Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, était hier dans tous ses états. Très en colère il s'en est ainsi pris à une partie de la classe politique et n'a pas ménagé aussi quelques journaux de la presse nationale accusés de fomenter une cabale contre sa personne. "Il y a des partis politiques jaunes comme la presse jaune". Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, était hier dans tous ses états. Très en colère il s'en est ainsi pris à une partie de la classe politique et n'a pas ménagé aussi quelques journaux de la presse nationale accusés de fomenter une cabale contre sa personne. "Il y a des partis politiques jaunes comme la presse jaune". On ne sait si ces partis sont dans l'opposition ou avec le pouvoir. "Un parti qui n'a pas de programme politique n'est pas un parti" a, d'emblée, déclaré le chef de file du FLN lors d'une conférence de presse organisée à l'occasion de la journée internationale de la presse. Saadani, qui a dénoncé « la campagne médiatique » qui le vise, a cité nommément deux journaux de la presse écrite. «Cette campagne s'explique uniquement par le fait que nous avons demandé le changement». Il a de nouveau indiqué n'avoir jamais été impliqué dans l'affaire de la Générale des concessions agricoles (GCA) et qu'il n'a jamais été convoqué par la justice et ce contrairement à ce qui a été rapporté par certains journaux. Cette affaire de dissipation de deniers publics est passée devant les tribunaux de Djelfa et Ouargla il y a quelques années déjà et le nom de Saadani a été évoqué par les medias. «C'est la même chose aujourd'hui avec cette histoire de 300 millions d'euros » dira-t-il précisant que « la 5è colonne ne laisse pas un politique professionnel prendre une place sur la scène politique et c'est la même chose dans la presse. C'est la 5é colonne qui s'attaque aux partis qui ont des programmes ». Le conférencier, qui a dénoncé cette cabale contre sa personne qui n'a pas épargné même sa famille,a aussi indiqué que c'est la 5è colonne qui est à l'origine de l'éviction de Mehri de la tête du FLN. Par ailleurs Saadani est revenu sur la question du projet de révision constitutionnel, que le président de la République compte entreprendre comme il l'a de nouveau confirmé avant-hier dans son discours d'investiture. «Dans la prochaine Constitution il y aura beaucoup de choses positives pour la construction d'un Etat de droit et une place importante sera accordée à l'opposition ». S'agissant des propositions que compte faire le FLN a l'occasion de cette révision de la loi fondamentale Saadani s'est contenté de dire que « les propositions du parti ont été énoncées par le président de la République dans son discours ». C'était une occasion pour lui de revenir sur la revendication relative à la nomination d'un chef de gouvernement issu du parti vainqueur aux élections législatives. En somme, comme il l'a déjà dit, le poste de chef de gouvernement doit revenir au parti majoritaire à l'assemblée. «Le changement que nous voulons sera consacré dans la nouvelle Constitution» a affirmé Saadani. Il a plaidé pour un dialogue avec l'opposition et l'ensemble de la classe politique afin d'élaborer une Constitution consensuelle. Enfin le secrétaire général du FLN a démenti avoir conclu un deal avec le Parti des travailleurs pour la dissolution de l'APN. On ne sait si ces partis sont dans l'opposition ou avec le pouvoir. "Un parti qui n'a pas de programme politique n'est pas un parti" a, d'emblée, déclaré le chef de file du FLN lors d'une conférence de presse organisée à l'occasion de la journée internationale de la presse. Saadani, qui a dénoncé « la campagne médiatique » qui le vise, a cité nommément deux journaux de la presse écrite. «Cette campagne s'explique uniquement par le fait que nous avons demandé le changement». Il a de nouveau indiqué n'avoir jamais été impliqué dans l'affaire de la Générale des concessions agricoles (GCA) et qu'il n'a jamais été convoqué par la justice et ce contrairement à ce qui a été rapporté par certains journaux. Cette affaire de dissipation de deniers publics est passée devant les tribunaux de Djelfa et Ouargla il y a quelques années déjà et le nom de Saadani a été évoqué par les medias. «C'est la même chose aujourd'hui avec cette histoire de 300 millions d'euros » dira-t-il précisant que « la 5è colonne ne laisse pas un politique professionnel prendre une place sur la scène politique et c'est la même chose dans la presse. C'est la 5é colonne qui s'attaque aux partis qui ont des programmes ». Le conférencier, qui a dénoncé cette cabale contre sa personne qui n'a pas épargné même sa famille,a aussi indiqué que c'est la 5è colonne qui est à l'origine de l'éviction de Mehri de la tête du FLN. Par ailleurs Saadani est revenu sur la question du projet de révision constitutionnel, que le président de la République compte entreprendre comme il l'a de nouveau confirmé avant-hier dans son discours d'investiture. «Dans la prochaine Constitution il y aura beaucoup de choses positives pour la construction d'un Etat de droit et une place importante sera accordée à l'opposition ». S'agissant des propositions que compte faire le FLN a l'occasion de cette révision de la loi fondamentale Saadani s'est contenté de dire que « les propositions du parti ont été énoncées par le président de la République dans son discours ». C'était une occasion pour lui de revenir sur la revendication relative à la nomination d'un chef de gouvernement issu du parti vainqueur aux élections législatives. En somme, comme il l'a déjà dit, le poste de chef de gouvernement doit revenir au parti majoritaire à l'assemblée. «Le changement que nous voulons sera consacré dans la nouvelle Constitution» a affirmé Saadani. Il a plaidé pour un dialogue avec l'opposition et l'ensemble de la classe politique afin d'élaborer une Constitution consensuelle. Enfin le secrétaire général du FLN a démenti avoir conclu un deal avec le Parti des travailleurs pour la dissolution de l'APN.