Il est urgent de réorganiser efficacement le système de santé publique pour mieux prendre en charge les préoccupations des citoyens. Pour cela il faut impérativement engager une série de mesures à caractère organisationnel, managérial et financier. Il est urgent de réorganiser efficacement le système de santé publique pour mieux prendre en charge les préoccupations des citoyens. Pour cela il faut impérativement engager une série de mesures à caractère organisationnel, managérial et financier. C ' est ce qui ressort des recommandations émises par les participants aux assises régionales de la santé. Ces derniers ont également émis une série de recommandations qui soulignent la nécessité de consolider le système de santé publique existant pour qu'il demeure "fort, viable, adaptable et de référence", à côté d'un système privé complémentaire et régulé, en adéquation avec les besoins réels de la population pour réduire les inégalités existantes en matière de soins, ont souligné les professionnels. Il a été recommandé également la création d'unités de maintenance des équipements dans les établissements de santé, la réhabilitation de la médecine préventive, assurer une disponibilité permanente des médicaments et le renforcement et la constitution des passerelles entre les EPSP et les EPH et entre les EPH et les CHU. Les participants ont aussi insisté sur la modernisation des moyens technologiques (télémedecine), le renforcement et l'adaptation des programmes selon des besoins professionnels (formation continue spécifique obligatoire pour toutes les catégories) et la réhabilitation et la considération de la ressource humaine, tous corps confondus (revoir les statuts particuliers des différents corps de la santé, gestion des carrières du personnel, revoir la politique de rémunération selon la zone d'exercice et la spécialité). La reconnaissance et la revalorisation des diplômes universitaires, le bannissement de l'emploi précaire, l'assurance de la sécurité au travail, le confort lors du travail, les moyens de travail et le jumelage inter-zones et inter-établissements ont été mis en exergue. Les participants ont appelé, par ailleurs, au renforcement de la démocratie sanitaire, l'implication de la société civile, à l'ouverture d'espaces d'écoute, avec la mise en place d'un médiateur au sein de chaque établissement et au renforcement de l'évaluation et le contrôle par des visites d'inspection à tous les niveaux et à la solidarité sociale pour venir en aide aux plus démunis. Les spécialistes de la santé ont recommandé la mise en place d'un cadre juridique, des manuels de gestion moderne, l'informatisation de tous les aspects de fonctionnement des structures de santé, la consolidation de la décentralisation en matière de prise de décision, ainsi que les actes de gestion et l'abrogation des dispositions relatives à l'exercice d'activité complémentaire et lucrative. Il a été recommandé, par ailleurs, la création des passerelles légales et réglementaires entre le secteur public et privé, dans le but d'assurer une complémentarité réelle et transparente de prise en charge des usagers. Ces assises régionales de la santé, ouvertes samedi à Constantine, ont permis également aux participants aux travaux des six ateliers de cerner tous les problèmes que connaît le secteur. Ils plaident pour "la décentralisation de la gestion des établissements de santé à travers des structures régionales dotées du pouvoir de décision'" mais aussi la "définition des champs d'intervention des institutions et des administrations de santé", avec la révision du cadre juridique régissant le secteur et son adaptation à l'évolution sociale et sanitaire. C ' est ce qui ressort des recommandations émises par les participants aux assises régionales de la santé. Ces derniers ont également émis une série de recommandations qui soulignent la nécessité de consolider le système de santé publique existant pour qu'il demeure "fort, viable, adaptable et de référence", à côté d'un système privé complémentaire et régulé, en adéquation avec les besoins réels de la population pour réduire les inégalités existantes en matière de soins, ont souligné les professionnels. Il a été recommandé également la création d'unités de maintenance des équipements dans les établissements de santé, la réhabilitation de la médecine préventive, assurer une disponibilité permanente des médicaments et le renforcement et la constitution des passerelles entre les EPSP et les EPH et entre les EPH et les CHU. Les participants ont aussi insisté sur la modernisation des moyens technologiques (télémedecine), le renforcement et l'adaptation des programmes selon des besoins professionnels (formation continue spécifique obligatoire pour toutes les catégories) et la réhabilitation et la considération de la ressource humaine, tous corps confondus (revoir les statuts particuliers des différents corps de la santé, gestion des carrières du personnel, revoir la politique de rémunération selon la zone d'exercice et la spécialité). La reconnaissance et la revalorisation des diplômes universitaires, le bannissement de l'emploi précaire, l'assurance de la sécurité au travail, le confort lors du travail, les moyens de travail et le jumelage inter-zones et inter-établissements ont été mis en exergue. Les participants ont appelé, par ailleurs, au renforcement de la démocratie sanitaire, l'implication de la société civile, à l'ouverture d'espaces d'écoute, avec la mise en place d'un médiateur au sein de chaque établissement et au renforcement de l'évaluation et le contrôle par des visites d'inspection à tous les niveaux et à la solidarité sociale pour venir en aide aux plus démunis. Les spécialistes de la santé ont recommandé la mise en place d'un cadre juridique, des manuels de gestion moderne, l'informatisation de tous les aspects de fonctionnement des structures de santé, la consolidation de la décentralisation en matière de prise de décision, ainsi que les actes de gestion et l'abrogation des dispositions relatives à l'exercice d'activité complémentaire et lucrative. Il a été recommandé, par ailleurs, la création des passerelles légales et réglementaires entre le secteur public et privé, dans le but d'assurer une complémentarité réelle et transparente de prise en charge des usagers. Ces assises régionales de la santé, ouvertes samedi à Constantine, ont permis également aux participants aux travaux des six ateliers de cerner tous les problèmes que connaît le secteur. Ils plaident pour "la décentralisation de la gestion des établissements de santé à travers des structures régionales dotées du pouvoir de décision'" mais aussi la "définition des champs d'intervention des institutions et des administrations de santé", avec la révision du cadre juridique régissant le secteur et son adaptation à l'évolution sociale et sanitaire.