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"Une médecine toujours gratuite, mais aux normes internationales"
Anisse Bendaoud DGA D'AREES, résponsable des 10 nouveaux CHU pour le Midi Libre
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 05 - 2014

De nouveaux CHU ont été inscrits dans le cadre d'un programme national portant sur la réalisation de 10 centres hospitalouniversitaires à Alger, Ouargla, Béchar, Béjaïa, Batna, Annaba, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Constantine et Sidi Bel-Abbès. Alors que plusieurs scandales ont éclaboussé le secteur de la santé dans plusieurs CHU publics.
De nouveaux CHU ont été inscrits dans le cadre d'un programme national portant sur la réalisation de 10 centres hospitalouniversitaires à Alger, Ouargla, Béchar, Béjaïa, Batna, Annaba, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Constantine et Sidi Bel-Abbès. Alors que plusieurs scandales ont éclaboussé le secteur de la santé dans plusieurs CHU publics.
La nouvelle de la construction de ces bâtisses semble être un nouveau souffle pour le citoyen algérien qui souvent se dirige vers les cliniques privés pour avoir de meilleurs soins. Dans un entretien accordé au Midi Libre, Anisse Bendaoud,
directeur général adjoint de l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (AREES), chargée du suivi de ce projet souligne que la création de ces nouveaux pôles de santé performants et de qualité permettra d'améliorer le service public de santé et le développement de la formation et de la recherche dans ce domaine en Algérie
Midi Libre : Vous avez annoncé la construction de nouveaux centres hospitalo-universitaires d'ici à 2017, qu'en est-il aujourd'hui de leur réalisation ?
Anisse Bendaoud : À l'indicatif du ministère de la Santé et sur résolution du conseil interministériel il a été décidé d'inscrire dix nouveaux CHU. Pour la première étape, nous avons commencé par le lancement de cinq centres hospitalo-universitaires, à savoir Alger, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Ouargla et Constantine. Donc je dirai que les discussions ont commencé avec les opérateurs.
Maintenant comme il a été précisé à plusieurs reprises, les cinq établissements ont été lancés en étude, réalisation, équipement et gestion. Alors la première étape concerne les études. Il ne s'agit pas d'un projet simple comme le logement. Je dirai que les CHU il n'y a pas plus complexe en matière d'ingénierie. Alors cette étape est entamée avec les opérateurs retenus. Alors prochainement on va investir les sites en installant les entreprises.
Les chantiers vont donc commencer à être matérialisés. Sauf que pour un démarrage effectif des travaux propres aux CHU, cela se fera après l'approbation des études. Mais en tout état de cause lorsque l'on parle de complexité en matière d'ingénierie aussi avec l'installation de chantiers, cela demande également beaucoup de préparation. Alors c'est ce qui va se faire en parallèle en gagnant un peu de temps en entamant l'installation des chantiers, la base vie et tout ce qui va avec, et entre-temps on va avancer et gagner du temps avec les études. C'est après les études et l'installation des chantiers qu'on va commencer avec les travaux.
Pourquoi avoir choisi ces dix wilayas et pas d'autre s ?
En fait, le choix ne s'est pas fait au niveau de l'Agence, parce que ce sont des opérations qui datent avant même la création de l'Agence. Mais ce que je peux vous dire c'est que si vous mettez ces CHU sur la carte vous verrez que toute l'Algérie est couverte. Parce que le CHU a un impact régional, ce n'est pas uniquement au seul niveau de la wilaya.
Quelle est l'enveloppe financière attribuée à ce projet ?
L'enveloppe n'est pas encore arrêtée. Parce que j'ai précisé tout à l'heure que ce sont des opérations inscrites en étude, réalisation, équipement et gestion. Donc tant que les études ne sont pas maturées on ne peut pas parler d'enveloppe fixe.
Est-ce que ce projet entre dans le programme quinquennal tracé par le Président ?
