L'acquisition récemment de six nouveaux camions semiremorques a donné un réel coup d'accélérateur aux opérations de transport de conteneurs vers les aires d'entreposage au niveau du port de la capitale, a indiqué l'entreprise portuaire d'Alger (Epal). L'acquisition récemment de six nouveaux camions semiremorques a donné un réel coup d'accélérateur aux opérations de transport de conteneurs vers les aires d'entreposage au niveau du port de la capitale, a indiqué l'entreprise portuaire d'Alger (Epal). Ces nouveaux engins servent à transporter les conteneurs débarqués à quai vers les zones de stockage et vice-versa, précise l'Epal dans son mensuel d'information. Après chaque opération de débarquement de conteneur, celui-ci est rapidement transféré vers une aire de stockage pour désencombrer les quais et permettre une fluidité dans les activités de manutention, souligne la même source. Cette opération de transfert s'effectue par camion de gros tonnage permettant de supporter le poids d'un conteneur de 20 ou de 40 pieds, explique cette entreprise, détenue par la Société de gestion des participations des ports (SGP-Sogeports). L'Epal procède à l'acquisition d'autres équipements, dans le cadre du renforcement de ses activités portuaires, notamment 8 chariots à fourches de 32 tonnes, une grue portuaire de 60 tonnes, une grue automotrice de 300 tonnes, deux pompes à grain mobiles de 180 tonnes/h ainsi qu'une quinzaine de tracteurs dits RO-RO. Par ailleurs, des résultats jugés "performants" ont été réalisés par l'entreprise grâce à l'acquisition d'autres nouveaux équipements de manutention notamment les stackers. Ainsi, le nombre de navires en rade au port d'Alger a été réduit d'une moyenne de 75 % depuis la mise en service en 2014 de nouveaux stackers, selon l'Epal. "Opérationnels au début de l'année 2014, les stackers, équipements de manutention nouvellement réceptionnés par l'Epal, ont contribué à réduire considérablement le nombre de navires en rade", avait indiqué l'entreprise. Mais les capacités du port d'Alger, la plus importante infrastructure portuaire du pays, vont arriver un jour à saturation, c'est pourquoi les pouvoirs publics ont envisagé la création d'un "greenfield port", un espace ouvert loin de la ville.Une étude de localisation d'un meilleur site pour la réalisation d'un nouveau port commercial entre les villes de Dellys (Boumerdès) et de Ténès (Chlef) est en cours de finalisation,avait confié récemment à l'APS un responsable au ministère des Transports. Une fois cette nouvelle infrastructure réalisée, certaines activités du port de la capitale seront transférées "progressivement" vers cette place portuaire. Ces nouveaux engins servent à transporter les conteneurs débarqués à quai vers les zones de stockage et vice-versa, précise l'Epal dans son mensuel d'information. Après chaque opération de débarquement de conteneur, celui-ci est rapidement transféré vers une aire de stockage pour désencombrer les quais et permettre une fluidité dans les activités de manutention, souligne la même source. Cette opération de transfert s'effectue par camion de gros tonnage permettant de supporter le poids d'un conteneur de 20 ou de 40 pieds, explique cette entreprise, détenue par la Société de gestion des participations des ports (SGP-Sogeports). L'Epal procède à l'acquisition d'autres équipements, dans le cadre du renforcement de ses activités portuaires, notamment 8 chariots à fourches de 32 tonnes, une grue portuaire de 60 tonnes, une grue automotrice de 300 tonnes, deux pompes à grain mobiles de 180 tonnes/h ainsi qu'une quinzaine de tracteurs dits RO-RO. Par ailleurs, des résultats jugés "performants" ont été réalisés par l'entreprise grâce à l'acquisition d'autres nouveaux équipements de manutention notamment les stackers. Ainsi, le nombre de navires en rade au port d'Alger a été réduit d'une moyenne de 75 % depuis la mise en service en 2014 de nouveaux stackers, selon l'Epal. "Opérationnels au début de l'année 2014, les stackers, équipements de manutention nouvellement réceptionnés par l'Epal, ont contribué à réduire considérablement le nombre de navires en rade", avait indiqué l'entreprise. Mais les capacités du port d'Alger, la plus importante infrastructure portuaire du pays, vont arriver un jour à saturation, c'est pourquoi les pouvoirs publics ont envisagé la création d'un "greenfield port", un espace ouvert loin de la ville.Une étude de localisation d'un meilleur site pour la réalisation d'un nouveau port commercial entre les villes de Dellys (Boumerdès) et de Ténès (Chlef) est en cours de finalisation,avait confié récemment à l'APS un responsable au ministère des Transports. Une fois cette nouvelle infrastructure réalisée, certaines activités du port de la capitale seront transférées "progressivement" vers cette place portuaire.