Horrible et abominable ! Ces qualificatifs ne valent rien devant l'horreurdont a été le théâtre la commune de Hammam N'Baiel, une paisible bourgade de la wilaya de Guelma mais qui s'est retrouvée subitement sous les feux de la rampe. La mystérieuse disparition d'un ex-garde communal depuis le 17 avril qui a soulevé moult interrogations a pris fin d'une façon tragique. Horrible et abominable ! Ces qualificatifs ne valent rien devant l'horreurdont a été le théâtre la commune de Hammam N'Baiel, une paisible bourgade de la wilaya de Guelma mais qui s'est retrouvée subitement sous les feux de la rampe. La mystérieuse disparition d'un ex-garde communal depuis le 17 avril qui a soulevé moult interrogations a pris fin d'une façon tragique. Son cadavre a été découvert mardi dernier par un berger dans un ravin de Oued Seybous, à dix mètres de la RN 20, dans la zone Boukhouika, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale. Sitôt alertés, les gendarmes de la brigade de Hammam N'Baiel, renforcés par ceux de la cellule de police technique et scientifique du groupement de la gendarmerie de Guelma, se sont rendus sur les lieux pour procéder aux constatations. Sur place, ils ont découvert un squelette brûlé mais ils ont pu néanmoins récupérer quelques effets de la victime qui ont été utiles pour sa reconnaissance tels les vêtements. Il était très probable que ce squelette était l'ex-garde communal qui a disparu 20 jours auparavant. Et rapidement, les enquêteurs ont établi la relation avec cette disparition en exposant les vêtements récupérés sur la scène de crime aux parents de la victime. Ces derniers ont pu identifier le cadavre. Des prélèvements du cadavre ont été effectués et envoyés à l'Institut national de criminologie de Bouchaoui (INCC) de la gendarmerie pour analyse de l'ADN et comparaison avec ceux de ses parents. Entretemps, des investigations ont été entamées par les gendarmes pour élucider ce massacre. Chose faite puisque l'enquête a permis d'identifier et d'interpeller un suspect demeurant à Guelma. Les investigations ont permis de récupérer aussi des housses pour véhicules au niveau de la décharge publique, portant des traces de sang. Envoyées également à l'INCC pour analyse, les résultats ont concordé avec le sang de la victime. Les investigations menées ont révélé que le jour des élections, vers 17h, B. M. avec la complicité de son voisin B. L., 24 ans, se sont entendus pour agresser la victime, âgée de 43 ans, et de s'emparer de son véhicule. Pour ce faire, ils l'ont sollicité de les transporter vers Beni Mezline. En cours de route, le premier cité a porté à la victime un coup de couteau au niveau du thorax, la blessant mortellement. Après avoir abandonné le corps dans un ravin à Oued Sibous, les deux criminels se sont déplacés à bord du véhicule de la victime de marque Dacia Logan, à Bord BouArreridj. Le dit moyen de locomotion a été confié deux personnes, pour le prendre en charge, qui ont à leur tour, vendu le véhicule à une autre personne par l'intermédiaire d'un tôlier. D'intenses recherches ont été engagées par les différents services de sécurité en vue de localiser la victime, et qui ont connu un écho médiatique très fort, contraignant ainsi les deux criminels à revenir de nouveau sur les lieux du méfait, deux jours plus tard. Sur place, ils ont incendié le corps de la victime pour entraver son identification, croyant qu'ainsi, ils vont effacer toutes les preuves. Au total, cinq personnes impliquées dans cette affaire ont été interpellées par les gendarmes enquêteurs. Son cadavre a été découvert mardi dernier par un berger dans un ravin de Oued Seybous, à dix mètres de la RN 20, dans la zone Boukhouika, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale. Sitôt alertés, les gendarmes de la brigade de Hammam N'Baiel, renforcés par ceux de la cellule de police technique et scientifique du groupement de la gendarmerie de Guelma, se sont rendus sur les lieux pour procéder aux constatations. Sur place, ils ont découvert un squelette brûlé mais ils ont pu néanmoins récupérer quelques effets de la victime qui ont été utiles pour sa reconnaissance tels les vêtements. Il était très probable que ce squelette était l'ex-garde communal qui a disparu 20 jours auparavant. Et rapidement, les enquêteurs ont établi la relation avec cette disparition en exposant les vêtements récupérés sur la scène de crime aux parents de la victime. Ces derniers ont pu identifier le cadavre. Des prélèvements du cadavre ont été effectués et envoyés à l'Institut national de criminologie de Bouchaoui (INCC) de la gendarmerie pour analyse de l'ADN et comparaison avec ceux de ses parents. Entretemps, des investigations ont été entamées par les gendarmes pour élucider ce massacre. Chose faite puisque l'enquête a permis d'identifier et d'interpeller un suspect demeurant à Guelma. Les investigations ont permis de récupérer aussi des housses pour véhicules au niveau de la décharge publique, portant des traces de sang. Envoyées également à l'INCC pour analyse, les résultats ont concordé avec le sang de la victime. Les investigations menées ont révélé que le jour des élections, vers 17h, B. M. avec la complicité de son voisin B. L., 24 ans, se sont entendus pour agresser la victime, âgée de 43 ans, et de s'emparer de son véhicule. Pour ce faire, ils l'ont sollicité de les transporter vers Beni Mezline. En cours de route, le premier cité a porté à la victime un coup de couteau au niveau du thorax, la blessant mortellement. Après avoir abandonné le corps dans un ravin à Oued Sibous, les deux criminels se sont déplacés à bord du véhicule de la victime de marque Dacia Logan, à Bord BouArreridj. Le dit moyen de locomotion a été confié deux personnes, pour le prendre en charge, qui ont à leur tour, vendu le véhicule à une autre personne par l'intermédiaire d'un tôlier. D'intenses recherches ont été engagées par les différents services de sécurité en vue de localiser la victime, et qui ont connu un écho médiatique très fort, contraignant ainsi les deux criminels à revenir de nouveau sur les lieux du méfait, deux jours plus tard. Sur place, ils ont incendié le corps de la victime pour entraver son identification, croyant qu'ainsi, ils vont effacer toutes les preuves. Au total, cinq personnes impliquées dans cette affaire ont été interpellées par les gendarmes enquêteurs.