Oui. Ce que je peux dire c'est que l'Etat est prêt à mettre tous les moyens pour la réussite de ces opérations. L'enveloppe budgétaire ne va pas poser de problème.
Vous avez attribué ces projets à des sociétés étrangères, plusieurs voix se sont élevées contre de cette décision. Pensez-vous à un jumelage entre ces sociétés étrangères et des entreprises nationales ?
Oui... il n'y a pas de problème. Mais en tout état de cause, ces sociétés étrangères ont été présélectionnées suite à un appel d'offres national et international. Donc les entreprises nationales n'ont pas été exclues. Sauf que les critères d'éligibilité qui ont été arrêtés sur le cahier des charges ont fait que pratiquement les entreprises nationales ont été disqualifiées. Sauf que les critères d'éligibilité n'ont pas été arrêtés pour exclure les entreprises algériennes.
Les critères ont été arrêtés en fonction du programme, il s'agit de centres hospitalo-universitaires et d'une opération clefs en main. Et je pourrai vous dire aussi que ces critères d'éligibilité ont exclu beaucoup d'opérateurs étrangers. Après l'appel de présélection lancé par le ministère de l'Habitat auparavant, il y a eu plus de 250 cahiers de charges, il y a eu 35 qui ont répondu à l'appel. Sur ces 35 il n'y a eu plus que 10 qui remplissaient les conditions.
Quels sont donc les critères d'éligibilité ayant disqualifié les entreprises nationales ?
L'un des principaux critères d'éligibilité ayant exclu les entreprises étrangères et nationales est le volet gestion. Là où on a exigé que les soumissionnaires aient déjà géré des hôpitaux.
Qu'entendez-vous par gestion ?
La gestion est le management. Après avoir achevé la réalisation et avoir équipé l'hôpital, le jour où il entrera en service ce sont ces mêmes opérateurs qui vont gérer les hôpitaux : la gestion médicale, paramédicale et technique pour une période de cinq années.
Ce n'est pas, en quelque sorte, ouvrir une brèche pour la privatisation de la santé ?
Non, loin de là. Ce qu'on prévoit par ce management c'est de ne pas laisser l'hôpital entre les mains des étrangers sans qu'il y ait une intervention nationale. Ces étrangers vont prendre l'organisation des CHU comme cela existe aujourd'hui par voie réglementaire et vont y intégrer l'EPA.
Alors ils ne vont pas être seuls. Dès la première année ils vont intégrer le personnel algérien. De cette manière et après les cinq ans, l'ossature de l'hôpital restera et il y aura toute l'organisation nécessaire. Le plus important c'est de dire que la gratuité de la santé est un acquis pour le peuple algérien. Il n'est pas question, en aucun cas, de la privatisation du secteur de la Santé.
Y aura-t-il des formations pour le personnel algérien ?
Oui, il y aura des formations pendant la réalisation des CHU. La formation ne se fera pas après l'achèvement des travaux de telle façon à ce que le personnel soit formé pour l'ouverture de l'hôpital. Les formations concerneront le médical, le paramédical, le technique et le manageriat.
Qu'en est-il des autres établissements de santé déjà existants ?
Concernant les 14 CHU existants, les instructions du ministre, c'est de travailler sur l'humanisation avec de la reconstruction et non pas des travaux de réhabilitation à l'ancienne. Je dirai que nous avons aujourd'hui la chance de réaliser de nouveaux CHU, d'autant que depuis l'Indépendance il n'y a pas eu de nouveaux CHU.
Ces nouveaux établissements de santé seront-ils spécialisés ?
Dans le système de santé actuel, il y a des EHS qui sont spécialisés. Nous, on va réaliser des CHU qui incluront toutes les spécialités. Mais le programme de ces CHU va être arrêté en prenant en compte la monographie de la région : le nombre de la population, les études d'épidémiologie... de telle manière à savoir comment répartir les lits et quelles sont les spécialités qu'on établirA dans ces CHU. Car par exemple ce ne sont pas les mêmes données épidémiologiques que nous avons au nord et au sud de l'Algérie. Ce ne sont pas des programmes types de CHU.
