Une délégation de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) est attendue mardi dans la bande de Ghaza en vue de relancer les efforts de réconciliation interpalestinienne, en l'absence de progrès dans les négociations de paix avec Israël. Une délégation de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) est attendue mardi dans la bande de Ghaza en vue de relancer les efforts de réconciliation interpalestinienne, en l'absence de progrès dans les négociations de paix avec Israël. La délégation est composée de Azam al-Ahmed, du mouvement Fatah, responsable du dossier de la réconciliation, de Mustapha al-Barghouti, secrétaire général de l'organisation politique Al Mubadara (Initiative nationale palestinienne, INP) et de Jamil Shahada, secrétaire général du Front arabe palestinien. La délégation de l'OLP doit rencontrer le chef du gouvernement limogé du Hamas à Ghaza, Ismaïl Haniyeh, et un autre dirigeant du mouvement, Moussa Abou Marzouq, arrivé lundi du Caire pour préparer la rencontre. En mars dernier, le président palestinien Mahmoud Abbas avait décidé d'envoyer une délégation du Fatah et des autres factions à Ghaza afin de discuter de la possibilité d'atteindre une réconciliation nationale avec le Hamas qui contrôle la bande de Ghaza depuis juin 2007. La division entre les deux formations palestiniennes remonte à 2006 lorsque le mouvement Hamas a remporté les élections législatives. Après plusieurs tentatives, les deux mouvements ne sont toujours pas parvenus à atteindre une réconciliation nationale mais ont signé deux accords, l'un au Caire en 2011, l'autre à Doha en 2012. Les accords préviennent la formation d'un gouvernement uni et indépendant, sous la présidence de Mahmoud Abbas ainsi que la préparation d'élections présidentielle et législatives. Cette nouvelle rencontre intervient alors que les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens sont toujours dans l'impasse. Les deux parties doivent se rencontrer à nouveau dans la journée à El Qods occupée en présence de l'envoyé américain pour la paix, Martin Indyk, qui jouera la rôle de médiateur. Les négociations de paix israélo-palestiniennes sous les auspices des Etats-Unis, qui prendront fin ce mois, connaissent un blocage en raison du refus israélien d'honorer son engagement de libérer en mars dernier 26 prisonniers palestiniens des geôles israéliennes. La délégation est composée de Azam al-Ahmed, du mouvement Fatah, responsable du dossier de la réconciliation, de Mustapha al-Barghouti, secrétaire général de l'organisation politique Al Mubadara (Initiative nationale palestinienne, INP) et de Jamil Shahada, secrétaire général du Front arabe palestinien. La délégation de l'OLP doit rencontrer le chef du gouvernement limogé du Hamas à Ghaza, Ismaïl Haniyeh, et un autre dirigeant du mouvement, Moussa Abou Marzouq, arrivé lundi du Caire pour préparer la rencontre. En mars dernier, le président palestinien Mahmoud Abbas avait décidé d'envoyer une délégation du Fatah et des autres factions à Ghaza afin de discuter de la possibilité d'atteindre une réconciliation nationale avec le Hamas qui contrôle la bande de Ghaza depuis juin 2007. La division entre les deux formations palestiniennes remonte à 2006 lorsque le mouvement Hamas a remporté les élections législatives. Après plusieurs tentatives, les deux mouvements ne sont toujours pas parvenus à atteindre une réconciliation nationale mais ont signé deux accords, l'un au Caire en 2011, l'autre à Doha en 2012. Les accords préviennent la formation d'un gouvernement uni et indépendant, sous la présidence de Mahmoud Abbas ainsi que la préparation d'élections présidentielle et législatives. Cette nouvelle rencontre intervient alors que les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens sont toujours dans l'impasse. Les deux parties doivent se rencontrer à nouveau dans la journée à El Qods occupée en présence de l'envoyé américain pour la paix, Martin Indyk, qui jouera la rôle de médiateur. Les négociations de paix israélo-palestiniennes sous les auspices des Etats-Unis, qui prendront fin ce mois, connaissent un blocage en raison du refus israélien d'honorer son engagement de libérer en mars dernier 26 prisonniers palestiniens des geôles israéliennes.