Au lendemain de l'annonce par le DGSN, Abdelghani Hamel, de l'ouverture d'une enquête sur la vidéo dévoilant des violences policières contre des citoyens à Tizi-Ouzou, l'auteur de la vidéo Meziane Mezadand, âgé de 20 ans, a été placé sous contrôle judicaire par le tribunal de Tizi-Ouzou, libéré par la suite, il demeure en liberté conditionnelle. Au lendemain de l'annonce par le DGSN, Abdelghani Hamel, de l'ouverture d'une enquête sur la vidéo dévoilant des violences policières contre des citoyens à Tizi-Ouzou, l'auteur de la vidéo Meziane Mezadand, âgé de 20 ans, a été placé sous contrôle judicaire par le tribunal de Tizi-Ouzou, libéré par la suite, il demeure en liberté conditionnelle. Tayeb Belaïz, ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, indique que ces événements sont de "simples dépassements" et des "actes isolés". Les événements, qui ont secoué la ville des Genêt le 20 avril dernier, date symbolique pour l'histoire du mouvement berbériste, a soulevé un élan d'indignations tant du côté des organismes des droits de l'Homme, des partis politiques que des citoyens qui ont qualifié à travers la toile, et particulièrement sur les réseaux sociaux, les violences policières d'"abjectes". Ces images, montrant clairement un manquement à l'éthique professionnelle, sont pour le ministre Tayeb Belaïz, un simple "dépassement", relevant que ce sont des "comportement exceptionnels et des actes isolés". Le ministre enchaînera en soulignant que "Les corps de sécuritésont tenus par le respect rigoureux des lois de la République dans toutes leurs interventions". Ces déclarations du ministre lors d'un point de presse animé en marge d'une visite de travail et d'inspection à la direction des unités républicaines d'El-Hamiz sont venues éclairer l'opinion publique en consacrant une sortie médiatique à ces événements qui ont ébranlé l'Algérie en général et la Kabylie en particulier. Le ministre d'Etat a tenu à préciser que "les personnes impliquées dans les dépassements ont été suspendues de leurs fonctions par mesure préventive". Pour le ministre de l'Intérieur, "les corps de sécurité ont fait montre d'un haut degré de professionnalisme dans le traitement des émeutes, manifestations et marches dans certaines wilayas". Selon lui "l'enquête suit son cours" et si des "preuves corroborent les faits signalés, ces personnes seront déférées devant la justice comme tous les citoyens". "L'Etat a accompli son devoir et les services de sécurité sont tenus par le respect de la loi. L'agent de police est le premier à qui incombe le respect la loi et la préservation de la dignité des citoyens", a-t-il martelé "A défaut de plainte, des sanctions administratives seront imposées aux personnes impliquées", a ajouté le ministre. "Il est de notre intérêt et de celui des citoyens d'établir la vérité. Il s'agit d'abord de procéder aux investigations nécessaires avant de rendre publics les résultats", a insisté Tayeb Belaïz, ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, indique que ces événements sont de "simples dépassements" et des "actes isolés". Les événements, qui ont secoué la ville des Genêt le 20 avril dernier, date symbolique pour l'histoire du mouvement berbériste, a soulevé un élan d'indignations tant du côté des organismes des droits de l'Homme, des partis politiques que des citoyens qui ont qualifié à travers la toile, et particulièrement sur les réseaux sociaux, les violences policières d'"abjectes". Ces images, montrant clairement un manquement à l'éthique professionnelle, sont pour le ministre Tayeb Belaïz, un simple "dépassement", relevant que ce sont des "comportement exceptionnels et des actes isolés". Le ministre enchaînera en soulignant que "Les corps de sécuritésont tenus par le respect rigoureux des lois de la République dans toutes leurs interventions". Ces déclarations du ministre lors d'un point de presse animé en marge d'une visite de travail et d'inspection à la direction des unités républicaines d'El-Hamiz sont venues éclairer l'opinion publique en consacrant une sortie médiatique à ces événements qui ont ébranlé l'Algérie en général et la Kabylie en particulier. Le ministre d'Etat a tenu à préciser que "les personnes impliquées dans les dépassements ont été suspendues de leurs fonctions par mesure préventive". Pour le ministre de l'Intérieur, "les corps de sécurité ont fait montre d'un haut degré de professionnalisme dans le traitement des émeutes, manifestations et marches dans certaines wilayas". Selon lui "l'enquête suit son cours" et si des "preuves corroborent les faits signalés, ces personnes seront déférées devant la justice comme tous les citoyens". "L'Etat a accompli son devoir et les services de sécurité sont tenus par le respect de la loi. L'agent de police est le premier à qui incombe le respect la loi et la préservation de la dignité des citoyens", a-t-il martelé "A défaut de plainte, des sanctions administratives seront imposées aux personnes impliquées", a ajouté le ministre. "Il est de notre intérêt et de celui des citoyens d'établir la vérité. Il s'agit d'abord de procéder aux investigations nécessaires avant de rendre publics les résultats", a insisté