Pensez-vous arriver à respecter l e délai de 40 mois pour la réalisation des CHU ?
Ecoutez, l'essentiel c'est de ne pas se précipiter. S'il faut commencer par se dire : "il faut commencer les travaux", on ne va pas respecter les délais. Mais si on donne l'importance et le temps qu'il faut aux études et avec les opérateurs que nous avons on va aisément être dans les délais voulus.
La nouvelle de la construction de ces bâtisses semble être un nouveau souffle pour le citoyen algérien qui souvent se dirige vers les cliniques privés pour avoir de meilleurs soins. Dans un entretien accordé au Midi Libre, Anisse Bendaoud,
directeur général adjoint de l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (AREES), chargée du suivi de ce projet souligne que la création de ces nouveaux pôles de santé performants et de qualité permettra d'améliorer le service public de santé et le développement de la formation et de la recherche dans ce domaine en Algérie
Midi Libre : Vous avez annoncé la construction de nouveaux centres hospitalo-universitaires d'ici à 2017, qu'en est-il aujourd'hui de leur réalisation ?
Anisse Bendaoud : À l'indicatif du ministère de la Santé et sur résolution du conseil interministériel il a été décidé d'inscrire dix nouveaux CHU. Pour la première étape, nous avons commencé par le lancement de cinq centres hospitalo-universitaires, à savoir Alger, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Ouargla et Constantine. Donc je dirai que les discussions ont commencé avec les opérateurs.
Maintenant comme il a été précisé à plusieurs reprises, les cinq établissements ont été lancés en étude, réalisation, équipement et gestion. Alors la première étape concerne les études. Il ne s'agit pas d'un projet simple comme le logement. Je dirai que les CHU il n'y a pas plus complexe en matière d'ingénierie. Alors cette étape est entamée avec les opérateurs retenus. Alors prochainement on va investir les sites en installant les entreprises.
Les chantiers vont donc commencer à être matérialisés. Sauf que pour un démarrage effectif des travaux propres aux CHU, cela se fera après l'approbation des études. Mais en tout état de cause lorsque l'on parle de complexité en matière d'ingénierie aussi avec l'installation de chantiers, cela demande également beaucoup de préparation. Alors c'est ce qui va se faire en parallèle en gagnant un peu de temps en entamant l'installation des chantiers, la base vie et tout ce qui va avec, et entre-temps on va avancer et gagner du temps avec les études. C'est après les études et l'installation des chantiers qu'on va commencer avec les travaux.
Pourquoi avoir choisi ces dix wilayas et pas d'autre s ?
En fait, le choix ne s'est pas fait au niveau de l'Agence, parce que ce sont des opérations qui datent avant même la création de l'Agence. Mais ce que je peux vous dire c'est que si vous mettez ces CHU sur la carte vous verrez que toute l'Algérie est couverte. Parce que le CHU a un impact régional, ce n'est pas uniquement au seul niveau de la wilaya.
Quelle est l'enveloppe financière attribuée à ce projet ?
L'enveloppe n'est pas encore arrêtée. Parce que j'ai précisé tout à l'heure que ce sont des opérations inscrites en étude, réalisation, équipement et gestion. Donc tant que les études ne sont pas maturées on ne peut pas parler d'enveloppe fixe.
Est-ce que ce projet entre dans le programme quinquennal tracé par le Président ?
Oui. Ce que je peux dire c'est que l'Etat est prêt à mettre tous les moyens pour la réussite de ces opérations. L'enveloppe budgétaire ne va pas poser de problème.
Vous avez attribué ces projets à des sociétés étrangères, plusieurs voix se sont élevées contre de cette décision. Pensez-vous à un jumelage entre ces sociétés étrangères et des entreprises nationales ?
