La dissolution de l'APN devient un sujet de discorde entre différents protagonistes politiques. Les uns, comme le PT de Louisa Hanoune appellent à des élections législatives tandis qu'au FLN, une polémique s'installe entre Amar Saâdani et ses opposants sur le maintien ou la dissolution de l'assemblée. La dissolution de l'APN devient un sujet de discorde entre différents protagonistes politiques. Les uns, comme le PT de Louisa Hanoune appellent à des élections législatives tandis qu'au FLN, une polémique s'installe entre Amar Saâdani et ses opposants sur le maintien ou la dissolution de l'assemblée. En ligne de mire depuis peu, la tenue d'élections législatives anticipées parait s'inscrire comme une suite logique pour le Parti des travailleurs. Pour la présidente du parti, il est nécessaire de « dissoudre le Parlement et d'organiser des législatives anticipées avant la réforme de la Constitution » et de renforcer le front intérieur selon son expression. Mais pourquoi un tel branle-bas pour cette question ? La réponse est bien sûr du point de vue protocolaire qui fait qu'un Président élu doit impérativement dans les semaines ou les mois qui suivent dissoudre l'Assemblée nationale. Or, le sujet qui fait enfler la polémique entre les favorables et ceux qui s'y opposent réside dans le fait que la majorité parlementaire acquise pour le FLN et le RND reste le soutien principal au chef de l'Etat nouvellement réélu. Pas question de dissoudre une assemblée qui dans sa majorité a apporté sa caution à l'élection présidentielle et donc au 4e mandat. Pourtant, c'est le SG du FLN en personne qui s'insurge contre la continuité du mandat de l'assemblée issue des urnes de 2012. On raconte même qu'un deal a été conclu entre la présidente du PT et le SG du FLN sur cette histoire. Mais par tradition, le Parti des travailleurs a toujours revendiqué la dissolution de l'assemblée l'estimant « illégitime » et non représentative des citoyens. Mais le Président dont on attend un discours à la nation, n'en a soufflé mot. Diamétralement opposé à la proposition du PT et de Amar Saâdani, le groupe dissident de Belayat estime, quant à lui, que le maintien du mandat de l'APN à terme est en sa faveur. Par calculs politiques, le groupe de Belayat sait que certains députés du FLN lui sont acquis mais pas toute la majorité pour destituer l'actuel SG du vieux parti. Ces querelles à desseins politiciens révèlent que le souci, en fait, des premiers appels à la dissolution de l'assemblée rentre dans le cadre du jeu d'alliances entre partis dont la stratégie est de chercher à consolider un terrain d'entente. Pour les perspectives d'une élection législative anticipée, les partis de la majorité savent que l'enjeu est différent dans la mesure où leur crédibilité politique est sérieusement remise en cause. Au contraire, c'est l'option «démocrate» qui s'en trouvera raffermie. Et c'est pourquoi, seul le FLN s'agite dans cet ordre alors que les autres partis de l'opposition n'ont rien envisagé pour l'heure. En ligne de mire depuis peu, la tenue d'élections législatives anticipées parait s'inscrire comme une suite logique pour le Parti des travailleurs. Pour la présidente du parti, il est nécessaire de « dissoudre le Parlement et d'organiser des législatives anticipées avant la réforme de la Constitution » et de renforcer le front intérieur selon son expression. Mais pourquoi un tel branle-bas pour cette question ? La réponse est bien sûr du point de vue protocolaire qui fait qu'un Président élu doit impérativement dans les semaines ou les mois qui suivent dissoudre l'Assemblée nationale. Or, le sujet qui fait enfler la polémique entre les favorables et ceux qui s'y opposent réside dans le fait que la majorité parlementaire acquise pour le FLN et le RND reste le soutien principal au chef de l'Etat nouvellement réélu. Pas question de dissoudre une assemblée qui dans sa majorité a apporté sa caution à l'élection présidentielle et donc au 4e mandat. Pourtant, c'est le SG du FLN en personne qui s'insurge contre la continuité du mandat de l'assemblée issue des urnes de 2012. On raconte même qu'un deal a été conclu entre la présidente du PT et le SG du FLN sur cette histoire. Mais par tradition, le Parti des travailleurs a toujours revendiqué la dissolution de l'assemblée l'estimant « illégitime » et non représentative des citoyens. Mais le Président dont on attend un discours à la nation, n'en a soufflé mot. Diamétralement opposé à la proposition du PT et de Amar Saâdani, le groupe dissident de Belayat estime, quant à lui, que le maintien du mandat de l'APN à terme est en sa faveur. Par calculs politiques, le groupe de Belayat sait que certains députés du FLN lui sont acquis mais pas toute la majorité pour destituer l'actuel SG du vieux parti. Ces querelles à desseins politiciens révèlent que le souci, en fait, des premiers appels à la dissolution de l'assemblée rentre dans le cadre du jeu d'alliances entre partis dont la stratégie est de chercher à consolider un terrain d'entente. Pour les perspectives d'une élection législative anticipée, les partis de la majorité savent que l'enjeu est différent dans la mesure où leur crédibilité politique est sérieusement remise en cause. Au contraire, c'est l'option «démocrate» qui s'en trouvera raffermie. Et c'est pourquoi, seul le FLN s'agite dans cet ordre alors que les autres partis de l'opposition n'ont rien envisagé pour l'heure.