder leurs violons. Ils donnent l'impression d'être minés par nombre de divergences. Des divergences apparues quelques fois au grand jour. Et ce ne sont pas les exemples, illustrant ces désaccords, qui manquent. A la veille de l'élection une sourde bataille a éclaté entre ces partis, sur une question de leadership. Le FLN de Amar Saïdani voulait bien reconstituer une nouvelle alliance présidentielle. Il s'est, dans ce cadre, rapproché du parti de TAJ, Amar Saïdani et Amar Ghoul ont même eu une rencontre au sommet au siège du vieux parti. Ce rapprochement s'est aussi manifesté dans la chambre basse du Parlement. Mais Saïdani n'arrivait pas à rallier à sa cause les deux autres partis, le RND et le MPA puisqu'il n'est pas parvenu à tenir des réunions au sommet avec les dirigeants de ces deux partis. Pis encore leurs divergences ont débordé sur la place publique et Amara Benyounés a, à maintes reprises, souligné qu'il rejette le leadership du FLN. Ce même Amara Benyounés a critiqué ouvertement Saïdani lorsque ce dernier s'en est pris au chef du DRS, le général Toufik. Abdelkader Bensalah, secrétaire général du RND, a aussi adressé des piques à Saïdani lorsque le FLN faisait le forcing en faveur de la candidature de Bouteflika. Saïdani est allé encore plus loin lorsqu'il a violemment critiqué Abdelmalek Sellal, alors Premier ministre. C'est dire combien les alliés du président Bouteflika sont traversés par les contradictions .Des contradictions qui font qu'il n'est pas envisageable de créer une nouvelle alliance présidentielle. A moins que... .....