Oui... il n'y a pas de problème. Mais en tout état de cause, ces sociétés étrangères ont été présélectionnées suite à un appel d'offres national et international. Donc les entreprises nationales n'ont pas été exclues. Sauf que les critères d'éligibilité qui ont été arrêtés sur le cahier des charges ont fait que pratiquement les entreprises nationales ont été disqualifiées. Sauf que les critères d'éligibilité n'ont pas été arrêtés pour exclure les entreprises algériennes.
Les critères ont été arrêtés en fonction du programme, il s'agit de centres hospitalo-universitaires et d'une opération clefs en main. Et je pourrai vous dire aussi que ces critères d'éligibilité ont exclu beaucoup d'opérateurs étrangers. Après l'appel de présélection lancé par le ministère de l'Habitat auparavant, il y a eu plus de 250 cahiers de charges, il y a eu 35 qui ont répondu à l'appel. Sur ces 35 il n'y a eu plus que 10 qui remplissaient les conditions.
Quels sont donc les critères d'éligibilité ayant disqualifié les entreprises nationales ?
L'un des principaux critères d'éligibilité ayant exclu les entreprises étrangères et nationales est le volet gestion. Là où on a exigé que les soumissionnaires aient déjà géré des hôpitaux.
Qu'entendez-vous par gestion ?
La gestion est le management. Après avoir achevé la réalisation et avoir équipé l'hôpital, le jour où il entrera en service ce sont ces mêmes opérateurs qui vont gérer les hôpitaux : la gestion médicale, paramédicale et technique pour une période de cinq années.
Ce n'est pas, en quelque sorte, ouvrir une brèche pour la privatisation de la santé ?
Non, loin de là. Ce qu'on prévoit par ce management c'est de ne pas laisser l'hôpital entre les mains des étrangers sans qu'il y ait une intervention nationale. Ces étrangers vont prendre l'organisation des CHU comme cela existe aujourd'hui par voie réglementaire et vont y intégrer l'EPA.
Alors ils ne vont pas être seuls. Dès la première année ils vont intégrer le personnel algérien. De cette manière et après les cinq ans, l'ossature de l'hôpital restera et il y aura toute l'organisation nécessaire. Le plus important c'est de dire que la gratuité de la santé est un acquis pour le peuple algérien. Il n'est pas question, en aucun cas, de la privatisation du secteur de la Santé.
Y aura-t-il des formations pour le personnel algérien ?
Oui, il y aura des formations pendant la réalisation des CHU. La formation ne se fera pas après l'achèvement des travaux de telle façon à ce que le personnel soit formé pour l'ouverture de l'hôpital. Les formations concerneront le médical, le paramédical, le technique et le manageriat.
Qu'en est-il des autres établissements de santé déjà existants ?
Concernant les 14 CHU existants, les instructions du ministre, c'est de travailler sur l'humanisation avec de la reconstruction et non pas des travaux de réhabilitation à l'ancienne. Je dirai que nous avons aujourd'hui la chance de réaliser de nouveaux CHU, d'autant que depuis l'Indépendance il n'y a pas eu de nouveaux CHU.
Ces nouveaux établissements de santé seront-ils spécialisés ?
Dans le système de santé actuel, il y a des EHS qui sont spécialisés. Nous, on va réaliser des CHU qui incluront toutes les spécialités. Mais le programme de ces CHU va être arrêté en prenant en compte la monographie de la région : le nombre de la population, les études d'épidémiologie... de telle manière à savoir comment répartir les lits et quelles sont les spécialités qu'on établirA dans ces CHU. Car par exemple ce ne sont pas les mêmes données épidémiologiques que nous avons au nord et au sud de l'Algérie. Ce ne sont pas des programmes types de CHU.
Pensez-vous arriver à respecter l e délai de 40 mois pour la réalisation des CHU ?
Ecoutez, l'essentiel c'est de ne pas se précipiter. S'il faut commencer par se dire : "il faut commencer les travaux", on ne va pas respecter les délais. Mais si on donne l'importance et le temps qu'il faut aux études et avec les opérateurs que nous avons on va aisément être dans les délais voulus.


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