Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, a appelé vendredi dernier à des élections législatives anticipées qui succèderont à la révision de la Constitution. Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, a appelé vendredi dernier à des élections législatives anticipées qui succèderont à la révision de la Constitution. "Il est impératif d'organiser des élections législatives anticipées après la révision de la Constitution afin d'adapter les institutions de l'Etat, dont les deux chambres du Parlement, à la nouvelle Constitution", a souligné le secrétaire général du MPA à l'ouverture de la session ordinaire du conseil national de son parti tenu à l'hôtel Riadh de Sidi Fredj. Benyounes a argumenté sa revendication par "la révision profonde de la loi fondamentale du pays et par le nouveau découpage administratif des régions du Sud et des Hauts- Plateaux qui donnera lieu à l'émergence à de nouvelles communes et wilayas ouvrant droit à une représentation". Concernant la révision de la Constitution qu'il a qualifiée de "la plus importante réforme du président Bouteflika", Benyounes a fait savoir que son parti installera une commission à l'issue de la réunion d'aujourd'hui pour examiner les propositions. Il a précisé d'emblée que le MPA "demeure attaché à quatre principes qui constitueront les axes principaux" de ses propositions. Il s'agit, explique-til, du régime semi-présidentiel, du caractère démocratique et républicain de l'Etat algérien, de la préservation du bicaméralisme du Parlement et de la consécration des libertés. Benyounes a également affirmé que son parti soutenait la constitutionnalisation de la réconciliation nationale avec des conditions, ajoutant toutefois que "celui qui veut aller loin dans ce dossier doit s'en remettre au peuple". Par ailleurs, il a rappelé que le MPA disposait de 1.600 élus, 7 députés et 1 sénateur, ce qui fait du parti, selon Amara Benyounès, "la troisième force politique du pays." "Il est impératif d'organiser des élections législatives anticipées après la révision de la Constitution afin d'adapter les institutions de l'Etat, dont les deux chambres du Parlement, à la nouvelle Constitution", a souligné le secrétaire général du MPA à l'ouverture de la session ordinaire du conseil national de son parti tenu à l'hôtel Riadh de Sidi Fredj. Benyounes a argumenté sa revendication par "la révision profonde de la loi fondamentale du pays et par le nouveau découpage administratif des régions du Sud et des Hauts- Plateaux qui donnera lieu à l'émergence à de nouvelles communes et wilayas ouvrant droit à une représentation". Concernant la révision de la Constitution qu'il a qualifiée de "la plus importante réforme du président Bouteflika", Benyounes a fait savoir que son parti installera une commission à l'issue de la réunion d'aujourd'hui pour examiner les propositions. Il a précisé d'emblée que le MPA "demeure attaché à quatre principes qui constitueront les axes principaux" de ses propositions. Il s'agit, explique-til, du régime semi-présidentiel, du caractère démocratique et républicain de l'Etat algérien, de la préservation du bicaméralisme du Parlement et de la consécration des libertés. Benyounes a également affirmé que son parti soutenait la constitutionnalisation de la réconciliation nationale avec des conditions, ajoutant toutefois que "celui qui veut aller loin dans ce dossier doit s'en remettre au peuple". Par ailleurs, il a rappelé que le MPA disposait de 1.600 élus, 7 députés et 1 sénateur, ce qui fait du parti, selon Amara Benyounès, "la troisième force politique du pays."