Le 4e forum Asie-Afrique sur l'énergie durable s'est ouvert, hier, à l'auditorium de l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO) avec la participation d'une centaine d'experts algériens et étrangers. Le 4e forum Asie-Afrique sur l'énergie durable s'est ouvert, hier, à l'auditorium de l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO) avec la participation d'une centaine d'experts algériens et étrangers. La rencontre se tient deux jours durant avec, pour objectif, de "mettre en relief les avancées technologiques dans le domaine de l'énergie et du développement durable", ont indiqué les organisateurs de cet événement placé sous l'égide du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS). Le président du Forum, Amine Boudghène Stambouli, a rappelé que les conférenciers viennent d'une dizaine de pays, dont une majorité de chercheurs algériens et japonais réunis par le 6e Workshop international sur le programme "Sahara Solar Breeder" (SSB) dédié au développement des technologies solaires. Les deux manifestations associées, Forum Asie-Afrique et Workshop SSB, s'inscrivent dans une tradition établie avec le partenaire japonais pour qu'une rencontre ait lieu chaque année en alternance en Algérie et au Japon, a précisé Stambouli. Cette rencontre, a-t-il rappelé, "constitue la suite d'un 3e Forum tenu en mai 2013 à Hirosaki (Japon) et qui a bénéficié du soutien actif des partenaires japonais comme l'Agence pour la coopération internationale (JICA), l'Agence pour les sciences et technologies (JST), l'Organisation pour le développement des énergies nouvelles (Nedo) ainsi que plusieurs universités et compagnies de ce pays". A travers cette quatrième édition, le souhait des organisateurs est de "mettre en perspective les immenses efforts déployés par les universités, centres de recherches et industries dans ce secteur stratégique pour l'avenir", tout en apportant "un éclairage sur les nouvelles technologies, innovations et recherches dans le domaine des énergies renouvelables". La participation japonaise est aussi marquée par la présence d'acteurs du secteur énergétique, spécialisés dans l'élaboration du silicium à partir du sable, les systèmes photovoltaïques et les nouvelles technologies de dessalement. L'industrie algérienne est représentée dans ce cadre par de grandes compagnies à l'image de la Sonatrach et de la Sonelgaz, aux côtés d'autres établissements publics spécialisés à l'instar du Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), du Centre de recherche en technologie des semi-conducteurs pour l'énergétique (CRTSE) et de l'Unité de développement des équipements solaires (UDES). Cette manifestation scientifique est suivie par une nombreuse assistance composée notamment de membres du groupe "SSB Algérie", des directeurs de laboratoires de recherche, d'enseignants, de chercheurs et étudiants des parcours LMD (Licence, master, doctorat). La cérémonie d'ouverture s'est tenue en présence de Mustapha Rahmouni, directeur central au MESRS, Latifa Benazza, chargée de l'environnement et du développement durable au ministère des Affaires étrangères, Abdelhak Kazi-Tani, président de l'assemblée populaire de la wilaya d'Oran, Aicha Derdour rectrice de l'USTO et de l'ambassadeur du Japon en Algérie Tsukasa Kawada. La rencontre se tient deux jours durant avec, pour objectif, de "mettre en relief les avancées technologiques dans le domaine de l'énergie et du développement durable", ont indiqué les organisateurs de cet événement placé sous l'égide du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS). Le président du Forum, Amine Boudghène Stambouli, a rappelé que les conférenciers viennent d'une dizaine de pays, dont une majorité de chercheurs algériens et japonais réunis par le 6e Workshop international sur le programme "Sahara Solar Breeder" (SSB) dédié au développement des technologies solaires. Les deux manifestations associées, Forum Asie-Afrique et Workshop SSB, s'inscrivent dans une tradition établie avec le partenaire japonais pour qu'une rencontre ait lieu chaque année en alternance en Algérie et au Japon, a précisé Stambouli. Cette rencontre, a-t-il rappelé, "constitue la suite d'un 3e Forum tenu en mai 2013 à Hirosaki (Japon) et qui a bénéficié du soutien actif des partenaires japonais comme l'Agence pour la coopération internationale (JICA), l'Agence pour les sciences et technologies (JST), l'Organisation pour le développement des énergies nouvelles (Nedo) ainsi que plusieurs universités et compagnies de ce pays". A travers cette quatrième édition, le souhait des organisateurs est de "mettre en perspective les immenses efforts déployés par les universités, centres de recherches et industries dans ce secteur stratégique pour l'avenir", tout en apportant "un éclairage sur les nouvelles technologies, innovations et recherches dans le domaine des énergies renouvelables". La participation japonaise est aussi marquée par la présence d'acteurs du secteur énergétique, spécialisés dans l'élaboration du silicium à partir du sable, les systèmes photovoltaïques et les nouvelles technologies de dessalement. L'industrie algérienne est représentée dans ce cadre par de grandes compagnies à l'image de la Sonatrach et de la Sonelgaz, aux côtés d'autres établissements publics spécialisés à l'instar du Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), du Centre de recherche en technologie des semi-conducteurs pour l'énergétique (CRTSE) et de l'Unité de développement des équipements solaires (UDES). Cette manifestation scientifique est suivie par une nombreuse assistance composée notamment de membres du groupe "SSB Algérie", des directeurs de laboratoires de recherche, d'enseignants, de chercheurs et étudiants des parcours LMD (Licence, master, doctorat). La cérémonie d'ouverture s'est tenue en présence de Mustapha Rahmouni, directeur central au MESRS, Latifa Benazza, chargée de l'environnement et du développement durable au ministère des Affaires étrangères, Abdelhak Kazi-Tani, président de l'assemblée populaire de la wilaya d'Oran, Aicha Derdour rectrice de l'USTO et de l'ambassadeur du Japon en Algérie Tsukasa Kawada.